Quatre en quatre pour Lavigne
Universitaires mercredi, 13 févr. 2008. 12:36 mercredi, 11 déc. 2024. 09:48
L'attaquant de la formation masculine de volleyball Rouge et Or, Thierry Lavigne, affiche un parcours des plus intéressants. À seulement 17 ans, l'athlète originaire de Rockland, une petite ville majoritairement francophone au nord d'Ottawa, s'est joint à la formation lavalloise.
La prochaine participation du volleyeur au championnat canadien représente un quatre en quatre, car il a eu la chance de prendre part à cette compétition d'envergure à chacune de ses années universitaires
Si le volleyeur est arrivé aussi jeune dans le circuit universitaire, c'est tout simplement parce qu'en Ontario le niveau d'études collégial n'existe pas. Il a donc fait le saut dans le monde du volleyball universitaire un an plus tôt que les Québécois.
Volleyeur depuis l'âge de 13 ans seulement, Thierry n'aurait jamais imaginé se rendre si loin dans sa carrière sportive. Tout est né d'une passion qui s'est concrétisée grâce à un véritable talent. Encore adolescent, il est arrivé dans le circuit universitaire avec quelques appréhensions. « J'arrivais tout juste d'Ontario et j'étais vraiment le plus jeune. Là-bas, être à l'université et avoir 17 ans, c'est normal. Mais ici, tout le monde avait au moins 20 ans sur le terrain», explique le volleyeur.
Pour l'athlète, le saut était énorme à l'époque. Il devait non seulement partir pour une province qu'il connaissait peu, mais également tenter de se tailler une place au sein d'une formation universitaire sans avoir passé par le niveau collégial. « Le saut entre le secondaire et l'université est énorme. En Ontario, quand tu finis le secondaire, il n'y a pas vraiment de question à se poser; tu vas étudier à Ottawa. Moi, j'ai fait le choix de partir et de vivre quelque chose de vraiment spécial », raconte-il. À cette époque, l'athlète était loin de se douter que sa carrière avec le Rouge et Or allait lui permettre de voyager un peu partout sur le globe, notamment en Tunisie et à Cuba.
Les débuts universitaires du principal intéressé se sont tout de même fait aisément. L'appui et les bons conseils de ses coéquipiers ainsi que de ses entraîneurs l'ont beaucoup aidé. Entouré de joueurs d'expérience, tels Carl Lalancette et Pierre-André Perron, l'attaquant de 6 pieds 4 pouces s'est rapidement senti inclus dans la formation et a appris grandement. « Les gars m'ont apporté beaucoup. Ils m'ont tout de suite fait me sentir à ma place dans l'équipe », explique-t-il. Au-delà des techniques de jeu, Thierry a forgé de solides amitiés avec de ses coéquipiers et anciens partenaires.
À sa première saison, l'attaquant savait qu'il n'allait pas fouler le terrain très souvent lors des parties. « Je savais ce que j'avais à faire et je voulais apprendre. Je voulais être une véritable éponge en arrivant ici», renchérit-il. Et c'est bien ce qu'il a fait, car à la saison suivante, il figurait déjà sur l'alignement partant de la formation.
Âgé de seulement 21 ans, Lavigne en est à sa quatrième saison avec le Rouge et Or. Il s'illustre maintenant comme un des meilleurs attaquants de la formation et un joueur clé lors des rencontres. Du 29 février au 2 mars prochain, Thierry participera à son quatrième Championnat masculin de volleyball de SIC.
À sa première participation, le jeune homme savait qu'il était plus ou moins prêt pour une compétition de ce calibre. « Je manquais d'expérience, mais je trouvais l'évènement vraiment super », témoigne-t-il. Pour cette année, il en est tout autrement. L'athlète se dit confiant et excité à l'idée de jouer au PEPS lors du championnat. « J'ai vraiment hâte et ça ne me stresse pas, je suis vraiment confiant», mentionne-t-il avec assurance.
Jouer à domicile représente un grand avantage pour les Lavallois. En plus d'être exemptés du voyagement, les joueurs de Pascal Clément vont s'exécuter sur une surface familière et dans un milieu connu. En plus d'avoir l'avantage du terrain, Lavigne considère qu'avoir la foule en appui sera une grande force pour l'équipe. « Quand tu as trois ou quatre milles personnes derrière toi, tu peux faire des choses spectaculaires. Pour les équipes qui vont se présenter devant nous, ça va être un gros défi», ajoute-il.
Pour plusieurs Lavallois, les gens de Québec sont plus que partisans. « Le public d'ici connaît son volley», conclu le Franco-Ontarien. Les partisans ont donc rendez-vous au stade couvert du PEPS du 29 février au 2 mars prochain dans le cadre du championnat masculin de volleyball. D'ici là, les hommes de Pascal Clément seront en action dans le grand gymnase du PEPS pour la finale FQSÉ. Dès 19 h, les hommes entameront un deux de trois contre les Carabins de l'Université de Montréal.
La prochaine participation du volleyeur au championnat canadien représente un quatre en quatre, car il a eu la chance de prendre part à cette compétition d'envergure à chacune de ses années universitaires
Si le volleyeur est arrivé aussi jeune dans le circuit universitaire, c'est tout simplement parce qu'en Ontario le niveau d'études collégial n'existe pas. Il a donc fait le saut dans le monde du volleyball universitaire un an plus tôt que les Québécois.
Volleyeur depuis l'âge de 13 ans seulement, Thierry n'aurait jamais imaginé se rendre si loin dans sa carrière sportive. Tout est né d'une passion qui s'est concrétisée grâce à un véritable talent. Encore adolescent, il est arrivé dans le circuit universitaire avec quelques appréhensions. « J'arrivais tout juste d'Ontario et j'étais vraiment le plus jeune. Là-bas, être à l'université et avoir 17 ans, c'est normal. Mais ici, tout le monde avait au moins 20 ans sur le terrain», explique le volleyeur.
Pour l'athlète, le saut était énorme à l'époque. Il devait non seulement partir pour une province qu'il connaissait peu, mais également tenter de se tailler une place au sein d'une formation universitaire sans avoir passé par le niveau collégial. « Le saut entre le secondaire et l'université est énorme. En Ontario, quand tu finis le secondaire, il n'y a pas vraiment de question à se poser; tu vas étudier à Ottawa. Moi, j'ai fait le choix de partir et de vivre quelque chose de vraiment spécial », raconte-il. À cette époque, l'athlète était loin de se douter que sa carrière avec le Rouge et Or allait lui permettre de voyager un peu partout sur le globe, notamment en Tunisie et à Cuba.
Les débuts universitaires du principal intéressé se sont tout de même fait aisément. L'appui et les bons conseils de ses coéquipiers ainsi que de ses entraîneurs l'ont beaucoup aidé. Entouré de joueurs d'expérience, tels Carl Lalancette et Pierre-André Perron, l'attaquant de 6 pieds 4 pouces s'est rapidement senti inclus dans la formation et a appris grandement. « Les gars m'ont apporté beaucoup. Ils m'ont tout de suite fait me sentir à ma place dans l'équipe », explique-t-il. Au-delà des techniques de jeu, Thierry a forgé de solides amitiés avec de ses coéquipiers et anciens partenaires.
À sa première saison, l'attaquant savait qu'il n'allait pas fouler le terrain très souvent lors des parties. « Je savais ce que j'avais à faire et je voulais apprendre. Je voulais être une véritable éponge en arrivant ici», renchérit-il. Et c'est bien ce qu'il a fait, car à la saison suivante, il figurait déjà sur l'alignement partant de la formation.
Âgé de seulement 21 ans, Lavigne en est à sa quatrième saison avec le Rouge et Or. Il s'illustre maintenant comme un des meilleurs attaquants de la formation et un joueur clé lors des rencontres. Du 29 février au 2 mars prochain, Thierry participera à son quatrième Championnat masculin de volleyball de SIC.
À sa première participation, le jeune homme savait qu'il était plus ou moins prêt pour une compétition de ce calibre. « Je manquais d'expérience, mais je trouvais l'évènement vraiment super », témoigne-t-il. Pour cette année, il en est tout autrement. L'athlète se dit confiant et excité à l'idée de jouer au PEPS lors du championnat. « J'ai vraiment hâte et ça ne me stresse pas, je suis vraiment confiant», mentionne-t-il avec assurance.
Jouer à domicile représente un grand avantage pour les Lavallois. En plus d'être exemptés du voyagement, les joueurs de Pascal Clément vont s'exécuter sur une surface familière et dans un milieu connu. En plus d'avoir l'avantage du terrain, Lavigne considère qu'avoir la foule en appui sera une grande force pour l'équipe. « Quand tu as trois ou quatre milles personnes derrière toi, tu peux faire des choses spectaculaires. Pour les équipes qui vont se présenter devant nous, ça va être un gros défi», ajoute-il.
Pour plusieurs Lavallois, les gens de Québec sont plus que partisans. « Le public d'ici connaît son volley», conclu le Franco-Ontarien. Les partisans ont donc rendez-vous au stade couvert du PEPS du 29 février au 2 mars prochain dans le cadre du championnat masculin de volleyball. D'ici là, les hommes de Pascal Clément seront en action dans le grand gymnase du PEPS pour la finale FQSÉ. Dès 19 h, les hommes entameront un deux de trois contre les Carabins de l'Université de Montréal.