Les Carabins se préparent pour leur 1er camp d'entraînement
Universitaires jeudi, 11 juil. 2002. 17:39 samedi, 14 déc. 2024. 15:38
(RDS) - Il y a passablement d'action dans l'entourage des Carabins de l'Université de Montréal. L'équipe se prépare à son premier camp d'entraînement qui est prévu à la mi-août. Le site où évolueront les Carabins est remarquable et dire que ce stade a été fermé pendant presque huit ans.
Il y a du nouveau gazon synthétique et le terrain est impeccable. Même si la composition de l'équipe se fera officiellement après le camp d'entraînement, dans les faits, plusieurs futurs joueurs des Carabins se rendent régulièrement à l'Université de Montréal. À un mois du début du camp d'entraînement, le compte à rebours est bel et bien commencé
"Le recrutement est terminé", a affirmé l'entraîneur des Carabins, Jacques Dussault. "On s'attend à recevoir entre 85 et 90 joueurs au camp d'entraînement. On a ouvert notre salle de musculation, on a un suivi avec les joueurs, on a donné un programme au niveau de la vitesse et de la force."
"Il n'y a aucun poste de garanti pour aucun gars. On s'entraîne afin d'être au maximum de notre forme pour le camp d'entraînement", a indiqué Pierre-Luc Pomerleau.
"On a un programme ajusté à chaque joueur et, pour bâtir un esprit d'équipe, on passe l'été ensemble. On fait de l'athlétisme", a pour sa part avancé Woodly Jean.
"Ça va être incroyable cette première année. On est une gang de gars qui vient d'un peu partout, il n'y a pas de clan préexistant", a expliqué Nelson Piché.
Les Carabins devront former une équipe unie lorsque la saison s'amorcera, car la compétition sera féroce. Contrairement au Rouge et Or de l'Université Laval, il n'y aura pas de match hors-concours pour la première saison.
"Ce qui a été difficile, c'était de convaincre les jeunes qu'on était pour avoir du succès dès la première saison. C'est évident que nos adversaires disent que ca va pendre deux ou trois ans. Mais on a réussi à aller chercher une belle clientèle", a déclaré Dussault.
"Je voulais avoir une équipe pour débuter le premier match et avoir des entraîneurs par excellence. Alors, je n'ai pas pensé longtemps avant de choisir l'Université de Montréal", a affirmé Pomerleau.
"Ici, il y a déjà McGill et Concordia. Mais d'avoir une équipe francophone, une deuxième au Québec, c'est sûr qu'on est fier de faire partie de cette nouvelle organisation", a mentionné Nelson Piché.
Sur le terrain, on peut penser qu'il se développera une belle rivalité avec l'Université Laval qui, d'une certaine façon, a provoqué l'arrivée du football universitaire à Montréal.
"Je crois qu'on bénéficie du succès de l'Université Laval", a déclaré le directeur du CEPSUM, Paul Krivicky. "Je crois que ce fut le bon temps pour nous d'implanter notre programme. Il y a avait aussi le succès des Alouettes."
"On a un avantage sur les Alouettes, nous on va avoir plus de Québécois sur le terrain qu'eux", a ironisé Dusault. "Il s'agit d'une approche différente, mais le calibre de jeu est excellent au niveau universitaire."
Pour doter l'Université de Montréal d'une équipe de football, il a fallu ajouter plusieurs services dont une clinique médicale, une salle de musculation, de nouveaux vestiaires sans parler de tous les travaux de rénovation.
"L'an dernier, on a effectué la réfection du terrain de football. Il faut penser que le terrain avait été fermé pendant plusieurs années. On a construit des nouvelles estrades. Celles-ci qui se marient bien avec la montagne", a indiqué la coordonnatrice du CEPSUM, Manon Simard.
Les Carabins espèrent jouer leur match d'ouverture, prévu pour le 28 août, à guichets fermés. Déjà 1300 billets de saison ont trouvé preneur.
Il y a du nouveau gazon synthétique et le terrain est impeccable. Même si la composition de l'équipe se fera officiellement après le camp d'entraînement, dans les faits, plusieurs futurs joueurs des Carabins se rendent régulièrement à l'Université de Montréal. À un mois du début du camp d'entraînement, le compte à rebours est bel et bien commencé
"Le recrutement est terminé", a affirmé l'entraîneur des Carabins, Jacques Dussault. "On s'attend à recevoir entre 85 et 90 joueurs au camp d'entraînement. On a ouvert notre salle de musculation, on a un suivi avec les joueurs, on a donné un programme au niveau de la vitesse et de la force."
"Il n'y a aucun poste de garanti pour aucun gars. On s'entraîne afin d'être au maximum de notre forme pour le camp d'entraînement", a indiqué Pierre-Luc Pomerleau.
"On a un programme ajusté à chaque joueur et, pour bâtir un esprit d'équipe, on passe l'été ensemble. On fait de l'athlétisme", a pour sa part avancé Woodly Jean.
"Ça va être incroyable cette première année. On est une gang de gars qui vient d'un peu partout, il n'y a pas de clan préexistant", a expliqué Nelson Piché.
Les Carabins devront former une équipe unie lorsque la saison s'amorcera, car la compétition sera féroce. Contrairement au Rouge et Or de l'Université Laval, il n'y aura pas de match hors-concours pour la première saison.
"Ce qui a été difficile, c'était de convaincre les jeunes qu'on était pour avoir du succès dès la première saison. C'est évident que nos adversaires disent que ca va pendre deux ou trois ans. Mais on a réussi à aller chercher une belle clientèle", a déclaré Dussault.
"Je voulais avoir une équipe pour débuter le premier match et avoir des entraîneurs par excellence. Alors, je n'ai pas pensé longtemps avant de choisir l'Université de Montréal", a affirmé Pomerleau.
"Ici, il y a déjà McGill et Concordia. Mais d'avoir une équipe francophone, une deuxième au Québec, c'est sûr qu'on est fier de faire partie de cette nouvelle organisation", a mentionné Nelson Piché.
Sur le terrain, on peut penser qu'il se développera une belle rivalité avec l'Université Laval qui, d'une certaine façon, a provoqué l'arrivée du football universitaire à Montréal.
"Je crois qu'on bénéficie du succès de l'Université Laval", a déclaré le directeur du CEPSUM, Paul Krivicky. "Je crois que ce fut le bon temps pour nous d'implanter notre programme. Il y a avait aussi le succès des Alouettes."
"On a un avantage sur les Alouettes, nous on va avoir plus de Québécois sur le terrain qu'eux", a ironisé Dusault. "Il s'agit d'une approche différente, mais le calibre de jeu est excellent au niveau universitaire."
Pour doter l'Université de Montréal d'une équipe de football, il a fallu ajouter plusieurs services dont une clinique médicale, une salle de musculation, de nouveaux vestiaires sans parler de tous les travaux de rénovation.
"L'an dernier, on a effectué la réfection du terrain de football. Il faut penser que le terrain avait été fermé pendant plusieurs années. On a construit des nouvelles estrades. Celles-ci qui se marient bien avec la montagne", a indiqué la coordonnatrice du CEPSUM, Manon Simard.
Les Carabins espèrent jouer leur match d'ouverture, prévu pour le 28 août, à guichets fermés. Déjà 1300 billets de saison ont trouvé preneur.