L'an dernier, c'est à l'occasion du Grand Prix du Mexique que Lewis Hamilton avait décroché son cinquième titre de champion du monde de Formule 1.

Le scénario pourrait de nouveau se répéter en fin de semaine à Mexico. Mais pour le Québécois Lance Stroll, les objectifs sont plus modestes.

Encore cette année, le GP du Mexique sera un immense succès populaire, alors que tous les billets disponibles se sont envolés. De tous les Grands Prix préférés de Lance Stroll, la course de Mexico n'arrive toutefois pas au premier rang.

« Montréal est premier et de loin! Mexique, c'est super. Monza aussi. Moi j'aime bien Melbourne, c'est une des meilleures courses de l'année. Et Austin c'est bien! »

Le Grand Prix du Mexique est bien particulier, puisqu'il est présenté en altitude. L'adaptation est difficile, mais beaucoup plus pour les moteurs et l'aérodynamique que pour les pilotes.

« Je suis habitué à ça au Canada dans les montagnes à faire du ski. Je me sens bien ici. Mais pour la voiture, c'est complètement différent, ça change les aérodynamiques. C'est sûr que c'est un challenge pour nous après Suzuka. »

Avant d'arriver au Mexique l'écurie Racing Point a profité de points bonis liés à la disqualification des deux voitures Renault au Japon. Ces points supplémentaires aideront l'écurie dans sa quête de rejoindre et dépasser Renault au cinquième rang.

« Oui, c'est ça l'objectif, on doit marquer des bons points. Il reste quatre courses, c’est important de prendre le plus de points que l'on peut. »

Actuellement, Racing Point accuse 4 points de retard sur Toro Rosso et 10 points sur Renault.

« Un circuit court et technique »