5 ans de prison pour la mort de Hardy
Basketball mardi, 17 avr. 2012. 13:25 samedi, 14 déc. 2024. 01:39
BUCAREST - La cour d'appel de Bucarest a confirmé mardi la condamnation à cinq ans de prison d'un Roumain, coupable d'avoir frappé mortellement à la tête le basketteur américain Chauncey Hardy en octobre dans une discothèque de Giurgiu (sud).
Selon les attendus de la cour d'appel, Ionut Adrian Tanasoaia, 25 ans, est coupable d'avoir "infligé des coups mortels" à la tête de Chauncey Hardy.
Il risquait jusqu'à 15 ans de prison pour les faits reprochés, mais en première instance, en février, les juges d'un tribunal de Giurgiu avaient retenu ses aveux comme circonstance atténuante.
La cour d'appel a aussi ajouté une peine de 20 mois de prison pour "trouble à l'ordre public", peine confondue dans la première.
Chauncey Hardy, 23 ans, qui évoluait au CSS Giurgiu, avait été victime d'une agression dans la nuit du 8 au 9 octobre 2011, dans une discothèque de cette ville du sud de la Roumanie, alors qu'il célébrait la victoire de son club sur le Dinamo Bucarest. Il était décédé quelques heures plus tard.
Ionut Adrian Tanasoaia s'était rendu à la police au lendemain de l'agression qui avait suscité un fort émoi en Roumanie.
Selon les attendus de la cour d'appel, Ionut Adrian Tanasoaia, 25 ans, est coupable d'avoir "infligé des coups mortels" à la tête de Chauncey Hardy.
Il risquait jusqu'à 15 ans de prison pour les faits reprochés, mais en première instance, en février, les juges d'un tribunal de Giurgiu avaient retenu ses aveux comme circonstance atténuante.
La cour d'appel a aussi ajouté une peine de 20 mois de prison pour "trouble à l'ordre public", peine confondue dans la première.
Chauncey Hardy, 23 ans, qui évoluait au CSS Giurgiu, avait été victime d'une agression dans la nuit du 8 au 9 octobre 2011, dans une discothèque de cette ville du sud de la Roumanie, alors qu'il célébrait la victoire de son club sur le Dinamo Bucarest. Il était décédé quelques heures plus tard.
Ionut Adrian Tanasoaia s'était rendu à la police au lendemain de l'agression qui avait suscité un fort émoi en Roumanie.