Du cheerleading chez les Citadins
Universitaires mardi, 2 mars 2010. 14:41 vendredi, 13 déc. 2024. 08:49
Le programme de sport d'excellence de l'Université de Montréal comptera une équipe de plus à compter de la saison 2010-2011 alors que le cheerleading deviendra la 17e équipe des Carabins à défendre les couleurs du campus de l'UdeM.
Les cheerleaders des Bleus, composés de 29 femmes et sept hommes pour un total de 36 étudiants-athlètes, se joindront du même coup à un nouveau réseau de compétition universitaire qui regroupera également les institutions de Laval, Sherbrooke, de l'UQAM et de l'UQTR.
Le premier championnat provincial universitaire de la FQSE aura lieu le 8 mai prochain à Québec et un calendrier de compétitions est en préparation pour la saison 2010-2011.
« Le cheerleading a connu une effervescence incroyable aux niveaux scolaire et collégial ces dernières années, devenant même l'un des sports les plus pratiqués dans les écoles du Québec », dit Patricia Demers, directrice du secteur universitaire à la Fédération québécoise du sport étudiant (FQSE).
« De plus, ce sport touche une clientèle qui n'était pas nécessairement active auparavant et n'amène donc pas un transfert de discipline mais une augmentation du nombre de jeunes actifs », ajoute-t-elle.
« C'est un projet qui était sur les tables de travail des directions de sport universitaire depuis deux ou trois ans, mentionne le coordonnateur du sport d'excellence à l'UdeM, Jean-Pierre Chancy. Notre décision vient consolider le développement d'un sport en pleine émergence. »
« L'officialisation du statut des cheerleaders porte maintenant à plus de 350 le nombre de Carabins que nous encadrons. Elle vient aussi rééquilibrer davantage notre ratio d'athlètes féminins et masculins, une équité importante pour notre organisation, surtout quand on sait qu'il y a plus d'étudiantes que d'étudiants dans nos universités », poursuit-il.
De groupe d'animation des matchs lors du retour du football en 2002, les cheerleaders sont, au cours des dernières années, devenus une véritable équipe de compétition en rassemblant des athlètes provenant de plusieurs disciplines comme la gymnastique, le plongeon ou le patinage artistique pour n'en nommer que quelques-unes.
« Il y a en quelque sorte deux types de cheerleading, explique l'entraîneure-chef des Carabins, Cindy Charbonneau. Il y a celui de représentation qui est bien connu car on le voit autour des terrains de football et qui est surtout axé sur la danse. Et il y a de plus en plus celui de compétition qui est composé de gymnastique, d'acrobaties, de sauts et de pyramides. »
« C'est un sport multi-disciplinaire très physique qui demande beaucoup de force musculaire, entre autres pour la stabilité des figures et la projection des athlètes dans les airs. En plus d'augmenter notre calibre, le réseau universitaire offrira assurément de la visibilité et contribuera à changer la perception des gens face à notre sport qui gagne à être connu », ajoute-elle, bien consciente du stéréotype souvent associé au cheerleading.
Avec une première position lors d'une compétition provinciale civile et une deuxième place lors d'une autre à l'échelle nationale en 2009, les cheerleaders des Carabins ont des objectifs élevés en vue de sa première saison officielle et pourrait rapidement faire parler d'elle.
Le cheerleading deviendra la dixième discipline sportive à faire partie du programme de sport d'excellence de l'UdeM après le badminton, le football, le golf, le hockey (féminin uniquement), la natation, le ski alpin, le soccer, le tennis et le volleyball.
Les cheerleaders des Bleus, composés de 29 femmes et sept hommes pour un total de 36 étudiants-athlètes, se joindront du même coup à un nouveau réseau de compétition universitaire qui regroupera également les institutions de Laval, Sherbrooke, de l'UQAM et de l'UQTR.
Le premier championnat provincial universitaire de la FQSE aura lieu le 8 mai prochain à Québec et un calendrier de compétitions est en préparation pour la saison 2010-2011.
« Le cheerleading a connu une effervescence incroyable aux niveaux scolaire et collégial ces dernières années, devenant même l'un des sports les plus pratiqués dans les écoles du Québec », dit Patricia Demers, directrice du secteur universitaire à la Fédération québécoise du sport étudiant (FQSE).
« De plus, ce sport touche une clientèle qui n'était pas nécessairement active auparavant et n'amène donc pas un transfert de discipline mais une augmentation du nombre de jeunes actifs », ajoute-t-elle.
« C'est un projet qui était sur les tables de travail des directions de sport universitaire depuis deux ou trois ans, mentionne le coordonnateur du sport d'excellence à l'UdeM, Jean-Pierre Chancy. Notre décision vient consolider le développement d'un sport en pleine émergence. »
« L'officialisation du statut des cheerleaders porte maintenant à plus de 350 le nombre de Carabins que nous encadrons. Elle vient aussi rééquilibrer davantage notre ratio d'athlètes féminins et masculins, une équité importante pour notre organisation, surtout quand on sait qu'il y a plus d'étudiantes que d'étudiants dans nos universités », poursuit-il.
De groupe d'animation des matchs lors du retour du football en 2002, les cheerleaders sont, au cours des dernières années, devenus une véritable équipe de compétition en rassemblant des athlètes provenant de plusieurs disciplines comme la gymnastique, le plongeon ou le patinage artistique pour n'en nommer que quelques-unes.
« Il y a en quelque sorte deux types de cheerleading, explique l'entraîneure-chef des Carabins, Cindy Charbonneau. Il y a celui de représentation qui est bien connu car on le voit autour des terrains de football et qui est surtout axé sur la danse. Et il y a de plus en plus celui de compétition qui est composé de gymnastique, d'acrobaties, de sauts et de pyramides. »
« C'est un sport multi-disciplinaire très physique qui demande beaucoup de force musculaire, entre autres pour la stabilité des figures et la projection des athlètes dans les airs. En plus d'augmenter notre calibre, le réseau universitaire offrira assurément de la visibilité et contribuera à changer la perception des gens face à notre sport qui gagne à être connu », ajoute-elle, bien consciente du stéréotype souvent associé au cheerleading.
Avec une première position lors d'une compétition provinciale civile et une deuxième place lors d'une autre à l'échelle nationale en 2009, les cheerleaders des Carabins ont des objectifs élevés en vue de sa première saison officielle et pourrait rapidement faire parler d'elle.
Le cheerleading deviendra la dixième discipline sportive à faire partie du programme de sport d'excellence de l'UdeM après le badminton, le football, le golf, le hockey (féminin uniquement), la natation, le ski alpin, le soccer, le tennis et le volleyball.