Schilling de retour au monticule
Baseball jeudi, 24 févr. 2005. 15:07 jeudi, 12 déc. 2024. 09:45
FORT MYERS, Floride (AP) - La cheville de Curt Schilling ne saignait plus et son gérant se disait encouragé.
Mais le lanceur qui tente toujours d'atteindre la perfection n'était pas enchanté de sa première journée de travail au monticule après sa performance incroyable dans le deuxième match de la Série mondiale. Il a dû être opéré 16 jours plus tard.
"J'aurais aimé me sentir beaucoup mieux, a dit Schilling après avoir effectué 47 tirs en l'espace de 16 minutes. Mais ma cheville ne m'a pas fait souffrir et je crois que les gens diront que c'est un point positif. Mais je ne l'entends pas ainsi."
Parmi ces gens dont parlait Schilling, on retrouve bien sûr les gérant des Red Sox de Boston, Terry Francona.
"Je pense qu'il a paru fantastique, a dit Francona. Il veut atteindre les coins à chacun de ses tirs et lancer des balles-frondes. Mais cela ne se produira pas tout de suite."
Schilling pourrait encore avoir la chance de lancer lors du match inaugural contre les Yankees de New York le 3 avril et affronter ainsi son ancien coéquipier de l'Arizona, Randy Johnson. Mais il veut s'assurer d'être en santé pour un autre rendez-vous plus important.
"Je sais que mon but premier est d'être à nouveau au monticule en octobre, a dit Schilling. Je m'attends bien sûr à être prêt pour le 3 avril, mais je ne mettrai pas en péril ma fin de saison juste pour être là au début.
"J'imagine que je devrai être patient."
Schilling a présenté un dossier de 21-6 et une moyenne de points mérités de 3.26 en saison pour aider les Sox à atteindre les séries.
Blessé à un tendon de la cheville, on a dû le lui recoudre à tous les jours en séries pour lui permettre de lancer.
Ce n'est que le 9 novembre qu'on a pu l'opérer et on lui a retiré le plâtre un mois plus tard.
Jeudi, il a passé un test important.
Schilling a utilisé tous ses tirs et n'a jamais souri, même quand Francona est allé lui parler.
"J'aurais dû le laisser tranquille, a dit le gérant. Il n'était pas très souriant."
Mais le lanceur qui tente toujours d'atteindre la perfection n'était pas enchanté de sa première journée de travail au monticule après sa performance incroyable dans le deuxième match de la Série mondiale. Il a dû être opéré 16 jours plus tard.
"J'aurais aimé me sentir beaucoup mieux, a dit Schilling après avoir effectué 47 tirs en l'espace de 16 minutes. Mais ma cheville ne m'a pas fait souffrir et je crois que les gens diront que c'est un point positif. Mais je ne l'entends pas ainsi."
Parmi ces gens dont parlait Schilling, on retrouve bien sûr les gérant des Red Sox de Boston, Terry Francona.
"Je pense qu'il a paru fantastique, a dit Francona. Il veut atteindre les coins à chacun de ses tirs et lancer des balles-frondes. Mais cela ne se produira pas tout de suite."
Schilling pourrait encore avoir la chance de lancer lors du match inaugural contre les Yankees de New York le 3 avril et affronter ainsi son ancien coéquipier de l'Arizona, Randy Johnson. Mais il veut s'assurer d'être en santé pour un autre rendez-vous plus important.
"Je sais que mon but premier est d'être à nouveau au monticule en octobre, a dit Schilling. Je m'attends bien sûr à être prêt pour le 3 avril, mais je ne mettrai pas en péril ma fin de saison juste pour être là au début.
"J'imagine que je devrai être patient."
Schilling a présenté un dossier de 21-6 et une moyenne de points mérités de 3.26 en saison pour aider les Sox à atteindre les séries.
Blessé à un tendon de la cheville, on a dû le lui recoudre à tous les jours en séries pour lui permettre de lancer.
Ce n'est que le 9 novembre qu'on a pu l'opérer et on lui a retiré le plâtre un mois plus tard.
Jeudi, il a passé un test important.
Schilling a utilisé tous ses tirs et n'a jamais souri, même quand Francona est allé lui parler.
"J'aurais dû le laisser tranquille, a dit le gérant. Il n'était pas très souriant."