Byrd discute de sa consommation
Baseball lundi, 17 déc. 2007. 20:50 samedi, 14 déc. 2024. 23:38
NEW YORK - Le lanceur Paul Byrd, des Indians de Cleveland, a rencontré les dirigeants du baseball majeur lundi pour discuter de l'usage qu'il a fait d'hormones de croissance.
On ne sait pas encore si Byrd sera sanctionné par le commissaire ou quand cela se produira.
Rob Manfred, vice-président des ligues majeures affecté aux relations de travail, et Michael Weiner, conseiller juridique de l'Association des joueurs, étaient présents à la réunion.
Avant la présentation du septième match de la série de championnat de la Ligue américaine à Boston, le San Francisco Chronicle a révélé que Byrd avait admis avoir fait usage d'hormones de croissance après avoir dépensé près de 25 000 $ pour se procurer cette drogue et des seringues.
Le lanceur de 37 ans, dont le nom a été mentionné dans le rapport Mitchell, a toujours prétendu qu'il avait fait usage d'hormones parce qu'il était malade et qu'il l'avait fait sous surveillance médicale.
Byrd a même dit que les dirigeants du baseball étaient au courant et qu'il laissait souvent les hormones dans les réfrigérateurs des stades, au vu et su de tout le monde.
On ne sait pas encore si Byrd sera sanctionné par le commissaire ou quand cela se produira.
Rob Manfred, vice-président des ligues majeures affecté aux relations de travail, et Michael Weiner, conseiller juridique de l'Association des joueurs, étaient présents à la réunion.
Avant la présentation du septième match de la série de championnat de la Ligue américaine à Boston, le San Francisco Chronicle a révélé que Byrd avait admis avoir fait usage d'hormones de croissance après avoir dépensé près de 25 000 $ pour se procurer cette drogue et des seringues.
Le lanceur de 37 ans, dont le nom a été mentionné dans le rapport Mitchell, a toujours prétendu qu'il avait fait usage d'hormones parce qu'il était malade et qu'il l'avait fait sous surveillance médicale.
Byrd a même dit que les dirigeants du baseball étaient au courant et qu'il laissait souvent les hormones dans les réfrigérateurs des stades, au vu et su de tout le monde.