L'équipe avant tout pour les Clippers
Basketball jeudi, 20 déc. 2012. 22:00 jeudi, 12 déc. 2024. 16:04
LOS ANGELES, États-Unis - Les choses vont vraiment bien pour les Clippers de Los Angeles, ces temps-ci. Ils viennent d'égaler un record d'équipe avec 11 gains de suite.
Leur fiche de 19-6 est la deuxième meilleure de la ligue, à égalité avec les Knicks, mais Chris Paul veut quand même tempérer l'enthousiasme des amateurs.
«Nous ne voulons pas que nos succès du moment soient un sommet pour nous, a-t-il dit. Nous voulons bâtir quelque chose.»
Les Clippers dominent la section Pacifique grâce notamment à leurs vedettes Paul et Blake Griffin, aidés par un excellent groupe de soutien: Jamal Crawford et Matt Barnes (embauchés alors qu'ils étaient joueurs autonomes), Eric Bledsoe, Lamar Odom et Ronny Turiaf, notamment. Les vétérans Chauncey Billups et Grant Hill, pour leur part, amènent du leadership alors qu'il récupèrent de blessures.
«Nous jouons dans un but commun, pas pour les exploits individuels», a résumé Paul.
Les Clippers ont battu des rivaux peu féroces comme la Nouvelle-Orléans, Charlotte, Toronto et Detroit, mais ils ont aussi défait les Grizzlies, les Lakers, les Spurs, deux fois, les Hawks et le Heat, avant leur séquence actuelle.
Leur plus récente victoire est survenue mercredi face aux Hornets, 93-77. Ils vont tenter de signer un 12e gain d'affilée vendredi à domicile, contre Sacramento.
Paul et Griffin ont clairement une belle chimie sur le terrain et en dehors, se lançant des blagues durant les entrevues d'après-match.
Paul organise souvent des sorties entre coéquipiers à l'étranger, que ce soit au resto, au cinéma ou au centre d'achats. Leur plus récent périple s'est conclu avec une fiche de 4-0.
Il y aussi une atmosphère de famille dans le vestiaire. Le garçon de trois ans de Paul et les jumeaux de Barnes s'y amusent après les matches, tandis que DeAndre Jordan a sur son casier un dessin de lui-même fait par la fille de huit ans de Caron Butler.
«Je n'ai jamais fait partie d'un groupe où l'esprit d'équipe est aussi fort, dit Crawford, qui en est à sa sixième organisation dans la NBA. Tout le monde tire du même côté, peu importe qui connaît une bonne soirée ou pas. Tout le monde a un rôle à jouer.»
Leur fiche de 19-6 est la deuxième meilleure de la ligue, à égalité avec les Knicks, mais Chris Paul veut quand même tempérer l'enthousiasme des amateurs.
«Nous ne voulons pas que nos succès du moment soient un sommet pour nous, a-t-il dit. Nous voulons bâtir quelque chose.»
Les Clippers dominent la section Pacifique grâce notamment à leurs vedettes Paul et Blake Griffin, aidés par un excellent groupe de soutien: Jamal Crawford et Matt Barnes (embauchés alors qu'ils étaient joueurs autonomes), Eric Bledsoe, Lamar Odom et Ronny Turiaf, notamment. Les vétérans Chauncey Billups et Grant Hill, pour leur part, amènent du leadership alors qu'il récupèrent de blessures.
«Nous jouons dans un but commun, pas pour les exploits individuels», a résumé Paul.
Les Clippers ont battu des rivaux peu féroces comme la Nouvelle-Orléans, Charlotte, Toronto et Detroit, mais ils ont aussi défait les Grizzlies, les Lakers, les Spurs, deux fois, les Hawks et le Heat, avant leur séquence actuelle.
Leur plus récente victoire est survenue mercredi face aux Hornets, 93-77. Ils vont tenter de signer un 12e gain d'affilée vendredi à domicile, contre Sacramento.
Paul et Griffin ont clairement une belle chimie sur le terrain et en dehors, se lançant des blagues durant les entrevues d'après-match.
Paul organise souvent des sorties entre coéquipiers à l'étranger, que ce soit au resto, au cinéma ou au centre d'achats. Leur plus récent périple s'est conclu avec une fiche de 4-0.
Il y aussi une atmosphère de famille dans le vestiaire. Le garçon de trois ans de Paul et les jumeaux de Barnes s'y amusent après les matches, tandis que DeAndre Jordan a sur son casier un dessin de lui-même fait par la fille de huit ans de Caron Butler.
«Je n'ai jamais fait partie d'un groupe où l'esprit d'équipe est aussi fort, dit Crawford, qui en est à sa sixième organisation dans la NBA. Tout le monde tire du même côté, peu importe qui connaît une bonne soirée ou pas. Tout le monde a un rôle à jouer.»