Bonds : témoignages de chimistes
Baseball mardi, 5 avr. 2011. 13:33 vendredi, 13 déc. 2024. 18:54
SAN FRANCISCO - La juge a rejeté la demande pour que le jury puisse entendre un enregistrement dans le procès pour parjure de Barry Bonds. Selon les procureurs fédéraux, cet enregistrement peut démontrer que Bonds savait qu'il prenait des stéroïdes.
La juge fédéral Susan Illston a déterminé que l'enregistrement est inadmissible parce qu'il est «presque incompréhensible» et que ce qu'on peut y entendre n'est pas pertinent.
Cet enregistrement contient une conversation entre le chirurgien orthopédiste de Bonds, le Dr. Arthur Ting, et son ancien gérant, Steve Hoskins. Ce dernier a secrètement enregistré la conversation en 2003.
Les procureurs avaient espéré utilisé cet enregistrement pour reprendre le momentum qu'ils ont perdu quand Ting a sérieusement miné la crédibilité du témoignage de Hoskins.
Ting a carrément démenti le témoignage de Hoskins la semaine dernière selon lequel les deux hommes avaient eu une cinquantaine de conversations au sujet de Bonds et des stéroïdes. Ting a soutenu qu'ils n'ont jamais discuté ensemble de ce sujet.
Au début de cette 10e journée de procès, les procureurs ont tenté de boucler la boucle sur l'échantillon d'urine du puissant cogneur qui s'est révélé positif aux stéroïdes en 2003.
Ils ont fait témoigner trois chimistes du Laboratoire olympique de l'UCLA pour décrire la façon dont ils ont manipulé et analysé l'échantillon.
Bonds a fourni l'échantillon en 2003 dans le cadre du programme initial de dépistage des stéroïdes instauré par le Baseball majeur. Les enquêteurs fédéraux ont saisi l'échantillon en 2004 et demandé au laboratoire de UCLA de le tester en 2006.
L'ancien directeur du laboratoire, le Dr. Don Catlin, est censé être le prochain témoin.
Bonds, qui détient les records de circuits en carrière et pour une saison dans les ligues majeures, est accusé d'avoir menti à un grand jury en 2003 quand il a dit qu'il n'a jamais sciemment pris de produits dopants. Le procès en est à sa troisième semaine.
La juge fédéral Susan Illston a déterminé que l'enregistrement est inadmissible parce qu'il est «presque incompréhensible» et que ce qu'on peut y entendre n'est pas pertinent.
Cet enregistrement contient une conversation entre le chirurgien orthopédiste de Bonds, le Dr. Arthur Ting, et son ancien gérant, Steve Hoskins. Ce dernier a secrètement enregistré la conversation en 2003.
Les procureurs avaient espéré utilisé cet enregistrement pour reprendre le momentum qu'ils ont perdu quand Ting a sérieusement miné la crédibilité du témoignage de Hoskins.
Ting a carrément démenti le témoignage de Hoskins la semaine dernière selon lequel les deux hommes avaient eu une cinquantaine de conversations au sujet de Bonds et des stéroïdes. Ting a soutenu qu'ils n'ont jamais discuté ensemble de ce sujet.
Au début de cette 10e journée de procès, les procureurs ont tenté de boucler la boucle sur l'échantillon d'urine du puissant cogneur qui s'est révélé positif aux stéroïdes en 2003.
Ils ont fait témoigner trois chimistes du Laboratoire olympique de l'UCLA pour décrire la façon dont ils ont manipulé et analysé l'échantillon.
Bonds a fourni l'échantillon en 2003 dans le cadre du programme initial de dépistage des stéroïdes instauré par le Baseball majeur. Les enquêteurs fédéraux ont saisi l'échantillon en 2004 et demandé au laboratoire de UCLA de le tester en 2006.
L'ancien directeur du laboratoire, le Dr. Don Catlin, est censé être le prochain témoin.
Bonds, qui détient les records de circuits en carrière et pour une saison dans les ligues majeures, est accusé d'avoir menti à un grand jury en 2003 quand il a dit qu'il n'a jamais sciemment pris de produits dopants. Le procès en est à sa troisième semaine.