Semaine cruciale pour les Citadins
Universitaires lundi, 23 oct. 2006. 12:04 samedi, 14 déc. 2024. 06:47
La fin de semaine prochaine, dernière du calendrier régulier de soccer, sera cruciale pour l'équipe masculine de l'UQAM, qui tente toujours de se qualifier pour une place en séries éliminatoires.
Les Citadins occupent présentement le sixième rang avec 10 points, un seul de moins que l'UQTR et l'Université de Sherbrooke. Seules les quatre premières équipes pourront participer au tournoi de fin de saison, où deux places pour le championnat canadien sont en jeu. Les Citadins affronteront les Redmen de McGill (vendredi soir) qui luttent pour la deuxième position et les Stingers de Concordia (dimanche après-midi), présentement au dernier rang de la division du Québec.
L'équipe féminine de l'UQAM, éliminée de la course aux séries, tentera à tout le moins de terminer sa saison sur une bonne note. Les Citadins seront en quête de leur troisième victoire au Stade Molson de l'Université McGill et au Campus Loyola de l'Université Concordia.
Bilan de la fin de semaine
Après une fin de semaine éprouvante face à l'Université de Montréal et l'Université Laval, les Citadins s'attendaient sûrement à un match plus « facile » face aux Lady Gaiters. C'était sans compter sur dame nature. C'est sous la pluie et la neige que l'équipe féminine de l'UQAM a reçu la visite de l'Université Bishop's, vendredi, au Complexe sportif Claude-Robillard. Les Citadins ont joué à l'image de leur saison. Malgré leur domination face à une équipe située derrière elle au classement, l'UQAM a été incapable de marquer plus de buts que l'adversaire. Résultat : match nul de 1 à 1.
La première mi-temps a été tout à l'avantage des Citadins. Leur manque d'opportunisme combiné au brio de la gardienne de but adverse, Chelsea Aboud, a eu raison de l'attaque uqamienne qui a été incapable d'inscrire le premier but du match, malgré plusieurs occasions de marquer.
Une deuxième mi-temps à l'image de la première sauf que l'attaque des Lady Gaiters a profité d'une de ses rares incursions en territoire adverse. Laura Bowie, oubliée près de la surface de réparation, a inscrit son équipe au pointage. Les Citadins ont ensuite redoublé d'ardeur. Marie-Émilie Perreault-Morrier est finalement parvenu à déjouer la gardienne de but ennemie à mi-chemin en deuxième mi-temps. L'attaque de l'UQAM a tout tenté en fin de match pour aller chercher la victoire. À la 90e minute, Marie-Émilie s'est retrouvée seule devant le gardien, mais elle a, à nouveau, dû s'avouer vaincue.
« C'est impossible de gagner en ratant autant de chances de marquer, a avoué l'entraîneur-chef des Citadins, Sophie Drolet. Ça a été notre problème toute la saison. Nous avons des chances, mais nous ne pouvons en profiter ; nous leur donnons un cadeau et elles marquent. »
Les gardiennes substituts Myriam DaSilva Rondeau et Bénédicte Robitaille se sont partagées le travail devant le filet des Citadins.
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Décidemment, peu importe la façon dont ils s'y prennent, les Citadins-hommes ont de la difficulté à aller chercher une victoire qui leur permettrait d'améliorer leur position au classement, très serré, de la division du Québec. L'UQAM n'a pu faire mieux qu'un verdict nul face aux Patriotes, dimanche, et demeure donc à un seul point de l'UQTR et de la dernière place donnant accès aux séries éliminatoires.
Comme dans la plupart des rencontres disputées cette saison, les Citadins ont eu l'avantage autant au niveau du contrôle du ballon, qu'au pointage, pendant près de 90 minutes. Ils ont été les seuls à s'inscrire à la marque en première mi-temps, grâce à William Baltimore. Cette mince avance d'un but semblait suffisante pour la troupe de Christophe Dutarte, suite au brio de la défensive et du gardien de but, Pascal Trudel, mais, encore une fois, l'adversaire profite d'une erreur à la 84e minute pour permettre aux Patriotes de se sauver avec un match nul de 1 à 1. Les Citadins avaient pourtant eu plusieurs chances de clouer le cercueil de l'UQTR, sans parvenir à les concrétiser.
Autre résultat décevant pour l'entraîneur-chef des Citadins : « Nous avons encore disputé un bon match, mais ce n'est toujours pas suffisant pour l'emporter. Après des victoires surprenantes contre Laval et Sherbrooke, l'UQTR joue avec beaucoup de confiance, contrairement à notre équipe qui semble nerveuse. »
Chez les femmes
Les équipes féminines de l'UQAM et de l'UQTR, exclues des séries éliminatoires, se sont livrées un duel sans intensité, dimanche, au CAPS de l'Université du Québec à Trois-Rivières. Les Patriotes, toujours en quête d'un premier gain cette saison, ont soutiré un match nul de 0 à 0 aux Citadins.
Le match s'est principalement déroulé en territoire central, les deux défensives limitant les chances de marquer. La gardienne de but des Citadins, Bénédicte Robitaille, peut être satisfaite de son premier départ de la saison devant la cage de l'UQAM. Quoique peu occupée, Bénédicte a été solide, repoussant les quelques tirs dirigés dans sa direction.
« Il faut donner crédit aux Patriotes, a déclaré l'entraîneur-chef des Citadins, Sophie Drolet. Même si elles sont moins expérimentées, elles ont le mérite de ne pas abandonner et de travailler très fort pendant 90 minutes. »
Les Citadins occupent présentement le sixième rang avec 10 points, un seul de moins que l'UQTR et l'Université de Sherbrooke. Seules les quatre premières équipes pourront participer au tournoi de fin de saison, où deux places pour le championnat canadien sont en jeu. Les Citadins affronteront les Redmen de McGill (vendredi soir) qui luttent pour la deuxième position et les Stingers de Concordia (dimanche après-midi), présentement au dernier rang de la division du Québec.
L'équipe féminine de l'UQAM, éliminée de la course aux séries, tentera à tout le moins de terminer sa saison sur une bonne note. Les Citadins seront en quête de leur troisième victoire au Stade Molson de l'Université McGill et au Campus Loyola de l'Université Concordia.
Bilan de la fin de semaine
Après une fin de semaine éprouvante face à l'Université de Montréal et l'Université Laval, les Citadins s'attendaient sûrement à un match plus « facile » face aux Lady Gaiters. C'était sans compter sur dame nature. C'est sous la pluie et la neige que l'équipe féminine de l'UQAM a reçu la visite de l'Université Bishop's, vendredi, au Complexe sportif Claude-Robillard. Les Citadins ont joué à l'image de leur saison. Malgré leur domination face à une équipe située derrière elle au classement, l'UQAM a été incapable de marquer plus de buts que l'adversaire. Résultat : match nul de 1 à 1.
La première mi-temps a été tout à l'avantage des Citadins. Leur manque d'opportunisme combiné au brio de la gardienne de but adverse, Chelsea Aboud, a eu raison de l'attaque uqamienne qui a été incapable d'inscrire le premier but du match, malgré plusieurs occasions de marquer.
Une deuxième mi-temps à l'image de la première sauf que l'attaque des Lady Gaiters a profité d'une de ses rares incursions en territoire adverse. Laura Bowie, oubliée près de la surface de réparation, a inscrit son équipe au pointage. Les Citadins ont ensuite redoublé d'ardeur. Marie-Émilie Perreault-Morrier est finalement parvenu à déjouer la gardienne de but ennemie à mi-chemin en deuxième mi-temps. L'attaque de l'UQAM a tout tenté en fin de match pour aller chercher la victoire. À la 90e minute, Marie-Émilie s'est retrouvée seule devant le gardien, mais elle a, à nouveau, dû s'avouer vaincue.
« C'est impossible de gagner en ratant autant de chances de marquer, a avoué l'entraîneur-chef des Citadins, Sophie Drolet. Ça a été notre problème toute la saison. Nous avons des chances, mais nous ne pouvons en profiter ; nous leur donnons un cadeau et elles marquent. »
Les gardiennes substituts Myriam DaSilva Rondeau et Bénédicte Robitaille se sont partagées le travail devant le filet des Citadins.
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Décidemment, peu importe la façon dont ils s'y prennent, les Citadins-hommes ont de la difficulté à aller chercher une victoire qui leur permettrait d'améliorer leur position au classement, très serré, de la division du Québec. L'UQAM n'a pu faire mieux qu'un verdict nul face aux Patriotes, dimanche, et demeure donc à un seul point de l'UQTR et de la dernière place donnant accès aux séries éliminatoires.
Comme dans la plupart des rencontres disputées cette saison, les Citadins ont eu l'avantage autant au niveau du contrôle du ballon, qu'au pointage, pendant près de 90 minutes. Ils ont été les seuls à s'inscrire à la marque en première mi-temps, grâce à William Baltimore. Cette mince avance d'un but semblait suffisante pour la troupe de Christophe Dutarte, suite au brio de la défensive et du gardien de but, Pascal Trudel, mais, encore une fois, l'adversaire profite d'une erreur à la 84e minute pour permettre aux Patriotes de se sauver avec un match nul de 1 à 1. Les Citadins avaient pourtant eu plusieurs chances de clouer le cercueil de l'UQTR, sans parvenir à les concrétiser.
Autre résultat décevant pour l'entraîneur-chef des Citadins : « Nous avons encore disputé un bon match, mais ce n'est toujours pas suffisant pour l'emporter. Après des victoires surprenantes contre Laval et Sherbrooke, l'UQTR joue avec beaucoup de confiance, contrairement à notre équipe qui semble nerveuse. »
Chez les femmes
Les équipes féminines de l'UQAM et de l'UQTR, exclues des séries éliminatoires, se sont livrées un duel sans intensité, dimanche, au CAPS de l'Université du Québec à Trois-Rivières. Les Patriotes, toujours en quête d'un premier gain cette saison, ont soutiré un match nul de 0 à 0 aux Citadins.
Le match s'est principalement déroulé en territoire central, les deux défensives limitant les chances de marquer. La gardienne de but des Citadins, Bénédicte Robitaille, peut être satisfaite de son premier départ de la saison devant la cage de l'UQAM. Quoique peu occupée, Bénédicte a été solide, repoussant les quelques tirs dirigés dans sa direction.
« Il faut donner crédit aux Patriotes, a déclaré l'entraîneur-chef des Citadins, Sophie Drolet. Même si elles sont moins expérimentées, elles ont le mérite de ne pas abandonner et de travailler très fort pendant 90 minutes. »