Boxe-Québec se range derrière Sébastien Gauthier
Boxe vendredi, 17 oct. 2003. 11:41 mercredi, 11 déc. 2024. 22:47
À la suite du test positif au cannabis de l'échantillon A du boxeur québécois Sébastien Gauthier, Russ Anber, président de Boxe-Québec, a indiqué aujourd'hui que sa fédération désirait démontrer son appui envers son athlète. Il est à noter que Sébastien Gauthier n'est pas suspendu à la suite de ce résultat. Il participera d'ailleurs à un tournoi international en Irlande le mois prochain.
L'Agence mondiale antidopage va placer le cannabis dans la liste des substances interdites seulement à compter du 1er janvier 2004. Le règlement antidopage de l'Association internationale Boxe Amateur (AIBA) prévoit que le cannabis ne peut être testé que sous une autorisation spéciale émanent d'un de ses hauts responsables.
Russ Anber affirme que le laboratoire montréalais qui a procédé au test de l'échantillon A devrait fournir la preuve qu'il détient cette autorisation écrite avant de procéder au test de l'échantillon B pour cette même substance. Si cette preuve est déposée, et si l'échantillon B s'avère positif, le résultat est immédiatement transmis à la Commission médicale de l'AIBA. Ces derniers doivent étudier le dossier et ensuite transmettre leurs recommandations à leur comité exécutif. Cette procédure peut prendre plusieurs mois.
Comme il ne s'agit pas du cas d'un athlète qui a volontairement triché pour essayer d'améliorer ses performances, une sanction dans un pareil dossier pourrait être limitée à une simple lettre de réprimande.
L'Agence mondiale antidopage va placer le cannabis dans la liste des substances interdites seulement à compter du 1er janvier 2004. Le règlement antidopage de l'Association internationale Boxe Amateur (AIBA) prévoit que le cannabis ne peut être testé que sous une autorisation spéciale émanent d'un de ses hauts responsables.
Russ Anber affirme que le laboratoire montréalais qui a procédé au test de l'échantillon A devrait fournir la preuve qu'il détient cette autorisation écrite avant de procéder au test de l'échantillon B pour cette même substance. Si cette preuve est déposée, et si l'échantillon B s'avère positif, le résultat est immédiatement transmis à la Commission médicale de l'AIBA. Ces derniers doivent étudier le dossier et ensuite transmettre leurs recommandations à leur comité exécutif. Cette procédure peut prendre plusieurs mois.
Comme il ne s'agit pas du cas d'un athlète qui a volontairement triché pour essayer d'améliorer ses performances, une sanction dans un pareil dossier pourrait être limitée à une simple lettre de réprimande.