Les États-Unis en quart de finale
Basketball lundi, 6 sept. 2010. 14:01 dimanche, 15 déc. 2024. 08:19
ISTANBUL- Les États-Unis ont repris le travail en toute décontraction lundi à Istanbul pour se promener jusqu'en quarts de finale du Mondial grâce à un succès astronomique de 121-66 sur l'Angola.
Le prochain adversaire des États-Unis sera la Russie, qui a avancé grâce à une victoire 78 à 56 sur la Nouvelle-Zélande.
Sous les yeux du réalisateur Spike Lee, immense amateur de basketball, mais dans une salle à moitié vide, les États-Unis ont fait gonfler l'écart dans des proportions rares à ce niveau face à une équipe qui avait oublié de se défendre.
À un moment, on s'est même orienté vers une punition inédite au tableau d'affichage, mais un léger relâchement en seconde période a permis de rester à peu près dans les limites du raisonnable lors de cette partie où les Américains, Billups en tête (19 points), se sont amusés comme des petits fous.
Comme ils se promènent sur le terrain, les Américains en profitent pour se balader également en dehors et visiter un peu une ville qui les laisse pantois à l'image de Kevin Love qui n'a "encore jamais rien vu de pareil".
"On est allé faire du magasinage au grand bazar. Quelle foule! Jamais vu ça. Mais on s'est bien amusés", a raconté le joueur de Minnesota qui a également été ébloui par l'excursion en bateau organisée par sa fédération pour les joueurs et leurs familles samedi dernier.
Tyson Chandler a même testé la "vraie nourriture turque" et a trouvé ça "excellent". Encouragé par l'expérience, il s'est mis en chasse d'"authentiques bijoux turcs" à ramener à la maison.
"La ville est beaucoup plus dense, plus grande que je ne m'y attendais. Il se passe plein de choses en Turquie. En Europe, il y a beaucoup de villes différentes, beaucoup de culture", a constaté le pivot de Dallas.
Les Américains ne perdent pour autant pas de vue leur but de leur séjour turc, à savoir gagner leur premier titre mondial depuis 1994. Spike Lee est venu prendre le petit déjeuner avec les joueurs pour le leur rappeler et les exhorter à "faire en sorte que les gens se rappellent où ce jeu a été inventé".
Le prochain adversaire des États-Unis sera la Russie, qui a avancé grâce à une victoire 78 à 56 sur la Nouvelle-Zélande.
Sous les yeux du réalisateur Spike Lee, immense amateur de basketball, mais dans une salle à moitié vide, les États-Unis ont fait gonfler l'écart dans des proportions rares à ce niveau face à une équipe qui avait oublié de se défendre.
À un moment, on s'est même orienté vers une punition inédite au tableau d'affichage, mais un léger relâchement en seconde période a permis de rester à peu près dans les limites du raisonnable lors de cette partie où les Américains, Billups en tête (19 points), se sont amusés comme des petits fous.
Comme ils se promènent sur le terrain, les Américains en profitent pour se balader également en dehors et visiter un peu une ville qui les laisse pantois à l'image de Kevin Love qui n'a "encore jamais rien vu de pareil".
"On est allé faire du magasinage au grand bazar. Quelle foule! Jamais vu ça. Mais on s'est bien amusés", a raconté le joueur de Minnesota qui a également été ébloui par l'excursion en bateau organisée par sa fédération pour les joueurs et leurs familles samedi dernier.
Tyson Chandler a même testé la "vraie nourriture turque" et a trouvé ça "excellent". Encouragé par l'expérience, il s'est mis en chasse d'"authentiques bijoux turcs" à ramener à la maison.
"La ville est beaucoup plus dense, plus grande que je ne m'y attendais. Il se passe plein de choses en Turquie. En Europe, il y a beaucoup de villes différentes, beaucoup de culture", a constaté le pivot de Dallas.
Les Américains ne perdent pour autant pas de vue leur but de leur séjour turc, à savoir gagner leur premier titre mondial depuis 1994. Spike Lee est venu prendre le petit déjeuner avec les joueurs pour le leur rappeler et les exhorter à "faire en sorte que les gens se rappellent où ce jeu a été inventé".