Après un match nul et une victoire lors de la première portion du camp d'entraînement, l'Impact dispose maintenant de trois semaines pour peaufiner son approche en vue de la saison 2019.

Avec le départ difficile qu'a connu l'équipe l'an dernier, un début de saison qui a finalement coûté une place en séries, pas question d'arriver le 2 mars à San Jose comme de simples touristes.

« On a parlé déjà de ce qui s'est passé l'année passée. Les premiers 13 matchs, on en a perdu 10. C'est très important d'être compact les premiers six matchs à l'extérieur et prendre le plus possible de points », a soutenu Ignacio Piatti.

« C'est très important! Nous ne voulons pas revivre le scénario de l'an dernier. Je suis confiant de voir l'équipe fin prête », a maintenu le défenseur Jukka Raitala.

Contrairement aux deux premières rencontres préparatoires, les trois matchs suivants permettront à la plupart des joueurs de voir 90 minutes d'action. Et le onze partant prendra forme de plus en plus.

« Ce sera le temps de déterminer qui amorcera le premier match de la saison. Nous devrons adhérer au système de l'entraîneur et polir nos stratégies en attaque, tout comme en défense », a soutenu le milieu de terrain Michael Azira.

La semaine dernière, Rémi Garde a déclaré qu'il mise sur l'un des meilleurs groupes qu'il a dirigés. Homogénéité, solidarité, enthousiasme : le message de l'entraîneur-chef semble avoir été reçu.

« L'esprit d'équipe est l'un de ses principes fondamentaux. L'entraîneur y met beaucoup d'emphase. Je crois que la réponse des joueurs est bonne », a précisé Azira

« Depuis que je suis arrivée ici, il y a toujours eu une bonne ambiance, a affirmé Saphir Taïder. Les personnes sont chaleureuses et puis quand tu as besoin de quelque chose, tout le monde est à ton service. Il y a un esprit de famille et on vit vraiment bien ensemble. »

L'Impact sera donc en Floride jusqu'à la fin du mois de février, pour y disputer trois matchs préparatoires en huit jours. Prochain défi, un duel contre l'Union de Philadelphie, samedi.