La Chine qualifiée in extremis
Basketball jeudi, 24 août 2006. 10:18 samedi, 14 déc. 2024. 23:44
SAPPORO (AFP) - Wang Shipeng a été le sauveur de la Chine, jeudi à Sapporo: en inscrivant un panier de 3 points avec plus de temps au tableau, l'arrière chinois a permis à son équipe d'arracher (78-77) à la Slovénie une victoire synonyme de qualification en huitièmes de finale du Mondial-2006 de basketball.
"C'était un tir de grande classe comme nous en voyons en NBA. C'est difficile de croire que c'était en notre faveur", a jugé Yao Ming, le centre-vedette chinois de 2,26 m qui évolue dans la NBA à Houston, et a inscrit lui-même 36 points et pris dix rebonds.
A moins de six secondes d'une fin de match à suspense, le Slovène Uros Slokar avait inscrit ce qui semblait être le panier victorieux, mais Wang Shipeng a remonté le terrain en dribblant et marqué alors que retentissait la sirène.
"Il restait seulement 5 sec 8/10 et je n'avais pas le temps de réfléchir", a raconté Wang, 23 ans, qui évolue dans le club de Guangdong en Chine.
"C'est un miracle. Un plus grand miracle que celui des derniers Jeux olympiques" a estimé l'ailier Zhu Fangyu.
À Athènes, en 2004, la Chine avait dominé la Serbie-Monténégro pour atteindre les quarts de finale. Mais le tournoi olympique n'est disputé que par douze équipes.
Yao a estimé cependant que l'épisode des JO-2004 avait inspiré les Chinois, leur apprenant à se battre jusqu'à la dernière seconde. "Nous avons transformé le rêve en réalité, a-t-il dit. Nous nous sommes battus jusqu'à la dernière minutes."
Selon Yao, la Chine, en progrès constants, n'a pas encore tout montré: "Avec notre niveau qui augmente, nous aurons de plus en plus de matches de ce genre qui se jouent dans les dernières secondes."
"C'était un tir de grande classe comme nous en voyons en NBA. C'est difficile de croire que c'était en notre faveur", a jugé Yao Ming, le centre-vedette chinois de 2,26 m qui évolue dans la NBA à Houston, et a inscrit lui-même 36 points et pris dix rebonds.
A moins de six secondes d'une fin de match à suspense, le Slovène Uros Slokar avait inscrit ce qui semblait être le panier victorieux, mais Wang Shipeng a remonté le terrain en dribblant et marqué alors que retentissait la sirène.
"Il restait seulement 5 sec 8/10 et je n'avais pas le temps de réfléchir", a raconté Wang, 23 ans, qui évolue dans le club de Guangdong en Chine.
"C'est un miracle. Un plus grand miracle que celui des derniers Jeux olympiques" a estimé l'ailier Zhu Fangyu.
À Athènes, en 2004, la Chine avait dominé la Serbie-Monténégro pour atteindre les quarts de finale. Mais le tournoi olympique n'est disputé que par douze équipes.
Yao a estimé cependant que l'épisode des JO-2004 avait inspiré les Chinois, leur apprenant à se battre jusqu'à la dernière seconde. "Nous avons transformé le rêve en réalité, a-t-il dit. Nous nous sommes battus jusqu'à la dernière minutes."
Selon Yao, la Chine, en progrès constants, n'a pas encore tout montré: "Avec notre niveau qui augmente, nous aurons de plus en plus de matches de ce genre qui se jouent dans les dernières secondes."