Gagné a déjà changé d'idée
Baseball mardi, 13 mai 2008. 00:18 dimanche, 15 déc. 2024. 00:53
Deux jours après avoir déclaré qu'il n'était plus en mesure de s'acquitter de sa tâche de releveur numéro un des Brewers de Milwaukee, le Québécois Éric Gagné a déclaré qu'il était prêt à reprendre son poste.
Il ne sait juste pas quand il aura l'occasion de le faire.
« Je veux avoir la chance de me reprendre le plus rapidement possible », a dit Gagné lundi tout juste avant le match contre les Cardinals de St. Louis. « Je sais comment conclure une rencontre. C'est d'ailleurs la seule chose que je sais faire. »
Le gérant des Brewers Ned Yost n'a pas voulu préciser comment il entendait utiliser le Québécois, qui domine les majeures à égalité avec Jason Isringhausen des Cardinals pour le nombre de sabotages.
Après avoir été une fois de plus malmené samedi, Gagné avait indiqué qu'il ne méritait plus de lancer en neuvième manche. Il a toutefois rapidement changé d'idée dimanche lorsqu'il était assis dans l'enclos des releveurs.
« Je voulais être envoyé dans la mêlée dimanche », a expliqué le releveur de Mascouche. « J'étais là, assis avec mes coéquipiers, et la seule idée que j'avais en tête c'était de sauter sur le terrain et de lancer. »
Il ne sait juste pas quand il aura l'occasion de le faire.
« Je veux avoir la chance de me reprendre le plus rapidement possible », a dit Gagné lundi tout juste avant le match contre les Cardinals de St. Louis. « Je sais comment conclure une rencontre. C'est d'ailleurs la seule chose que je sais faire. »
Le gérant des Brewers Ned Yost n'a pas voulu préciser comment il entendait utiliser le Québécois, qui domine les majeures à égalité avec Jason Isringhausen des Cardinals pour le nombre de sabotages.
Après avoir été une fois de plus malmené samedi, Gagné avait indiqué qu'il ne méritait plus de lancer en neuvième manche. Il a toutefois rapidement changé d'idée dimanche lorsqu'il était assis dans l'enclos des releveurs.
« Je voulais être envoyé dans la mêlée dimanche », a expliqué le releveur de Mascouche. « J'étais là, assis avec mes coéquipiers, et la seule idée que j'avais en tête c'était de sauter sur le terrain et de lancer. »