En cette fin de saison 2014-2015, l’attaquant Tomas Plekanec, du Canadien de Montréal tentera de poursuivre son beau travail et d’atteindre trois plateaux offensifs.

Il présente un rendement de 22-30-52 avec un différentiel de plus 11 en 73 matchs cette saison et en carrière, il a un dossier global de 198-293-491 avec un différentiel de plus 43 en 752 matchs réguliers depuis ses débuts en 2003-2004.

Dans l’histoire du Canadien, avec deux autres buts, il deviendra le 23e joueur à atteindre le plateau des 200 buts, il n’a besoin que de sept assistances pour devenir le 26e à atteindre le cap des 300 et avec neuf autres points, il sera le 23e à faire son entrée dans le groupe des 500 points.

Soulignons qu’il a récemment atteint le plateau des 750 parties en saison régulière, devenant le 25e joueur de l’équipe à atteindre cette marque.

Il a été plus productif à l’étranger qu’à domicile lors de sa carrière

Il a un dossier de 12-16-28 avec un différentiel de plus sept en 37 matchs disputés au Centre Bell et de 10-14-24 avec un différentiel de plus quatre en 36 matchs joués à l’étranger.

Soulignons que depuis le début de sa carrière, Plekanec a produit de meilleurs résultats à l’étranger qu’au Centre Bell, car il a une fiche de 104-146-250 avec un différentiel de plus cinq en 372 matchs sur les patinoires adverses et de 94-147-241 avec un différentiel de plus 38 en 380 matchs disputés à Montréal.

Il a été un joueur très résistant, ratant peu de matchs depuis 2006-2007

Ce qu’il faut retenir de l’actuelle carrière de Tomas Plekanec est le fait qu’il a été un joueur bien utilisé et aussi très résistant, ratant très peu de rencontres.

Il a disputé 671 des 683 rencontres de l’équipe depuis le début de la saison 2006-2007, ratant cinq matchs en 2010-2011, deux rencontres en 2008-2009 et seulement un match lors des saisons 2006-2007, 2007-2008, 2011-2012 et 2013-2014 et aussi lors de la saison écourtée de 48 matchs de 2012-2013.

Cela équivaut à une moyenne de présence de 98,24%, ce qui est très près de la perfection.

Plekanec, qui a eu 32 ans le 31 octobre dernier, tentera de poursuivre son bon travail en affrontant les Predators de Nashville, une équipe contre laquelle il a un dossier à vie de 2-2-4 avec un différentiel égal en neuf rencontres, dont 1-1-2 avec un différentiel de plus deux en quatre matchs au Bridgestone Arena.

Les Sabres ont été limités à un but ou moins dans 48,61% de leurs matchs

Tout comme l’an dernier, les Sabres de Buffalo en arrachent beaucoup et encore plus sur le plan de l’attaque, eux qui sont souvent limités à très peu de buts.

En effet, après avoir marqué seulement 157 buts en 82 matchs, une moyenne de 1,92 par match, lors de la saison 2013-2014, la formation de Ted Nolan est encore au dernier rang à ce chapitre, n’ayant marqué que 135 buts en 72 rencontres, une moyenne de 1,88 par match.

Pis, elle a été limitée à un but ou moins dans 35 des 72 rencontres (48,61%), subissant l’humiliation d’un blanchissage en 12 occasions (un sommet dans la LNH) et n’ayant marqué qu’un but 23 fois.

Les Sabres ont marqué deux buts en 15 occasions, trois buts, à 11 reprises, quatre buts, huit fois, cinq buts, une fois et six buts, en deux occasions, les deux à domicile, le 15 novembre 2014, dans un gain de 6-2, face aux Maple Leafs de Toronto et le 26 février 2015, lors d’une victoire de 6-3, contre les Canucks de Vancouver.

Quelle volte-face pour le défenseur Tyler Myers avec les Jets de Winnipeg !

C’est une véritable volte-face que présente le défenseur Tyler Myers, des Jets de Winnipeg, car il a retrouvé son excellence de ses premières saisons dans la LNH.

En effet, récipiendaire du Trophée Calder remis à la recrue par excellence en 2009-2010, l’ex-joueur des Sabres de Buffalo, qui a été obtenu dans une importante transaction il y a quelques semaines, présente un rendement à la hauteur des attentes avec la formation de Paul Maurice.

Auteur d’un piètre dossier de 4-9-13 avec un pitoyable différentiel de moins 15 en 47 matchs avec les Sabres de Buffalo, il a rebondi d’une manière impressionnante, lui qui a un rendement de 2-8-10 avec un différentiel positif de plus six dans ses 15 rencontres disputées avec les Jets.

Encore plus, après avoir présenté un différentiel négatif de moins un, lors de son premier match avec l’équipe, un revers de 3-1, face aux Predators de Nashville, au Bridgestone Arena, le 12 février dernier, il ne s’est pas retrouvé en terrain négatif lors de ses 14 derniers matchs, ayant eu un dossier égal en huit occasions et positif dans les six autres parties.

Soulignons que Myers, qui a eu 25 ans le 1er février et qui fait 6’08’’ pour 220 livres, avait été le premier choix des Sabres de Buffalo, le 12e au total du repêchage de 2008 et avait présenté une fiche de 11-37-48 avec un différentiel de plus 13 en 82 matchs lors de sa première saison en 2009-2010, mais avait régressé par la suite.

En 2010-2011, il avait eu une fiche de 10-27-37 avec un différentiel égal en 80 matchs, en 2011-2012, il avait présenté un dossier de 8-15-23 avec un différentiel de plus cinq en 55 matchs, en 2013-2014, il avait eu un rendement de 3-5-8 avec un différentiel de moins huit en 39 matchs, alors que l’an dernier, ce fut pire que jamais, alors qu’il a eu un dossier de 9-13-22 avec un misérable différentiel de moins 26 en 62 matchs.

Le 11 février dernier, les Sabres l’échangeaient avec Joel Armia, Drew Stafford, Brendan Lemieux et un choix de première ronde au repêchage de 2015, en retour de Jason Kasdorf, Evander Kane et Zach Bogosian.

Depuis son arrivée avec les Jets, ces derniers, qui viennent de remporter quatre gains de suite, ont un rendement 9-5-2 pour 20 points, une moyenne de ,625 en 16 matchs (il a raté la rencontre du 14 mars, un gain de 2-1, face au Lightning de Tampa Bay), comparativement à un dossier de 28-18-10 pour 66 points, une moyenne de ,589 lors des 56 rencontres disputées avant la transaction.

Les Jets, qui tentent de participer aux séries éliminatoires pour la première fois depuis leur retour à Winnipeg en 2011-2012, visitent ce soir, les Oilers d’Edmonton, à la Place Rexall, une équipe contre laquelle ils ont une fiche de 2-0-0 en deux matchs cette saison, signant des victoires à domicile de 3-2, en prolongation, le 3 décembre derniet et de 5-4, en tirs de barrage, le 16 février.

Suite à cette rencontre, les Jets vont se déplacer rapidement, car ils vont affronter les Canucks de Vancouver, mardi soir, au Rogers Arena et jeudi, ils recevront la visite du Canadien de Montréal, au MTS Center.

L’Avalanche du Colorado dispute un match capital contre les Flames de Calgary

Si l’Avalanche du Colorado veut conserver ses minces chances de participer aux séries éliminatoires, il doit remporter, en temps régulier, le match qui l’opposera ce soir, aux Flames de Calgary, au Saddledome de La Banque Scotia.

En effet, la troupe dirigée par Patrick Roy, dont la fiche est de 33-26-12 pour 78 points lors de ses 71 matchs, accuse un retard de six points sur celle de Bob Hartley, dont le rendement est 39-27-6 pour 84 points en 72 matchs, au 8e rang de l’Association de l’ouest, dernière position donnant accès aux éliminatoires.

Cela représente un retard de six points et encore plus, l’Avalanche devra terminer avec un point de plus que les Flames, car ces derniers ont un net avantage sur le premier bris d’égalité, ayant remporté 35 victoires en temps régulier et en prolongation, 11 de plus que la formation de Denver.

Suite à ce match contre les Flames, l’Avalanche, dont la fiche est de 7-2-1 lors des 10 dernières parties et 11-4-1 lors des 16 dernières, va affronter les Oilers d’Edmonton, mercredi, à La Place Rexall et les Canucks de Vancouver, au Rogers Arena, jeudi, avant de revevoir la visite des Sabres de Buffalo, samedi prochain.

Pour les Flames, dont la fiche est de 3-2-1 lors de leurs six derniers matchs, ils vont revevoir mercredi soir, la visite des Stars de Dallas, avant un épuisant voyage de cinq rencontres en seulement neuf jours, visitant respectivement le Wild du Minnesota, les Predators de Nashville, les Stars de Dallas, les Blues de St. Louis et les Oilers d’Edmonton.

Avec son récent rendement, l’Avalanche, qui avait terminé au premier rang de la section Centrale l’an dernier, avec une fiche de 52-22-8 pour 112 points en 82 matchs, va peut-être se souvenir le la fable du lièvre et de la tortue, qui dit que rien ne sert de courir, il faut partir à point.