Terminés, les costumes aborigènes
Jeux olympiques lundi, 8 févr. 2010. 16:02 mercredi, 11 déc. 2024. 09:55
MOSCOU - Les patineurs artistiques russes Oksana Domnina et Maxim Shabalin, favoris pour l'or olympique à Vancouver, ont décidé de renoncer à cette occasion à porter des costumes inspirés de la culture aborigène après une polémique à leur sujet, a rapporté lundi un journal russe.
La danse originale des champions du monde russes, vêtus de costumes inspirés des tenues aborigènes et les visages peints, a déjà suscité la controverse en compétition, notamment lors de l'Euro-2010 à Tallinn fin janvier.
"À la veille des JO, nos 'gars' ont décidé de ne pas tenter le diable et de ne pas partir en guerre contre les inventeurs du boomerang", écrit lundi le quotidien populaire Komsomolskaïa Pravda en allusion à l'Australie, où l'affaire a également fait grand bruit.
"Oksana et Maxim ont annoncé qu'ils porteraient d'autres costumes, mais n'ont pas renoncé à la danse elle-même", poursuit le journal, sans plus de détails.
Les deux danseurs, bien qu'ayant expliqué qu'ils n'entendaient choquer personne, s'étaient attirés les foudres des défenseurs de la culture aborigène australienne, dont certains avaient jugé qu'ils avaient "tout faux".
La danse originale des champions du monde russes, vêtus de costumes inspirés des tenues aborigènes et les visages peints, a déjà suscité la controverse en compétition, notamment lors de l'Euro-2010 à Tallinn fin janvier.
"À la veille des JO, nos 'gars' ont décidé de ne pas tenter le diable et de ne pas partir en guerre contre les inventeurs du boomerang", écrit lundi le quotidien populaire Komsomolskaïa Pravda en allusion à l'Australie, où l'affaire a également fait grand bruit.
"Oksana et Maxim ont annoncé qu'ils porteraient d'autres costumes, mais n'ont pas renoncé à la danse elle-même", poursuit le journal, sans plus de détails.
Les deux danseurs, bien qu'ayant expliqué qu'ils n'entendaient choquer personne, s'étaient attirés les foudres des défenseurs de la culture aborigène australienne, dont certains avaient jugé qu'ils avaient "tout faux".