Robin Soderling n'a pas perdu de temps
Tennis dimanche, 23 mai 2010. 10:10 vendredi, 13 déc. 2024. 04:56
PARIS - Le finaliste surprise de l'édition 2009, Robin Soderling, s'est rassuré au premier tour de Roland-Garros en balayant l'invité français Laurent Recouderc alors qu'il avait perdu ses deux derniers matches de préparation sur terre battue.
"J'avais beaucoup joué aux États-Unis et après ma finale à Barcelone, j'étais un peu fatigué", a admis le Suédois, battu à son deuxième match à Rome puis à son premier à Madrid.
Soderling, no 7 mondial, n'a fait qu'une bouchée de son adversaire, 179e mondial, en trois sets 6-0, 6-2, 6-3. Il rencontrera au prochain tour l'Equatorien Nicolas Lapentti ou l'Américain Taylor Dent.
Les autres favoris entrés en lice dimanche se sont qualifiés, comme le Croate Marin Cilic, qui a tout de même lâché un set au Brésilien Ricardo Mello (6-1, 3-6, 6-3, 6-1).
Gulbis, la première victime de marque
Le Letton Ernests Gulbis, considéré comme l'un des outsiders du tournoi après ses bons résultats en préparation, a été la première victime de marque de l'édition 2010 de Roland-Garros, où il a été contraint à l'abandon dimanche dès le premier tour.
Malmené, alors qu'il était encore en pleine possession de ses moyens physiques, par le Français Julien Benneteau, le Balte de 21 ans s'est fait mal en haut de la cuisse droite en faisant un grand écart au milieu du deuxième set. Il a préféré renoncer quelques jeux plus tard, alors qu'il était mené 6-4, 6-2, 1-0.
Révélé en 2008 par son superbe parcours jusqu'en quarts de finale, Gulbis n'avait pas confirmé son gros potentiel de serveur et cogneur les deux années suivantes. Mais il avait de nouveau fait parler de lui cette saison en gagnant le tournoi de Delray Beach puis, surtout, en battant Roger Federer à Rome.
Ce coup dur pour le Letton, tête de série numéro 23, est un coup de chance pour le Suisse, qui voit ainsi son tableau, déjà nettement plus favorable que celui de son grand rival Rafael Nadal, débarrassé d'un de ses adversaires les plus dangereux.
Tsonga en cinq sets
Même s'il s'en défend, le Français Jo-Wilfried Tsonga n'est pas un grand amateur de la terre battue. Il l'a encore montré en lâchant deux sets au modeste allemand Daniel Brands avant de s'imposer 4-6, 6-3, 6-2, 6-7 (2/7), 7-5.
"J'avais beaucoup joué aux États-Unis et après ma finale à Barcelone, j'étais un peu fatigué", a admis le Suédois, battu à son deuxième match à Rome puis à son premier à Madrid.
Soderling, no 7 mondial, n'a fait qu'une bouchée de son adversaire, 179e mondial, en trois sets 6-0, 6-2, 6-3. Il rencontrera au prochain tour l'Equatorien Nicolas Lapentti ou l'Américain Taylor Dent.
Les autres favoris entrés en lice dimanche se sont qualifiés, comme le Croate Marin Cilic, qui a tout de même lâché un set au Brésilien Ricardo Mello (6-1, 3-6, 6-3, 6-1).
Gulbis, la première victime de marque
Le Letton Ernests Gulbis, considéré comme l'un des outsiders du tournoi après ses bons résultats en préparation, a été la première victime de marque de l'édition 2010 de Roland-Garros, où il a été contraint à l'abandon dimanche dès le premier tour.
Malmené, alors qu'il était encore en pleine possession de ses moyens physiques, par le Français Julien Benneteau, le Balte de 21 ans s'est fait mal en haut de la cuisse droite en faisant un grand écart au milieu du deuxième set. Il a préféré renoncer quelques jeux plus tard, alors qu'il était mené 6-4, 6-2, 1-0.
Révélé en 2008 par son superbe parcours jusqu'en quarts de finale, Gulbis n'avait pas confirmé son gros potentiel de serveur et cogneur les deux années suivantes. Mais il avait de nouveau fait parler de lui cette saison en gagnant le tournoi de Delray Beach puis, surtout, en battant Roger Federer à Rome.
Ce coup dur pour le Letton, tête de série numéro 23, est un coup de chance pour le Suisse, qui voit ainsi son tableau, déjà nettement plus favorable que celui de son grand rival Rafael Nadal, débarrassé d'un de ses adversaires les plus dangereux.
Tsonga en cinq sets
Même s'il s'en défend, le Français Jo-Wilfried Tsonga n'est pas un grand amateur de la terre battue. Il l'a encore montré en lâchant deux sets au modeste allemand Daniel Brands avant de s'imposer 4-6, 6-3, 6-2, 6-7 (2/7), 7-5.