St-Pierre dans une classe à part
AMM lundi, 14 avr. 2008. 16:55 dimanche, 15 déc. 2024. 01:30
D'après la Presse Canadienne - Après que Georges St-Pierre eut battu Josh Koscheck en août dernier à UFC 74, le spécialiste des arts martiaux mixtes montréalais s'est pointé le bout du nez dans le vestiaire de son adversaire pour savoir comment il se portait.
St-Pierre l'a encouragé, lui disant même qu'il obtiendrait un jour un combat revanche. Continue l'entraînement, tu seras éventuellement un champion, a-t-il dit.
« Il n'y a pas beaucoup de combattants qui agissent de la sorte et Georges St-Pierre est l'un de ceux-là », déclare Koscheck.
« Cela a complètement changé ma perception de St-Pierre. Cela prend beaucoup de respect et de classe pour venir dans mon vestiaire au moment où je suis découragé et que j'en ai contre le gars qui vient de me servir une correction.
« Mais lorsque j'ai entendu les encouragements, je ne pouvais que le respecter par la suite. »
St-Pierre n'est pas tellement extravagant tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'arène. Alors que plusieurs athlètes font parler eux davantage en raison de leurs frasques que de leurs performances, St-Pierre est poli, se présente bien et n'a pas d'égo.
Il a grandi en encourageant les Oilers, en mangeant la tourtière de sa mère et en allant au cinéma. Il aime bien manger, même s'il a une petite faiblesse pour le McDo.
Lorsqu'il a remporté le titre des 170 livres contre Matt Hughes à UFC 65 en novembre 2006 à Sacramento, il a immédiatement donné sa ceinture à sa mère pour la remercier de son support.
Même s'il est énormément sollicité, St-Pierre n'hésite pas à rencontrer tous les journalistes qui souhaitent l'interroger. Récemment, il s'est permis d'en reconduire un à son hôtel pour lui rendre service.
« Un cœur en or », indique son entraîneur Greg Jackson.
« Comment ne pas l'aimer? », demande le président de l'UFC Dana White. « Il est ce que tous les dirigeants de n'importe quel sport majeur aimeraient avoir comme tête d'affiche. Il est humble, il travaille fort et il paraît bien. »
« Georges est un gars bien qui a les deux pieds sur terre », dit Firas Zahabi, un de ses collaborateurs. Mais vous ne pouvez pas aller à la guerre avec ce genre d'attitude. Il faut absolument mettre toutes les apparences de côté.
« Et il est capable de le faire. »
St-Pierre ne sera justement pas le chic type que l'on connaît lorsqu'il affrontera Matt Serra samedi à Montréal au UFC 83, premier gala de l'organisation à être présenté en sol canadien.
St-Pierre l'a encouragé, lui disant même qu'il obtiendrait un jour un combat revanche. Continue l'entraînement, tu seras éventuellement un champion, a-t-il dit.
« Il n'y a pas beaucoup de combattants qui agissent de la sorte et Georges St-Pierre est l'un de ceux-là », déclare Koscheck.
« Cela a complètement changé ma perception de St-Pierre. Cela prend beaucoup de respect et de classe pour venir dans mon vestiaire au moment où je suis découragé et que j'en ai contre le gars qui vient de me servir une correction.
« Mais lorsque j'ai entendu les encouragements, je ne pouvais que le respecter par la suite. »
St-Pierre n'est pas tellement extravagant tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'arène. Alors que plusieurs athlètes font parler eux davantage en raison de leurs frasques que de leurs performances, St-Pierre est poli, se présente bien et n'a pas d'égo.
Il a grandi en encourageant les Oilers, en mangeant la tourtière de sa mère et en allant au cinéma. Il aime bien manger, même s'il a une petite faiblesse pour le McDo.
Lorsqu'il a remporté le titre des 170 livres contre Matt Hughes à UFC 65 en novembre 2006 à Sacramento, il a immédiatement donné sa ceinture à sa mère pour la remercier de son support.
Même s'il est énormément sollicité, St-Pierre n'hésite pas à rencontrer tous les journalistes qui souhaitent l'interroger. Récemment, il s'est permis d'en reconduire un à son hôtel pour lui rendre service.
« Un cœur en or », indique son entraîneur Greg Jackson.
« Comment ne pas l'aimer? », demande le président de l'UFC Dana White. « Il est ce que tous les dirigeants de n'importe quel sport majeur aimeraient avoir comme tête d'affiche. Il est humble, il travaille fort et il paraît bien. »
« Georges est un gars bien qui a les deux pieds sur terre », dit Firas Zahabi, un de ses collaborateurs. Mais vous ne pouvez pas aller à la guerre avec ce genre d'attitude. Il faut absolument mettre toutes les apparences de côté.
« Et il est capable de le faire. »
St-Pierre ne sera justement pas le chic type que l'on connaît lorsqu'il affrontera Matt Serra samedi à Montréal au UFC 83, premier gala de l'organisation à être présenté en sol canadien.