McNamee aurait déjà menti
Baseball mardi, 8 janv. 2008. 19:24 samedi, 14 déc. 2024. 20:46
ST. PETERSBURG - Des enquêteurs croient que l'ancien entraîneur des Blue Jays de Toronto, qui dit avoir injecté des stéroides anabolisants à Roger Clemens, leur aurait menti en 2001 lors d'une enquête au sujet d'un viol. C'est ce que révèlent des documents policiers rendus publics mardi.
Les policiers ont dit que Brian McNamee a nié avoir eu des relations sexuelles avec une femme qui aurait été droguée, même si des gardes de sécurité et d'autres témoins ont affirmé le contraire.
McNamee avait alors embauché un avocat de New York, qui avait communiqué avec les enquêteurs pour fixer un rendez-vous.
"Je lui ai expliqué que son client m'avait parlé une fois et qu'il m'avait menti," a dit l'enquêteur Donald Crotty de la police de St. Petersburg.
Le procureur de l'Etat de la Floride avait par ailleurs décidé de ne pas porter des accusations contre McNamee.
Dans sa poursuite en diffamation déposée dimanche au Texas, Clemens a parlé de cet incident pour montrer que McNamee était malhonnête.
"Ce qu'il faut se demander est si ce gars-là ment à toutes les fois qu'ils se retrouve sur la sellette," a dit Rusty Hardin, avocat de Clemens.
Earl Ward, un des avocats de McNamee a dit que l'incident de St. Petersburg n'entâchait en rien la crédibilité de son client. Il a mentionné que les déclarations de son client au sujet de Clemens ont paru tout à fait crédiblies pour l'ancien sénateur George Mitchell.
"Ce qu'il faut retenir est que cette enquête en Floride n'a mené nulle part et aucune accusation n'a été portée contre mon client, a dit Ward. C'est là une autre tentative pour discréditer mon client. Cela n'a rien à voir avec le cas de Clemens."
Les policiers ont dit que Brian McNamee a nié avoir eu des relations sexuelles avec une femme qui aurait été droguée, même si des gardes de sécurité et d'autres témoins ont affirmé le contraire.
McNamee avait alors embauché un avocat de New York, qui avait communiqué avec les enquêteurs pour fixer un rendez-vous.
"Je lui ai expliqué que son client m'avait parlé une fois et qu'il m'avait menti," a dit l'enquêteur Donald Crotty de la police de St. Petersburg.
Le procureur de l'Etat de la Floride avait par ailleurs décidé de ne pas porter des accusations contre McNamee.
Dans sa poursuite en diffamation déposée dimanche au Texas, Clemens a parlé de cet incident pour montrer que McNamee était malhonnête.
"Ce qu'il faut se demander est si ce gars-là ment à toutes les fois qu'ils se retrouve sur la sellette," a dit Rusty Hardin, avocat de Clemens.
Earl Ward, un des avocats de McNamee a dit que l'incident de St. Petersburg n'entâchait en rien la crédibilité de son client. Il a mentionné que les déclarations de son client au sujet de Clemens ont paru tout à fait crédiblies pour l'ancien sénateur George Mitchell.
"Ce qu'il faut retenir est que cette enquête en Floride n'a mené nulle part et aucune accusation n'a été portée contre mon client, a dit Ward. C'est là une autre tentative pour discréditer mon client. Cela n'a rien à voir avec le cas de Clemens."