Mais Jeter appuie son coéquipier
Baseball mercredi, 18 févr. 2009. 21:34 jeudi, 12 déc. 2024. 06:44
TAMPA, Floride - Derek Jeter veut que les amateurs de baseball se rappellent qu'il y a encore des athlètes propres.
Le capitaine des Yankees de New York était assis sur le banc des siens après la première séance d'entraînement complète de l'équipe, mercredi, quand il a exprimé son soutien à l'égard d'Alex Rodriguez et livré un message à l'effet que son sport n'est pas entièrement peuplé de tricheurs.
"Une chose qui m'irrite et qui me met en colère, c'est quand on entend tout le monde dire, 'C'était l'époque des stéroïdes. Tout le monde en prenait'. Ce n'est pas vrai. Pas tout le monde n'en consommait", a-t-il dit.
Alors que tout le monde parlait encore du point de presse tenu par A-Rod la veille, Jeter s'est insurgé contre ceux qui mettent tous les joueurs dans la même barque.
"Je pense que ça envoie un message faussé aux amateurs, aux amateurs de baseball ainsi qu'aux jeunes, en disant que tout le monde en prenait, parce que ce n'est tout simplement pas vrai, a-t-il ajouté. Je réalise que plusieurs joueurs connus ont admis avoir fait ceci et fait cela, mais pas tout le monde n'en prenait."
Son plaidoyer en faveur des joueurs propres est survenu après une première séance d'entraînement où les photographes et les caméras ont suivi Rodriguez pendant deux heures au complexe d'entraînement des Yankees. Le gérant de l'équipe Joe Girardi a souligné que le talent de A-Rod fait automatiquement de lui un point de mire des médias.
"Ce serait difficile de dire à Michael Jordan, à son arrivée au stade, 'Ne soit pas le centre de l'attention'", a affirmé Girardi.
A-Rod a été le dernier de la soixantaine de joueurs des Yankees à se présenter sur le terrain, mercredi. Quelques-uns des 1600 spectateurs présents à Steinbrenner Field ont alors acclamé le no 13. Certains ont crié des mots d'encouragement. On n'a entendu aucune huée ni insulte.
Si on peut se fier à ce petit échantillon, mercredi, les partisans des Yankees semblent prêts à pardonner A-Rod, à l'instar de ses coéquipiers.
"Nous sommes ici pour le soutenir à travers tout ça, a dit Jeter. Je ne suis pas d'accord avec ce qu'il a fait. Nous ne sommes pas d'accord avec ce qu'il a fait. Mais je pense qu'à ce stade-ci, c'est notre devoir d'essayer de l'aider à être le plus à l'aise possible sur le terrain et d'essayer d'aller de l'avant."
Le capitaine des Yankees de New York était assis sur le banc des siens après la première séance d'entraînement complète de l'équipe, mercredi, quand il a exprimé son soutien à l'égard d'Alex Rodriguez et livré un message à l'effet que son sport n'est pas entièrement peuplé de tricheurs.
"Une chose qui m'irrite et qui me met en colère, c'est quand on entend tout le monde dire, 'C'était l'époque des stéroïdes. Tout le monde en prenait'. Ce n'est pas vrai. Pas tout le monde n'en consommait", a-t-il dit.
Alors que tout le monde parlait encore du point de presse tenu par A-Rod la veille, Jeter s'est insurgé contre ceux qui mettent tous les joueurs dans la même barque.
"Je pense que ça envoie un message faussé aux amateurs, aux amateurs de baseball ainsi qu'aux jeunes, en disant que tout le monde en prenait, parce que ce n'est tout simplement pas vrai, a-t-il ajouté. Je réalise que plusieurs joueurs connus ont admis avoir fait ceci et fait cela, mais pas tout le monde n'en prenait."
Son plaidoyer en faveur des joueurs propres est survenu après une première séance d'entraînement où les photographes et les caméras ont suivi Rodriguez pendant deux heures au complexe d'entraînement des Yankees. Le gérant de l'équipe Joe Girardi a souligné que le talent de A-Rod fait automatiquement de lui un point de mire des médias.
"Ce serait difficile de dire à Michael Jordan, à son arrivée au stade, 'Ne soit pas le centre de l'attention'", a affirmé Girardi.
A-Rod a été le dernier de la soixantaine de joueurs des Yankees à se présenter sur le terrain, mercredi. Quelques-uns des 1600 spectateurs présents à Steinbrenner Field ont alors acclamé le no 13. Certains ont crié des mots d'encouragement. On n'a entendu aucune huée ni insulte.
Si on peut se fier à ce petit échantillon, mercredi, les partisans des Yankees semblent prêts à pardonner A-Rod, à l'instar de ses coéquipiers.
"Nous sommes ici pour le soutenir à travers tout ça, a dit Jeter. Je ne suis pas d'accord avec ce qu'il a fait. Nous ne sommes pas d'accord avec ce qu'il a fait. Mais je pense qu'à ce stade-ci, c'est notre devoir d'essayer de l'aider à être le plus à l'aise possible sur le terrain et d'essayer d'aller de l'avant."