Un champion olympique sous enquête
Jeux olympiques jeudi, 27 sept. 2012. 12:12 vendredi, 13 déc. 2024. 07:06
ROME - Une cour à Rome à mis l'ancien champion olympique de marche Alex Schwazer sous enquête, jeudi, après qu'il eut été exclu des Jeux de Londres pour dopage.
L'enquête de la cour se base sur des documents fournis par le procureur antidopage du Comité olympique italien (CONI), a fait savoir l'agence de presse ANSA.
Le dopage est illégal en Italie, les peines imposées allant de trois mois à trois ans.
Schwazer a remporté l'épreuve de 50 km aux Jeux olympiques de Pékin en 2008. Il a échoué à un test antidopage effectué hors-compétition avant d'arriver à Londres et il a été exclu de l'équipe italienne avant l'épreuve. Il a ensuite admis qu'il avait consommé de l'EPO et il a déclaré qu'il prenait sa retraite du sport.
Schwazer fait également l'objet d'enquêtes initiées par des procureurs chez lui à Bolzano ainsi qu'en Padoue, là où on a amorcé une enquête sur le médecin suspendu Michele Ferrari. Schwazer a reconnu qu'il a consulté Ferrari.
Le CONI attend de recevoir des documents du Comité international olympique (CIO) et de la Fédération internationale d'athlétisme avant d'ouvrir une enquête sur Schwazer, qui débouchera fort probablement sur une longue suspension.
Le CONI a dit ne pas avoir été informé encore du résultat provenant de l'échantillon B de Schwazer.
Le CIO songe à analyser de nouveau les échantillons de Schwazer prélevés durant les JO de Pékin. Celui-ci affirme qu'il était propre à l'époque.
L'enquête de la cour se base sur des documents fournis par le procureur antidopage du Comité olympique italien (CONI), a fait savoir l'agence de presse ANSA.
Le dopage est illégal en Italie, les peines imposées allant de trois mois à trois ans.
Schwazer a remporté l'épreuve de 50 km aux Jeux olympiques de Pékin en 2008. Il a échoué à un test antidopage effectué hors-compétition avant d'arriver à Londres et il a été exclu de l'équipe italienne avant l'épreuve. Il a ensuite admis qu'il avait consommé de l'EPO et il a déclaré qu'il prenait sa retraite du sport.
Schwazer fait également l'objet d'enquêtes initiées par des procureurs chez lui à Bolzano ainsi qu'en Padoue, là où on a amorcé une enquête sur le médecin suspendu Michele Ferrari. Schwazer a reconnu qu'il a consulté Ferrari.
Le CONI attend de recevoir des documents du Comité international olympique (CIO) et de la Fédération internationale d'athlétisme avant d'ouvrir une enquête sur Schwazer, qui débouchera fort probablement sur une longue suspension.
Le CONI a dit ne pas avoir été informé encore du résultat provenant de l'échantillon B de Schwazer.
Le CIO songe à analyser de nouveau les échantillons de Schwazer prélevés durant les JO de Pékin. Celui-ci affirme qu'il était propre à l'époque.