Boxe : les arbitres du Québec font jaser
Boxe lundi, 11 oct. 2010. 21:21 jeudi, 12 déc. 2024. 03:36
Le Québec devient une plaque tournante dans le monde de la boxe. Les organisations sont professionnelles, les boxeurs ont du succès sur la scène internationale, mais est-ce que les juges et les arbitres sont à la hauteur?
Quelques personnes du monde de la boxe venant de l'extérieur du Canada, dont le promoteur Gary Shaw, ont récemment mis en doute la compétence et l'impartialité des officiels québécois.
Faut-il alors remettre en question la compétence des officiels, et de la Régie des alcools des Jeux et des courses, qui supervise les sports de combat?
« Absolument pas, indique le président de GYM Yvon Michel. Nos arbitres et nos juges sont supérieurs à ce que l'on voit partout dans le monde. »
« La Régie encadre bien, j'en parlais avec Stéphan Larouche. S'il y a une régie qui fait bien son travail c'est celle du Québec », mentionne le président de Sportcène Jean Bédard.
De son côté, le directeur de la division des sports de combats à la Régie n'a que de bons mots pour son personnel.
« Nos juges sont même renommés par tous les organismes de sanction, de vanter Michel Hamelin. On a une bonne cote au niveau de nos juges. »
Les officiels sont toutefois des êtres humains qui ne sont pas à l'abri des erreurs. La Régie n'accepte pas les fautes, mais travaille étroitement avec son personnel pour les prévenir.
« C'est des sessions d'informations que l'on fait avec nos officiels, poursuit M. Hamelin. On regarde certains combats et on fait l'analyse comparative du travail des juges. »
La qualité du travail des officiels est primordiale pour la santé de l'industrie de la boxe au Québec.
« Il faut faire attention, prévient M. Bédard. La crédibilité de la boxe au Québec doit être excellente pour attirer les réseaux comme HBO de façon continue. »
Les critiques envers nos officiels constituent peut-être la rançon de la gloire de la boxe québécoise, puisque jamais auparavant la boxe d'ici n'avait été scrutée avec autant d'attention sur la scène internationale.
* D'après un reportage de Jean-Luc Legendre.
Quelques personnes du monde de la boxe venant de l'extérieur du Canada, dont le promoteur Gary Shaw, ont récemment mis en doute la compétence et l'impartialité des officiels québécois.
Faut-il alors remettre en question la compétence des officiels, et de la Régie des alcools des Jeux et des courses, qui supervise les sports de combat?
« Absolument pas, indique le président de GYM Yvon Michel. Nos arbitres et nos juges sont supérieurs à ce que l'on voit partout dans le monde. »
« La Régie encadre bien, j'en parlais avec Stéphan Larouche. S'il y a une régie qui fait bien son travail c'est celle du Québec », mentionne le président de Sportcène Jean Bédard.
De son côté, le directeur de la division des sports de combats à la Régie n'a que de bons mots pour son personnel.
« Nos juges sont même renommés par tous les organismes de sanction, de vanter Michel Hamelin. On a une bonne cote au niveau de nos juges. »
Les officiels sont toutefois des êtres humains qui ne sont pas à l'abri des erreurs. La Régie n'accepte pas les fautes, mais travaille étroitement avec son personnel pour les prévenir.
« C'est des sessions d'informations que l'on fait avec nos officiels, poursuit M. Hamelin. On regarde certains combats et on fait l'analyse comparative du travail des juges. »
La qualité du travail des officiels est primordiale pour la santé de l'industrie de la boxe au Québec.
« Il faut faire attention, prévient M. Bédard. La crédibilité de la boxe au Québec doit être excellente pour attirer les réseaux comme HBO de façon continue. »
Les critiques envers nos officiels constituent peut-être la rançon de la gloire de la boxe québécoise, puisque jamais auparavant la boxe d'ici n'avait été scrutée avec autant d'attention sur la scène internationale.
* D'après un reportage de Jean-Luc Legendre.