Il n'y a que très peu d'espoir que la LNH commence la saison le 1er janvier, et donc la ligue et les joueurs se concentrent à l'entamer à la mi-janvier, a déclaré une source à l'Associated Press, vendredi.

Cela est devenu plus réaliste compte tenu des problèmes à résoudre avant que les joueurs puissent retourner dans les marchés.

La personne a parlé sous couvert d'anonymat, car les discussions sont privées.

Les deux parties doivent s'entendre sur un calendrier, le plan de travail actuel comprenant entre 52 et 56 matchs de saison régulière.

Il a également été question d'une période tampon au calendrier au cas où des matches doivent être reportés, a déclaré la source.

Sans entrer dans les détails, le commissaire adjoint de la LNH, Bill Daly, a déclaré à l'AP que « divers concepts se ressemblant sont en discussion », lorsqu'interrogé sur le calendrier de 52 ou 56 matchs et un début à la mi-janvier.

Un réalignement temporaire des sections doit probablement être établi. Il pourrait y avoir une section pancanadienne, en raison de la restriction des voyages transfrontaliers, ainsi qu'un protocole mis à jour en lien à la COVID-19, pour les joueurs et les équipes.

Avec un début de saison à la mi-janvier, les joueurs devraient commencer à se rapporter après Noël, suivi d'un camp d'entraînement et de matches préparatoires sur une durée écourtée.

La saison régulière s'étendrait probablement jusqu'au début de mai au plus tard, avec la finale de la coupe Stanley devant se terminer à la fin juin ou au début juillet.

Ce serait similaire à la saison 2013, qui a débuté à la mi-janvier et comportait un calendrier de 48 matchs à la suite du lock-out. Les équipes ont alors eu un calendrier condensé de 48 matches en un peu moins de 100 jours.

Dans une saison normale, les équipes disputent 82 matches sur une période d'environ 185 jours, et il y a des pauses pour Noël, le match des étoiles et une semaine de congé.

Environ cinq mois après la prolongation de la convention collective, la ligue a proposé de modifier l'accord pour compenser les pertes projetées affectant la répartition des revenus à 50-50 entre les propriétaires et les joueurs.

L'entente actuelle demande aux joueurs de différer 10 % de leur salaire pour la saison à venir et limite le montant d'argent qui sera confié à un tiers, pendant la durée de l'accord.