Trias et Arellan sous contrat
Baseball mercredi, 8 avr. 2009. 15:29 dimanche, 15 déc. 2024. 16:42
Les lanceurs natifs du Venezuela Orlando Trias et Felix Arellan ont confirmé leur retour dans l'uniforme des Capitales de Québec pour la saison 2009. À leur façon, les deux artilleurs ont joué un rôle important dans l'ascension des Capitales en finale de la Ligue Can-Am la saison dernière.
Acquis des Rapidz d'Ottawa à la mi-saison 2008, Orlando Trias a été la révélation de l'année chez les Capitales. Initialement, ce joueur-cendrillon ne devait que passer dans la Vieille Capitale à la suite du départ du lanceur Éric Cyr vers les filiales des Dodgers de Los Angeles. Il a cependant fait flèche de tout bois, accumulant une fiche de 8-2 avec une moyenne de points mérités de 3.18. En combinant ses statistiques avec les Rapidz d'Ottawa, Trias a conservé un dossier de 9-6 et une MPM de 4.04.
Trias a notamment été impliqué dans deux des plus beaux moments de la saison 2009. Le 24 août, Orlando Trias a réalisé le premier match sans point ni coup sûr de l'histoire des Capitales. Quelques semaines plus tard, lors du premier match des séries éliminatoires, il a retiré trois frappeurs sur des prises en onzième manche, alors que les sentiers étaient tous occupés. « J'espère qu'il va arriver ici dans le même état d'esprit qu'il nous a quitté l'automne dernier. Orlando est dominant sur la butte et sa façon de faire est contagieuse. Il est un véritable leader silencieux », atteste le gérant Michel Laplante au sujet de l'artilleur droitier au statut LS-4.
Par ailleurs, les Capitales se sont aussi entendus avec le releveur gaucher Felix Arellan, de retour pour une deuxième saison. Possédant le statut de LS-3, Arellan a présenté une fiche de 1-2 et une MPM de 4.85 en 2008. Il a retiré 36 frappeurs sur des prises en 42.2 manches, mais il a également alloué 35 buts sur balles. « Felix a corrigé certains points cet hiver et il a un potentiel au-delà des statistiques. Il doit améliorer son contrôle, mais lorsqu'il lance dans la zone des prises, il est très difficile à frapper. Contre les frappeurs gauchers, il est très efficace », commente Laplante. De plus, Arellan offre une certaine profondeur à son gérant puisqu'il a évolué à quelques reprises comme voltigeur.
Acquis des Rapidz d'Ottawa à la mi-saison 2008, Orlando Trias a été la révélation de l'année chez les Capitales. Initialement, ce joueur-cendrillon ne devait que passer dans la Vieille Capitale à la suite du départ du lanceur Éric Cyr vers les filiales des Dodgers de Los Angeles. Il a cependant fait flèche de tout bois, accumulant une fiche de 8-2 avec une moyenne de points mérités de 3.18. En combinant ses statistiques avec les Rapidz d'Ottawa, Trias a conservé un dossier de 9-6 et une MPM de 4.04.
Trias a notamment été impliqué dans deux des plus beaux moments de la saison 2009. Le 24 août, Orlando Trias a réalisé le premier match sans point ni coup sûr de l'histoire des Capitales. Quelques semaines plus tard, lors du premier match des séries éliminatoires, il a retiré trois frappeurs sur des prises en onzième manche, alors que les sentiers étaient tous occupés. « J'espère qu'il va arriver ici dans le même état d'esprit qu'il nous a quitté l'automne dernier. Orlando est dominant sur la butte et sa façon de faire est contagieuse. Il est un véritable leader silencieux », atteste le gérant Michel Laplante au sujet de l'artilleur droitier au statut LS-4.
Par ailleurs, les Capitales se sont aussi entendus avec le releveur gaucher Felix Arellan, de retour pour une deuxième saison. Possédant le statut de LS-3, Arellan a présenté une fiche de 1-2 et une MPM de 4.85 en 2008. Il a retiré 36 frappeurs sur des prises en 42.2 manches, mais il a également alloué 35 buts sur balles. « Felix a corrigé certains points cet hiver et il a un potentiel au-delà des statistiques. Il doit améliorer son contrôle, mais lorsqu'il lance dans la zone des prises, il est très difficile à frapper. Contre les frappeurs gauchers, il est très efficace », commente Laplante. De plus, Arellan offre une certaine profondeur à son gérant puisqu'il a évolué à quelques reprises comme voltigeur.