C. Semenya est d'actualité à Vancouver
Jeux olympiques jeudi, 11 févr. 2010. 23:14 samedi, 14 déc. 2024. 22:14
VANCOUVER - Lors de son assemblée générale, jeudi, le comité international olympique (CIO) a été mis au courant des tests pour la vérification du genre -- un problème qui a capté l'attention du monde entier l'an dernier avec le cas de la coureuse sud-africaine Caster Semenya.
Le président de la commission médicale du CIO, Arne Ljungqvist, a résumé les conclusions de la conférence médicale tenue le mois dernier à Miami.
Semenya, qui a dû passer des examens pour prouver qu'elle était une femme, a remporté la course du 800 mètres aux Championnats mondiaux de Berlin en 2009.
Ljungqvist a indiqué qu'il était recommandé d'établir un centre médical où les experts diagnostiqueraient et traiteraient les athlètes reconnus pour avoir des `désordres du développement du sexe'. Plusieurs cas nécessitent des traitements tels qu'une opération ou une hormonothérapie.
Ljungqvist a aussi affirmé que les fédérations sportives étaient elles aussi responsables de suivre ces cas, qui auraient souvent pu être répertoriés avant que les athlètes n'atteignent un niveau de compétition.
Dans le cas de Semenya, l'Association internationale des fédérations des athlètes (AIFA) est toujours en train de réviser les résultats des tests pour savoir si elle peut participer aux compétitions. L'AIFA a refusé de confirmer ou d'infirmer ce que les médias australiens ont avancé, soit que les tests indiquent que Semenya est hermaphrodite, c'est-à-dire qu'elle possède les deux organes sexuels, masculin et féminin.
Le président de la commission médicale du CIO, Arne Ljungqvist, a résumé les conclusions de la conférence médicale tenue le mois dernier à Miami.
Semenya, qui a dû passer des examens pour prouver qu'elle était une femme, a remporté la course du 800 mètres aux Championnats mondiaux de Berlin en 2009.
Ljungqvist a indiqué qu'il était recommandé d'établir un centre médical où les experts diagnostiqueraient et traiteraient les athlètes reconnus pour avoir des `désordres du développement du sexe'. Plusieurs cas nécessitent des traitements tels qu'une opération ou une hormonothérapie.
Ljungqvist a aussi affirmé que les fédérations sportives étaient elles aussi responsables de suivre ces cas, qui auraient souvent pu être répertoriés avant que les athlètes n'atteignent un niveau de compétition.
Dans le cas de Semenya, l'Association internationale des fédérations des athlètes (AIFA) est toujours en train de réviser les résultats des tests pour savoir si elle peut participer aux compétitions. L'AIFA a refusé de confirmer ou d'infirmer ce que les médias australiens ont avancé, soit que les tests indiquent que Semenya est hermaphrodite, c'est-à-dire qu'elle possède les deux organes sexuels, masculin et féminin.