Alain Baxter envisage de faire appel
Jeux olympiques jeudi, 21 mars 2002. 11:16 dimanche, 15 déc. 2024. 00:31
LONDRES, (AFP) - Le skieur britannique Alain Baxter, convaincu de dopage aux Jeux olympiques d'hiver de Salt Lake City et disqualifié jeudi par le Comité international olympique (CIO), envisage de faire appel de cette décision, a-t-il indiqué sur la chaîne de télévision Sky Sports News.
"Je vais discuter avec mes avocats à ce sujet", a indiqué Baxter, 3e du slalom disputé le 23 février dernier. En attendant, il devra restituer sa médaille de bronze, la première jamais obtenue en ski alpin par un Britannique, au plus tard le 31 mars.
Un contrôle antidopage effectué à l'issue de la course a détecté dans les urines de Baxter des traces de méthamphétamine (dérivé d'amphétamine), substance figurant sur la liste des produits interdits.
Le skieur écossais a expliqué jeudi à Londres, lors d'une conférence de presse, qu'il avait utilisé à Salt Lake City un spray nasal qu'il croyait identique à celui qu'il utilise régulièrement en Europe. Il n'en a donc informé ni les médecins de l'équipe britannique, ni ceux qui ont procédé au contrôle antidopage.
"Je n'avais aucune raison de le faire vérifier, parce que je ne pensais pas qu'il pouvait y avoir un problème", a plaidé Baxter, 28 ans, qui risque une longue suspension, susceptible de briser sa carrière.
Le Bureau exécutif du CIO a demandé jeudi à la Fédération internationale de ski (FIS) de revoir le classement du slalom olympique, dont les deux premières places étaient revenues aux Français Jean-Pierre Vidal et Sébastien Amiez.
L'Autrichien Benjamin Raich avait terminé 4e. Le CIO n'a toutefois pas précisé s'il hériterait de la médaille de bronze confisquée à Baxter.
"Je vais discuter avec mes avocats à ce sujet", a indiqué Baxter, 3e du slalom disputé le 23 février dernier. En attendant, il devra restituer sa médaille de bronze, la première jamais obtenue en ski alpin par un Britannique, au plus tard le 31 mars.
Un contrôle antidopage effectué à l'issue de la course a détecté dans les urines de Baxter des traces de méthamphétamine (dérivé d'amphétamine), substance figurant sur la liste des produits interdits.
Le skieur écossais a expliqué jeudi à Londres, lors d'une conférence de presse, qu'il avait utilisé à Salt Lake City un spray nasal qu'il croyait identique à celui qu'il utilise régulièrement en Europe. Il n'en a donc informé ni les médecins de l'équipe britannique, ni ceux qui ont procédé au contrôle antidopage.
"Je n'avais aucune raison de le faire vérifier, parce que je ne pensais pas qu'il pouvait y avoir un problème", a plaidé Baxter, 28 ans, qui risque une longue suspension, susceptible de briser sa carrière.
Le Bureau exécutif du CIO a demandé jeudi à la Fédération internationale de ski (FIS) de revoir le classement du slalom olympique, dont les deux premières places étaient revenues aux Français Jean-Pierre Vidal et Sébastien Amiez.
L'Autrichien Benjamin Raich avait terminé 4e. Le CIO n'a toutefois pas précisé s'il hériterait de la médaille de bronze confisquée à Baxter.