Malchanceux, le canadien Erik Bedard ressemble au Steve Rogers de 1976 !

Le 45 des Astros, n’a pas gagné depuis le 26 juin, mais il fut mal appuyé

Le lanceur canadien Erik Bedard, des Astros de Houston a été malchanceux depuis un bon bout de temps, car il n’est pas en mesure malgrè plusieurs bonnes performances, de remporter des victoires.



Auteur en date du 26 juin, d’un dossier de 3–3 avec une moyenne de 4,44 lors de ses 16 premiers matchs (dont 14 départs), il est 0–5 avec une moyenne de 3,98 lors de ses sept dernières rencontres disputées depuis le 2 juillet, mais il a été victime de la faiblesse de ses coéquipiers, car il a concédé trois points mérités ou moins dans cinq des sept rencontres.

Les Astros, qui ont subi la défaite dans les sept derniers matchs de Bedard, ont marqué un gros total de 15 points lors des sept rencontres, une moyenne de 2,14 par match, étant blanchis en trois occasions lors de cette séquence.

Le comble de la malchance fut lors du match du 20 juillet, alors qu’il avait lancé durant 6,1 manches et n’avait pas concédé un seul coup sûr, cinq buts sur balles, trois points, dont un seul mérité, mais cela lui a valu une défaite de 4–2, face aux Mariners de Seattle !

Il a une fiche de 1–6 avec une très haute moyenne de 5,65 en 12 matchs à l’étranger cette saison.

Il tentera de mettre fin à cette vilaine disette en affrontant les A’s d’Oakland, une équipe contre laquelle il a un dossier de 0–1 avec une astronomique moyenne de 13,50 en deux départs cette saison, concédant pas moins de huit points mérités en seulement 5,1 manches.

Soulignons qu’il a connu le pire départ de sa carrière lors du match du 15 avril contre ces mêmes A’s d’Oakland, concédant six points mérités en 0,1 manche, sa plus courte sortie dans les majeures, un revers de 11–2, au Oakland Coliseum, alors que lors du match du 24 mai, il n’avait pas été impliqué dans la décision, un revers de 6–5, alors qu’il avait concédé deux points mérités en 5,0 manches.

Il présente un dossier à vie de 4–4 avec une moyenne de 3,50 en 13 rencontres contre eux, dont une fiche de 3–1 avec une moyenne de 3,49 en cinq matchs au Oakland Coliseum.

Un fait important: les Astros ont gagné les deux premiers matchs de la présente série de trois sur le terrain des A‘s et ils tenteront de les balayer en remportant le match de ce jeudi.

Avec le numéro 45, Erik Bedard ressemble à un certain Steve Rogers avec les Expos de Montréal …

En regardant les statistiques de Bedard, on peut constater qu’il semble aussi malchanceux que l’avait été un certain Steve Rogers, le numéro 45 des Expos de Montréal, alors que l’équipe était médiocre dans le milieu des années 1970 et plus spécialement lors de la saison 1976, alors qu’il avait présenté un dossier de 7–17 malgré une bonne moyenne de 3,21 en 33 matchs (dont 32 départs) et il avait dû réussir quatre blanchissages complets pour remporter quatre de ses sept victoires !



Avec sa présente saison, Erik Bedard et les Astros de Houston ont des ressemblances étranges avec Steve Rogers et les Expos de Montréal de 1976 …

Souhaitons seulement que le numéro 45 de Bedard soit plus bas que le total de victoires des Astros à la fin de la présente saison 2013 !

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A.J. Burnett lance mieux que jamais, mais perd plus souvent qu’autrement !

Il a la meilleure moyenne de sa carrière, mais a un dossier de 5-8 en 21 matchs

On peut dire que le mauvais sort s’acharne sur le lanceur A.J. Burnett, des Pirates de Pittsburgh, car même s’il offre le meilleur rendement de toute sa carrière au monticule, sa fiche de victoires-défaites est vraiment trompeuse et ne lui rend pas justice.



En effet, auteur d’une reluisante fiche de 16–10 avec une moyenne de 3,51 en 31 matchs l’an dernier, le choix de 8e ronde des Mets de New York en 1995, qui a joué avec les Marlins de la Floride, les Blue Jays de Toronto et les Yankees de New York, présente un dossier perdant de 5–8 et ce, malgré une excellente moyenne de 2,96 en 21 rencontres.

Pour illustrer sa malchance, cette moyenne de 2,96 est la meilleure de sa carrière, lui dont la fiche à vie est de 142–129 avec une moyenne de 3,98 en 366 matchs et dont la meilleure moyenne en une saison complète fut de 3,44 en 32 matchs (fiche de 12–12), en 2005 dans l’uniforme des Marlins de la Floride.

Il a concédé deux points mérités ou moins dans 15 de ses 21 départs

Il a excellé dans la plupart de ses rencontres et sa fiche pourrait tout aussi bien être de 8–5 au lieu de 5–8, car il a concédé deux points mérités ou moins dans 15 de ses 21 départs et trois points mérités dans quatre matchs.

Il n’a connu que deux mauvaises sorties, le 3 juin, alors qu’il avait été victime de six points mérités, dont trois circuits en 5,0 manches, dans un revers de 7 à 2, face aux Braves d’Atlanta, au Turner Field et aussi lors de son dernier départ, alors qu’il fut victime de six points, dont cinq mérités, en 5,2 manches, dans un revers de 6–4 contre les Rockies du Colorado, au Coors Field, un paradis pour les frappeurs.

L’an dernier, il avait présenté un rendement de 16–10 avec une moyenne de 3,51 en 31 matchs, dans l’uniforme des Pirates, alors qu’en 2011, lors de sa troisième et dernière saison avec les Yankees de New York, il avait réussi à présenter un dossier de ,500 (11–11), malgré une moyenne astronomique de 5,15 en 33 rencontres, dont 32 départs.

Soulignons que son sommet pour les victoires en une saison fut réalisé en 2008, alors qu’il avait présenté une fiche de 18–10 avec une moyenne de 4,07 avec les Blue Jays de Toronto.

Affichant en date du 4 mai, d’une fiche de 3–2 avec une moyenne de 2,57 lors de ses sept premiers matchs, il est 2–6 avec une moyenne de 3,12 lors de ses 14 derniers matchs disputés depuis le 8 mai.

Il n’a pas savouré la victoire dans le mois de juillet, sa fiche ayant été de 0–1 avec une superbe moyenne de 2,07 en quatre matchs et aucun circuit concédé en 30,1 manches, mais l’attaque, la relève et la défense ont flanché dans plusieurs des rencontres.

Il n’a pas concédé beaucoup de circuits dans la présente saison et aucun depuis le 8 juin

Une facette que Burnett a beaucoup amélioré cette saison est celle des circuits concédés, car il n’a été victime que de huit longues balles en 134,1 manches de travail et encore plus, il n’a pas concédé un seul circuit lors de ses 45,0 dernières manches lancées dans ses sept derniers départs, le dernier étant celui du 8 juin, contre Alfonso Soriano, des Cubs de Chicago, après un retrait en neuvième manche, lors d’un gain de 6–2 des Pirates.

Il a été superbe dans ses trois matchs contre les Cardinals de St. Louis en 2013

Le grand droitier, qui aura 37 ans le 3 janvier prochain, sera confronté aux puissants Cardinals de St. Louis, une formation contre laquelle il a été superbe cette saison, affichant un dossier de 2–0 avec une excellente moyenne de 1,35 en trois départs, ne leur concédant que neuf coups sûrs, six buts sur balles, trois points mérités, aucun circuit et enregistrant 23 retraits au bâton en 20,0 manches.

Après avoir gagné ses deux premiers départs contre eux cette saison, il n’a pas été impliqué dans la décision lors de son dernier match face à cette formation, un gain de 2–1, en 11 manches, le 30 juillet dernier, au PNC Park.

Il a un rendement global de 7–5 avec une moyenne de 3,67 en 14 matchs à vie contre la formation de Mike Matheny, dont un dossier de 3–2 avec une moyenne de 5,64 en cinq matchs à St. Louis, lui qui après avoir eu un dossier de 2–1 avec une excellente moyenne de 2,08 en trois matchs dans l’ancien Busch Stadium, a été matraqué dans le nouveau stade, étant 1–1 avec une astronomique moyenne de 14,54 en deux matchs, ayant concédé 14 points mérités en 8,2 manches de travail.

Soulignons que Burnett, dont la moitié du salaire de 16500000 de dollars est versée par les Yankees de New York, sera joueur autonome à la fin de la présente campagne.

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