Des élections... et après?
Chasse et pêche samedi, 13 déc. 2008. 12:22 jeudi, 12 déc. 2024. 03:36
Nous avions des élections récemment. Depuis ce fameux lundi, tout est en effervescence dans la Vieille capitale. J'obtenais les commentaires d'innombrables amis pêcheurs et chasseurs, plus particulièrement sur le terrain de tir que je fréquente; aussi de la part de pourvoyeurs, même lors de réceptions auxquelles j'assistais : toutes ces personnes impliquées de notre milieu sont quelque peu inquiètes, puisque les promesses électorales excluaient complètement les sports halieutiques et cynégétiques dans lesquels nous sommes tous impliqués.
Pas d'amélioration
Au cours des dernières décennies, nous avons pu constater une détérioration, je ne dirais pas inquiétante, mais bien dramatique, en matière de gestion administrative de la chasse et de la pêche au Québec. Ce serait tout comme si ces deux activités récréatives, salutaires et excessivement importantes pour notre économie, n'existaient plus.
Indépendamment de la politique partisane, au cours des dernières décennies et je dirais même plus, le plus prolifique des personnages impliqués dans notre univers du plein air fût Guy Chevrette. Il savait apporter de nombreux éléments positifs à la chasse et à la pêche. Les entrevues qu'il savait m'accorder étaient toujours des plus productives, j'ajouterais qu'en maintes et maintes occasions mes suggestions étaient retenues, au profit des pêcheurs et chasseurs.
Le dortoir ministériel
D'autres ministres passèrent comme des courants d'air, ou longèrent tout simplement les murs. Je songe à Jacques Brassard, qui ne voulait rien savoir de chasse et pêche;
-"Je n'ai pas été élu pour ça !" m'avait-il dit ! David Cliche et combien d'autres ?
Je pourrais en nommer une bonne dizaine, qui réagirent à peu près de la même façon. Un jour je prendrai la peine, de fouiller mes filières pour vous en faire la liste, mais avec leurs réalisations, vous pourrez constater qu'elles furent plus que limitées - des fonctionnaires s'en chargeaient, donc vous avez tout compris.
J'ai connu tous ceux qui endossèrent la responsabilité de la chasse et de la pêche au cours du dernier demi-siècle ce qui peut vous donner une idée.
Encouragement de brève durée
Claude Béchard semblait en voie de s'impliquer vraiment en matière de chasse et pêche. Je l'avais rencontré une première fois à Québec, où notre entretien et ses promesses d'autres rencontres étaient des plus encourageantes. Moins d'une semaine, préalablement à son grave problème de santé, j'avais eu la chance d'enregistrer une dizaine de chroniques en sa compagnie. Soyez assuré que mes questions, n'étaient pas des plus faciles à susciter des réponses évasives, je dirais encore plus: il apportait des solutions - malheureusement, vous connaissez la suite.
J'étais fort heureux de son retour, je l'ai félicité lors de sa réélection, il semble vraiment rétabli. De toute façon que ce soit lui ou un autre qui reprenne le collier, le Premier ministre Jean Charest devrait essayer de faire revenir le sourire aux 7 millions de personnes, qui selon les statistiques de son gouvernement, fréquentent les régions de notre province pour des activités reliées à la faune.
Voici la solution
La solution serait pourtant si simple. La FAPAQ fût un fiasco monumental. Ce qu'il faut pour le Québec et son économie, c'est un ministère associant la Chasse, la Pêche, le Tourisme, et les Loisirs, ce qui intégrerait la Société des Établissement de Plein Air du Québec, les Parcs les Réserves et La Fondation de la Faune du Québec.
Quelle réalisation d'un de mes plus grands rêves ce serait !
Après tellement d'erreurs, il serait temps de revenir vers des éléments qui se fusionnent et qui pourraient encore plus contribuer à l'économie.
Pas d'amélioration
Au cours des dernières décennies, nous avons pu constater une détérioration, je ne dirais pas inquiétante, mais bien dramatique, en matière de gestion administrative de la chasse et de la pêche au Québec. Ce serait tout comme si ces deux activités récréatives, salutaires et excessivement importantes pour notre économie, n'existaient plus.
Indépendamment de la politique partisane, au cours des dernières décennies et je dirais même plus, le plus prolifique des personnages impliqués dans notre univers du plein air fût Guy Chevrette. Il savait apporter de nombreux éléments positifs à la chasse et à la pêche. Les entrevues qu'il savait m'accorder étaient toujours des plus productives, j'ajouterais qu'en maintes et maintes occasions mes suggestions étaient retenues, au profit des pêcheurs et chasseurs.
Le dortoir ministériel
D'autres ministres passèrent comme des courants d'air, ou longèrent tout simplement les murs. Je songe à Jacques Brassard, qui ne voulait rien savoir de chasse et pêche;
-"Je n'ai pas été élu pour ça !" m'avait-il dit ! David Cliche et combien d'autres ?
Je pourrais en nommer une bonne dizaine, qui réagirent à peu près de la même façon. Un jour je prendrai la peine, de fouiller mes filières pour vous en faire la liste, mais avec leurs réalisations, vous pourrez constater qu'elles furent plus que limitées - des fonctionnaires s'en chargeaient, donc vous avez tout compris.
J'ai connu tous ceux qui endossèrent la responsabilité de la chasse et de la pêche au cours du dernier demi-siècle ce qui peut vous donner une idée.
Encouragement de brève durée
Claude Béchard semblait en voie de s'impliquer vraiment en matière de chasse et pêche. Je l'avais rencontré une première fois à Québec, où notre entretien et ses promesses d'autres rencontres étaient des plus encourageantes. Moins d'une semaine, préalablement à son grave problème de santé, j'avais eu la chance d'enregistrer une dizaine de chroniques en sa compagnie. Soyez assuré que mes questions, n'étaient pas des plus faciles à susciter des réponses évasives, je dirais encore plus: il apportait des solutions - malheureusement, vous connaissez la suite.
J'étais fort heureux de son retour, je l'ai félicité lors de sa réélection, il semble vraiment rétabli. De toute façon que ce soit lui ou un autre qui reprenne le collier, le Premier ministre Jean Charest devrait essayer de faire revenir le sourire aux 7 millions de personnes, qui selon les statistiques de son gouvernement, fréquentent les régions de notre province pour des activités reliées à la faune.
Voici la solution
La solution serait pourtant si simple. La FAPAQ fût un fiasco monumental. Ce qu'il faut pour le Québec et son économie, c'est un ministère associant la Chasse, la Pêche, le Tourisme, et les Loisirs, ce qui intégrerait la Société des Établissement de Plein Air du Québec, les Parcs les Réserves et La Fondation de la Faune du Québec.
Quelle réalisation d'un de mes plus grands rêves ce serait !
Après tellement d'erreurs, il serait temps de revenir vers des éléments qui se fusionnent et qui pourraient encore plus contribuer à l'économie.