Les citations les plus marquantes de Muhammad Ali
Boxe samedi, 4 juin 2016. 02:41 jeudi, 12 déc. 2024. 06:44Les déclarations les plus marquantes de Muhammad Ali, l'ex-champion de boxe américain, décédé vendredi à l'âge de 74 ans :
- « Je suis le plus grand » – (I am the greatest)
- « Vole comme le papillon, pique comme l'abeille, et vas-y cogne mon gars, cogne. » -- C'est en fait une citation de Drew Bundini Brown, l'un de ses entraîneurs et hommes de coin. (Float like a butterfly, sting like a bee. Ohhhh. Rumble, young man, rumble.)
- « Je n'ai pas de problème avec les Vietcongs. » – 17 février 1966 (I got no quarrel with them Vietcong.)
- « Dans le ring, il y a un arbitre pour arrêter le combat si un combattant risque d'être trop blessé. La boxe n'a rien à voir avec la guerre et ses mitrailleuses, ses bazookas, ses grenades et ses bombardiers. » – Lors d'une manifestation contre la guerre du Viet Nam à Chicago en 1967. (In the ring we have a referee to stop the fight if one man should become too hurt physically. Boxing is nothing like going to war with machine guns, bazookas, hand grenades and bomber airplanes.)
- « Ils ont fait ce qu'ils pensaient juste, et j'ai fait ce que je pensais juste. » – À propos de la volonté du gouvernement américain de le mettre en prison. – (They did what they thought was right, and I did what I thought was right.)
- « Vous n'êtes pas aussi bête que vous en avez l'air, j'ai vu votre femme. » – Au président des Philippines Ferdinand Marcos avant le « Thrilla in Manila », son troisième et dernier combat contre Joe Frazier. (You're not as dumb as you look. I saw your wife.)
- « Vous croyez que le monde a été choqué par la démission de Nixon? Attendez que je botte le cul de George Foreman. Je vole comme le papillon, pique comme l'abeille, ses poings ne peuvent pas toucher ce que ses yeux ne voient pas. Là, tu me vois, là tu me vois pas. George croit qu'il peut, mais je sais qu'il ne peut pas. Je me suis déjà battu contre un alligator, j'ai déjà lutté avec une baleine. La semaine dernière, j'ai tué un rocher, blessé une pierre, et envoyé une brique à l'hôpital. Je suis tellement méchant, je rends la médecine malade. » – Avant de reprendre son titre grâce à une victoire sur Foreman le 30 octobre 1974. (You think the world was shocked when Nixon resigned? Wait till I whup George Foreman's behind. Float like a butterfly sting like a bee, his hands can't hit what his eyes can't see. Now you see me, now you don't, George thinks he will, but I know he won't. I done wrassled with an alligator, I done tussled with a whale. Only last week I murdered a rock, injured a stone and hospitalized a brick. I'm so mean I make medicine sick.)
- « Il (Dieu) m'a donné la maladie de Parkinson pour me montrer que je n'étais qu'un homme comme les autres, que j'avais des faiblesses, comme tout le monde. C'est tout ce que je suis: un homme. » – au cours d'une interview en 1987. (He (God) gave me Parkinson's syndrome to show me I'm just a man like everyone else. To show me I've got human frailties like everybody else does. That's all I am : a man.)