La NBA en Europe?
Basketball samedi, 16 févr. 2008. 09:56 samedi, 14 déc. 2024. 06:28
NOUVELLE-ORLEANS - Le projet d'implantation de la NBA sur le Vieux Continent était jugé séduisant par plusieurs des joueurs présents lors du week-end des étoiles mais la prudence restait de mise.
Les médias américains s'attendent à ce que le patron de la NBA David Stern profite du week-end pour annoncer son projet d'implantation en Europe. La création d'ici 2018 d'une division européenne de la NBA, comptant cinq équipes, serait à l'étude.
"Le potentiel existe, c'est sûr", estime Dirk Nowitzki, l'ailier allemand des Mavericks de Dallas. "Les grandes villes disposent de grandes salles et le public adore le basketball, et il suit la NBA".
"Les occasions à saisir existent, reste à voir comment tout se met en place", avance-t-il.
L'idée n'est pas neuve, mais les obstacles à sa réalisation existent depuis que le scénario est envisagé. Parmi les contraintes, l'absence de salles aux dimensions de celles de la NBA, ou la crainte que le public européen ne soit pas disposé à payer le prix que paie le public américain pour voir jouer une équipe.
Mais le problème le plus épineux reste celui des déplacements transatlantiques et du décalage horaire.
"Je conçois que le problème des voyages soit difficile à résoudre. Entre Dallas et l'Allemagne, il y a sept heures de décalage. On ne peut pas faire l'aller-retour pour un match, il faut rester dix jours, voire deux semaines", dit Nowitzki.
Ray Allen, l'arrière américain des Celtics de Boston, se montre emballé. "Je serais très enthousiaste à cette idée. Être capable de réduire les dimensions du monde grâce au sport auquel je joue, c'est une idée merveilleuse. J'accueille très favorablement l'idée de voyager autant et si régulièrement", dit-il.
Pour sa part, Peja Stojakovic, des Hornets de la Nouvelle-Orléans, reste prudent. "Il va falloir attendre quelques années. Il faut attendre pour voir ce qui se passe", prédit-il.
Les médias américains s'attendent à ce que le patron de la NBA David Stern profite du week-end pour annoncer son projet d'implantation en Europe. La création d'ici 2018 d'une division européenne de la NBA, comptant cinq équipes, serait à l'étude.
"Le potentiel existe, c'est sûr", estime Dirk Nowitzki, l'ailier allemand des Mavericks de Dallas. "Les grandes villes disposent de grandes salles et le public adore le basketball, et il suit la NBA".
"Les occasions à saisir existent, reste à voir comment tout se met en place", avance-t-il.
L'idée n'est pas neuve, mais les obstacles à sa réalisation existent depuis que le scénario est envisagé. Parmi les contraintes, l'absence de salles aux dimensions de celles de la NBA, ou la crainte que le public européen ne soit pas disposé à payer le prix que paie le public américain pour voir jouer une équipe.
Mais le problème le plus épineux reste celui des déplacements transatlantiques et du décalage horaire.
"Je conçois que le problème des voyages soit difficile à résoudre. Entre Dallas et l'Allemagne, il y a sept heures de décalage. On ne peut pas faire l'aller-retour pour un match, il faut rester dix jours, voire deux semaines", dit Nowitzki.
Ray Allen, l'arrière américain des Celtics de Boston, se montre emballé. "Je serais très enthousiaste à cette idée. Être capable de réduire les dimensions du monde grâce au sport auquel je joue, c'est une idée merveilleuse. J'accueille très favorablement l'idée de voyager autant et si régulièrement", dit-il.
Pour sa part, Peja Stojakovic, des Hornets de la Nouvelle-Orléans, reste prudent. "Il va falloir attendre quelques années. Il faut attendre pour voir ce qui se passe", prédit-il.