Rien à envier à personne
Baseball lundi, 26 mai 2008. 13:21 jeudi, 12 déc. 2024. 07:48
Pour une deuxième semaine consécutive, le quotidien gratuit « 24 heures » propose, sous la plus du journaliste Mikaël Fillion, une série d'articles faisant le portrait du baseball au Québec. Aujourd'hui... une fédération qui a à coeur la formation et le soutien à ses entraîneurs, qui par ailleurs sont toujours de plus en plus qualifiés.
Par Mikaël Fillion, 24 heures, le 26 mai 2008
Rien à envier à personne
Si de plus en plus de joueurs québécois atteignent le baseball majeur, c'est qu'il y a nécessairement des entraîneurs de qualité dans la province.
" Les entraîneurs professionnels au Québec, il n'y en a pas des tonnes, indique Alex Agostino, directeur technique de Baseball-Québec et dépisteur à l'emploi des Phillies de Philadelphie. Ceux qui sont payés, que ce soit dans les sport-études, la Ligue de baseball élite du Québec et l'Académie Baseball Canada, sont tous plus qualifiés. "
" Est-ce qu'ils sont meilleurs qu'auparavant? Non. Il sont plus formés, plus qualifiés parce qu'ils ne baignent que dans le baseball, pense Agostino. Il y a 20 ans, c'était de bonnes têtes de baseball, mais les gars avaient aussi un emploi autre que celui d'entraîneur. "
Non seulement sont-ils plus expérimentés, ils ont une longueur d'avance sur leurs homologues canadiens selon Agostino.
" On n'a rien à envier à personne. Quand je me promène au Canada dans mon rôle de dépisteur ou dans mes fonctions de directeur technique, honnêtement, je pense qu'on est supérieurs sur le plan entraînement. "
Ce dernier ajoute que c'est davantage du côté de la pédagogie et non pas de la stratégie que les entraîneurs québécois tirent leur épingle du jeu.
Il ne faut toutefois rien enlever aux pilotes des autres provinces puisque plus d'une vingtaine de Canadiens excellent dans le baseball majeur présentement. Parions que de plus en plus de représentants de la Belle Province gonfleront les rangs au cours des prochaines années.
Revue de presse publiée par Jacques Lanciault, collaborateur au site Internet de Baseball Québec
Par Mikaël Fillion, 24 heures, le 26 mai 2008
Rien à envier à personne
Si de plus en plus de joueurs québécois atteignent le baseball majeur, c'est qu'il y a nécessairement des entraîneurs de qualité dans la province.
" Les entraîneurs professionnels au Québec, il n'y en a pas des tonnes, indique Alex Agostino, directeur technique de Baseball-Québec et dépisteur à l'emploi des Phillies de Philadelphie. Ceux qui sont payés, que ce soit dans les sport-études, la Ligue de baseball élite du Québec et l'Académie Baseball Canada, sont tous plus qualifiés. "
" Est-ce qu'ils sont meilleurs qu'auparavant? Non. Il sont plus formés, plus qualifiés parce qu'ils ne baignent que dans le baseball, pense Agostino. Il y a 20 ans, c'était de bonnes têtes de baseball, mais les gars avaient aussi un emploi autre que celui d'entraîneur. "
Non seulement sont-ils plus expérimentés, ils ont une longueur d'avance sur leurs homologues canadiens selon Agostino.
" On n'a rien à envier à personne. Quand je me promène au Canada dans mon rôle de dépisteur ou dans mes fonctions de directeur technique, honnêtement, je pense qu'on est supérieurs sur le plan entraînement. "
Ce dernier ajoute que c'est davantage du côté de la pédagogie et non pas de la stratégie que les entraîneurs québécois tirent leur épingle du jeu.
Il ne faut toutefois rien enlever aux pilotes des autres provinces puisque plus d'une vingtaine de Canadiens excellent dans le baseball majeur présentement. Parions que de plus en plus de représentants de la Belle Province gonfleront les rangs au cours des prochaines années.
Revue de presse publiée par Jacques Lanciault, collaborateur au site Internet de Baseball Québec