Les stéroïdes répandus il y a 40 ans
Baseball mardi, 3 mai 2005. 15:56 jeudi, 12 déc. 2024. 07:42
(RDS) - L'ancien lanceur Tom House a déclaré avoir consommé des stéroïdes pendant sa carrière et a ajouté que les drogues améliorant les performances étaient largement répandues dans les majeures dans les années 1960 et 1970, rapporte mardi le San Francisco Chronicle.
House, mieux connu pour avoir attrapé la balle du 715e circuit de Hank Aaron dans l'enclos des Braves d'Atlanta en 1974, a indiqué que lui et plusieurs de ses coéquipiers utilisaient des amphétamines, des hormones de croissance... enfin "n'importe quel produit" pouvant améliorer les performances.
"Nous prenions à peu près n'importe quoi. Nous prenions des stéroïdes que l'on ne donnait même pas aux chevaux. Ça, c'était dans les années '60, quand personne ne connaissait ces produits. La bonne chose est que l'on connaît beaucoup plus les effets des stéroïdes. Il s'est fait beaucoup de recherche dans les dernières années", explique House dans un article publié mardi.
House, un ancien entraîneur des lanceurs des Rangers du Texas et co-fondateur de la National Pitching Association, est le premier à décrire l'utilisation des stéroïdes dans les années '60.
Il a été repêché en 1967 par les Braves et a lancé huit saisons à Atlanta, Boston et Seattle, compilant un dossier de 29-23 et une mpm de 3.79.
House, 58 ans, estime que six ou sept lanceurs par équipe consommaient des stéroïdes ou des hormones de croissance.
House prétend avoir gagné près de 30 livres grâce aux stéroïdes, ce qui a, selon lui, contribué à ses problèmes aux genoux. La drogue l'aurait aidé à retrouver la forme mais ne l'a pas aidé à retrouver la vélocité sur sa rapide.
"J'ai tout tenté pour améliorer ma balle rapide, mais je n'ai jamais pu dépasser les 82 miles à l'heure. J'ai échoué", de commenter House.
House, mieux connu pour avoir attrapé la balle du 715e circuit de Hank Aaron dans l'enclos des Braves d'Atlanta en 1974, a indiqué que lui et plusieurs de ses coéquipiers utilisaient des amphétamines, des hormones de croissance... enfin "n'importe quel produit" pouvant améliorer les performances.
"Nous prenions à peu près n'importe quoi. Nous prenions des stéroïdes que l'on ne donnait même pas aux chevaux. Ça, c'était dans les années '60, quand personne ne connaissait ces produits. La bonne chose est que l'on connaît beaucoup plus les effets des stéroïdes. Il s'est fait beaucoup de recherche dans les dernières années", explique House dans un article publié mardi.
House, un ancien entraîneur des lanceurs des Rangers du Texas et co-fondateur de la National Pitching Association, est le premier à décrire l'utilisation des stéroïdes dans les années '60.
Il a été repêché en 1967 par les Braves et a lancé huit saisons à Atlanta, Boston et Seattle, compilant un dossier de 29-23 et une mpm de 3.79.
House, 58 ans, estime que six ou sept lanceurs par équipe consommaient des stéroïdes ou des hormones de croissance.
House prétend avoir gagné près de 30 livres grâce aux stéroïdes, ce qui a, selon lui, contribué à ses problèmes aux genoux. La drogue l'aurait aidé à retrouver la forme mais ne l'a pas aidé à retrouver la vélocité sur sa rapide.
"J'ai tout tenté pour améliorer ma balle rapide, mais je n'ai jamais pu dépasser les 82 miles à l'heure. J'ai échoué", de commenter House.