Une première finale pour Federer
Tennis samedi, 19 avr. 2008. 13:05 vendredi, 13 déc. 2024. 03:50
ESTORIL, Portugal - Le no 1 mondial suisse Roger Federer s'est qualifié pour sa première finale de l'année, au tournoi de tennis d'Estoril, où il affronte dimanche le Russe Nikolay Davydenko, tête de série no 2, facile vainqueur du Français Florent Serra en deux manches 6-2, 6-2.
"Au moins, il n'y avait pas de pluie aujourd'hui", a commenté Federer qui a dû se battre non seulement contre son adversaire, l'Allemand Denis Gremelmayr dominé en trois manches, 2-6, 7-5, 6-1, mais surtout un vent tourbillonnant.
Les conditions météo sont sans doute à l'origine de son début hésitant face au 104e joueur mondial qui a pris deux fois le service du "roi" Federer pour enlever la première manche en à peine 30 minutes.
"Je devais me battre aujourd'hui pour m'imposer parce que c'était dur de jouer avec le vent qui va et vient sans cesse", a ajouté le champion suisse, conseillé par le maître es terre battue Jose Higueras en vue de Roland-Garros, seul titre du Grand Chelem manquant à son impressionnant palmarès. Le technicien espagnol sera aussi avec lui à Monte-Carlo.
Depuis son triomphe à la Coupe Masters en novembre, c'est la disette pour Federer qui a réalisé d'énormes progrès sur surface lente : samedi, il a réussi 10 aces et trouvé la patience nécessaire pour revenir à une manche partout alors qu'il avait été rejoint à 5-5 après avoir mené rapidement 3-0, dans la 2e manche.
"Je me sens mieux (sur terre battue). Je bouge et glisse mieux aussi", a encore dit Federer qui, sur sa lancée, a enlevé six des sept derniers jeux pour atteindre sa première finale de l'année où il s'attend à souffrir face à Davydenko, no 4 mondial.
"Je connais le talent de Nicolay, un grand joueur. J'ai eu la chance de gagner certaines rencontres comme en demi-finale à Roland-Garros l'an passé", a reconnu Federer, impressionné par la partition de Davydenko.
Serra, 101e joueur mondial, n'a jamais pu entrer dans la partie face à un Davydenko bien décidé à ne pas commettre la même erreur qu'en quart devant un autre Français, Marc Gicquel, auquel il a cédé une manche.
"Au moins, il n'y avait pas de pluie aujourd'hui", a commenté Federer qui a dû se battre non seulement contre son adversaire, l'Allemand Denis Gremelmayr dominé en trois manches, 2-6, 7-5, 6-1, mais surtout un vent tourbillonnant.
Les conditions météo sont sans doute à l'origine de son début hésitant face au 104e joueur mondial qui a pris deux fois le service du "roi" Federer pour enlever la première manche en à peine 30 minutes.
"Je devais me battre aujourd'hui pour m'imposer parce que c'était dur de jouer avec le vent qui va et vient sans cesse", a ajouté le champion suisse, conseillé par le maître es terre battue Jose Higueras en vue de Roland-Garros, seul titre du Grand Chelem manquant à son impressionnant palmarès. Le technicien espagnol sera aussi avec lui à Monte-Carlo.
Depuis son triomphe à la Coupe Masters en novembre, c'est la disette pour Federer qui a réalisé d'énormes progrès sur surface lente : samedi, il a réussi 10 aces et trouvé la patience nécessaire pour revenir à une manche partout alors qu'il avait été rejoint à 5-5 après avoir mené rapidement 3-0, dans la 2e manche.
"Je me sens mieux (sur terre battue). Je bouge et glisse mieux aussi", a encore dit Federer qui, sur sa lancée, a enlevé six des sept derniers jeux pour atteindre sa première finale de l'année où il s'attend à souffrir face à Davydenko, no 4 mondial.
"Je connais le talent de Nicolay, un grand joueur. J'ai eu la chance de gagner certaines rencontres comme en demi-finale à Roland-Garros l'an passé", a reconnu Federer, impressionné par la partition de Davydenko.
Serra, 101e joueur mondial, n'a jamais pu entrer dans la partie face à un Davydenko bien décidé à ne pas commettre la même erreur qu'en quart devant un autre Français, Marc Gicquel, auquel il a cédé une manche.
