Bradley justifie ses malheurs à Chicago
Baseball jeudi, 4 mars 2010. 14:11 dimanche, 15 déc. 2024. 01:55
Milton Bradley croit que les attentes irréalistes et le manque de communication, et non le joueur lui-même, sont responsables de ses insuccès à sa seule saison avec les Cubs de Chicago.
Dans une entrevue accordée au New York Times, Bradley, qui a été échangé pendant l'hiver aux Mariners de Seattle en retour du lanceur Carlos Silva, a fait référence à son parcours pour expliquer ce qui s'est produit à Chicago.
« Il y a deux ans, je jouais bien », a dit Bradley au quotidien. « Et à Chicago, ç'a mal été. J'ai été bon depuis le début de ma carrière. Ç'a n'a rien à voir avec moi, mais avec Chicago. »
Bradley, qui a évolué avec huit équipes en 11 saisons, a connu sa meilleure campagne avec les Rangers du Texas en 2008, maintenant une moyenne au bâton de ,321 avec 22 circuits et 77 points produits. À la recherche d'un frappeur gaucher, les Cubs ont ensuite consenti un contrat de trois ans d'une valeur de 30 millions $ US au bouillant voltigeur.
Bradley n'a finalement pas été capable de composer avec la pression d'un gros marché, ne présentant qu'une moyenne à la plaque de ,257 avec 12 circuits et 40 points produits.
« Il n'y avait juste pas de communication », a ajouté Bradley au journal. « Je n'ai jamais frappé plus de 22 circuits et tout le monde s'attendait à ce que j'en cogne 30 soudainement. Ça n'a juste pas de sens. »
Les Mariners que Bradley devienne leur troisième frappeur, lui qui présente une moyenne au bâton de ,277 depuis le début de sa carrière.
« Nous avons fait l'échange parce que nous étions à la recherche de ce type de joueur », a précisé le directeur général Jack Zduriencik » au quotidien. « Nous avons confiance en notre gérant Don Wakamatsu. Il laisse les joueurs s'exprimer. »
Dans une entrevue accordée au New York Times, Bradley, qui a été échangé pendant l'hiver aux Mariners de Seattle en retour du lanceur Carlos Silva, a fait référence à son parcours pour expliquer ce qui s'est produit à Chicago.
« Il y a deux ans, je jouais bien », a dit Bradley au quotidien. « Et à Chicago, ç'a mal été. J'ai été bon depuis le début de ma carrière. Ç'a n'a rien à voir avec moi, mais avec Chicago. »
Bradley, qui a évolué avec huit équipes en 11 saisons, a connu sa meilleure campagne avec les Rangers du Texas en 2008, maintenant une moyenne au bâton de ,321 avec 22 circuits et 77 points produits. À la recherche d'un frappeur gaucher, les Cubs ont ensuite consenti un contrat de trois ans d'une valeur de 30 millions $ US au bouillant voltigeur.
Bradley n'a finalement pas été capable de composer avec la pression d'un gros marché, ne présentant qu'une moyenne à la plaque de ,257 avec 12 circuits et 40 points produits.
« Il n'y avait juste pas de communication », a ajouté Bradley au journal. « Je n'ai jamais frappé plus de 22 circuits et tout le monde s'attendait à ce que j'en cogne 30 soudainement. Ça n'a juste pas de sens. »
Les Mariners que Bradley devienne leur troisième frappeur, lui qui présente une moyenne au bâton de ,277 depuis le début de sa carrière.
« Nous avons fait l'échange parce que nous étions à la recherche de ce type de joueur », a précisé le directeur général Jack Zduriencik » au quotidien. « Nous avons confiance en notre gérant Don Wakamatsu. Il laisse les joueurs s'exprimer. »