Livan Hernandez est un mentor idéal
Baseball dimanche, 27 févr. 2011. 16:10 jeudi, 12 déc. 2024. 03:01
VIERA, États-Unis - Livan Hernandez amène aux Nationals de Washington beaucoup plus que ce qu'on connaît déjà de lui: un lanceur qui contribue beaucoup, beaucoup de manches, qui ne rate jamais un départ, et qui se place toujours en bonne position défensivement.
Les Nationals voient le droitier de 36 ans comme le parfait mentor pour un vestiaire plein de jeunes bras talentueux. Hernandez a gagné 166 matches en 15 saisons, dont une campagne de 15 victoires avec les Expos, en 2003.
«Livan incarne à merveille ce qu'il faut faire pour perfectionner l'art de lancer, a dit le gérant des Nationals, Jim Riggleman. Il met en pratique ce qui est nécessaire pour avoir du succès. Plusieurs gars l'observent et se disent, 'c'est ce que je dois réussir à faire moi aussi'.»
Hernandez n'a plus autant de vélocité dans sa rapide, mais il retire les frappeurs avec sa ruse, son expérience et une rapide tombante.
Le premier but Adam LaRoche, qui a souvent affronté Hernandez avant de se joindre aux Nationals comme joueur autonome, en janvier, le compare à un ancien gaucher des Braves, double gagnant du Cy Young.
«Il me fait penser à un Tom Glavine droitier," a dit LaRoche. Contre Glavine, vous saviez que vous n'alliez rien recevoir en plein coeur du marbre. Quand ça arrive, c'est presque surprenant, parce que c'est si rare que ces gars-là ratent leur coup. Ils ont une compréhension exceptionnelle de ce qu'il faut faire pour retirer les frappeurs.»
Hernandez ne se laisse pas affecter par un coup sûr opportun ou un faux pas. Il se concentre sur le prochain frappeur, et veut s'assurer d'une précision implacable dans ses tirs.
«L'emplacement est la clé au baseball, a dit le Cubain. Vous achetez une belle maison dans un bel emplacement, merveilleux. C'est comme ça. Si vous logez la balle au bon endroit, vous mettez les frappeurs hors d'équilibre et vous allez avoir le dessus.»
Stephen Strasburg, en rééducation après une opération Tommy John, a eu la chance d'observer Hernandez, l'an dernier, et il a beaucoup appris du vétéran.
«J'ai appris comment me sentir confortable au monticule, a dit Strasburg, premier choix du repêchage de 2009. Comment faire confiance à mes lancers, et aussi le fait de tout donner à chaque jour, de ne pas douter de soi-même. Le fait que Livan soit encore un lanceur des ligues majeures, ça montre qu'il a énormément confiance en lui-même, et c'est comme ça que chaque lanceur devrait penser.»
Jordan Zimmermann aime la capacité de Hernandez de toujours rester en contrôle, peu importe la situation. John Lannan, lui, étudie la façon qu'à Hernandez d'utiliser le compte et de gérer un départ.
Bien qu'il se voit travailler en Amérique latine ou comme adjoint d'un d.g. un jour, Hernandez n'est pas encore prêt pour la retraite.
«Je veux essayer de jouer pendant encore cinq ans et de voir ce qui va arriver, a dit Hernandez. Je veux être le Jamie Moyer des droitiers.»
Les Nationals voient le droitier de 36 ans comme le parfait mentor pour un vestiaire plein de jeunes bras talentueux. Hernandez a gagné 166 matches en 15 saisons, dont une campagne de 15 victoires avec les Expos, en 2003.
«Livan incarne à merveille ce qu'il faut faire pour perfectionner l'art de lancer, a dit le gérant des Nationals, Jim Riggleman. Il met en pratique ce qui est nécessaire pour avoir du succès. Plusieurs gars l'observent et se disent, 'c'est ce que je dois réussir à faire moi aussi'.»
Hernandez n'a plus autant de vélocité dans sa rapide, mais il retire les frappeurs avec sa ruse, son expérience et une rapide tombante.
Le premier but Adam LaRoche, qui a souvent affronté Hernandez avant de se joindre aux Nationals comme joueur autonome, en janvier, le compare à un ancien gaucher des Braves, double gagnant du Cy Young.
«Il me fait penser à un Tom Glavine droitier," a dit LaRoche. Contre Glavine, vous saviez que vous n'alliez rien recevoir en plein coeur du marbre. Quand ça arrive, c'est presque surprenant, parce que c'est si rare que ces gars-là ratent leur coup. Ils ont une compréhension exceptionnelle de ce qu'il faut faire pour retirer les frappeurs.»
Hernandez ne se laisse pas affecter par un coup sûr opportun ou un faux pas. Il se concentre sur le prochain frappeur, et veut s'assurer d'une précision implacable dans ses tirs.
«L'emplacement est la clé au baseball, a dit le Cubain. Vous achetez une belle maison dans un bel emplacement, merveilleux. C'est comme ça. Si vous logez la balle au bon endroit, vous mettez les frappeurs hors d'équilibre et vous allez avoir le dessus.»
Stephen Strasburg, en rééducation après une opération Tommy John, a eu la chance d'observer Hernandez, l'an dernier, et il a beaucoup appris du vétéran.
«J'ai appris comment me sentir confortable au monticule, a dit Strasburg, premier choix du repêchage de 2009. Comment faire confiance à mes lancers, et aussi le fait de tout donner à chaque jour, de ne pas douter de soi-même. Le fait que Livan soit encore un lanceur des ligues majeures, ça montre qu'il a énormément confiance en lui-même, et c'est comme ça que chaque lanceur devrait penser.»
Jordan Zimmermann aime la capacité de Hernandez de toujours rester en contrôle, peu importe la situation. John Lannan, lui, étudie la façon qu'à Hernandez d'utiliser le compte et de gérer un départ.
Bien qu'il se voit travailler en Amérique latine ou comme adjoint d'un d.g. un jour, Hernandez n'est pas encore prêt pour la retraite.
«Je veux essayer de jouer pendant encore cinq ans et de voir ce qui va arriver, a dit Hernandez. Je veux être le Jamie Moyer des droitiers.»