Forrest vs. Mosley: l'heure de la revanche
Boxe vendredi, 19 juil. 2002. 12:46 samedi, 14 déc. 2024. 15:59
INDIANAPOLIS (AFP) - Les boxeurs américains Vernon Forrest et Shane Mosley se retrouvent, samedi à Indianapolis, pour y disputer la revanche de leur première confrontation qui avait vu le premier ravir au second le titre WBC des mi-moyens.
Forrest promet une nouvelle victoire, ce serait sa troisième sur Mosley en comptant celle des sélections olympiques 1992, tandis que Mosley ne jure évidemment que par un verdict différent.
Bien qu'invaincu, Forrest n'était qu'un champion parmi tant d'autres jusqu'à cette soirée de janvier où il dominait "Sugar Shane", l'homme qui était considéré par beaucoup comme l'un des meilleurs boxeurs toutes catégories confondues.
Pour rabaisser encore un peu plus son rival, Forrest a affirmé qu'une cinquantaine de boxeurs étaient capables de battre Mosley. Il s'est trouvé être celui qui a ouvert la voie.
A 31 ans, et pour son 35e combat, il a l'intention de préserver son palmarès vierge de défaite et continuer de jouir de sa renommée soudaine, celle qui lui a ouvert les portes des plateaux des télévisions américaines.
Surprise?
Celui que l'on surnomme "la vipère" compte pour cela s'appuyer sur son allonge nettement supérieure qui a tenu à distance un bouillant adversaire.
Mosley, d'un an son cadet, affirme avoir mis en place un plan pour passer sous le jab et user son adversaire grâce à une vitesse d'exécution qui a donné le vertige à ses 38 précédents adversaires.
Et surtout, il saura éviter cette fois les coups illégaux de son rival, "le coup de tête" et "le coup bas de la 10e reprise". "Il a trompé tout le monde mais ça ne marchera pas cette fois, je lui réserve une surprise", répétait Mosley durant les semaines menant aux retrouvailles.
L'un comme l'autre compte sur la victoire pour s'ouvrir les portes de combats plus lucratifs, comme peut-être un face à face avec le mexicano-américain Oscar de La Hoya.
Indianapolis, une ville qui n'a pas un passé dans le milieu de la boxe mondiale, accueille à cette occasion son deuxième combat majeur dans l'enceinte de 18.000 places des Indiana Pacers, l'équipe locale du championnat nord-américain de basket-ball (NBA). L'Américain Roy Jones y avait défendu son titre des mi-lourds en mai 2000.
Forrest promet une nouvelle victoire, ce serait sa troisième sur Mosley en comptant celle des sélections olympiques 1992, tandis que Mosley ne jure évidemment que par un verdict différent.
Bien qu'invaincu, Forrest n'était qu'un champion parmi tant d'autres jusqu'à cette soirée de janvier où il dominait "Sugar Shane", l'homme qui était considéré par beaucoup comme l'un des meilleurs boxeurs toutes catégories confondues.
Pour rabaisser encore un peu plus son rival, Forrest a affirmé qu'une cinquantaine de boxeurs étaient capables de battre Mosley. Il s'est trouvé être celui qui a ouvert la voie.
A 31 ans, et pour son 35e combat, il a l'intention de préserver son palmarès vierge de défaite et continuer de jouir de sa renommée soudaine, celle qui lui a ouvert les portes des plateaux des télévisions américaines.
Surprise?
Celui que l'on surnomme "la vipère" compte pour cela s'appuyer sur son allonge nettement supérieure qui a tenu à distance un bouillant adversaire.
Mosley, d'un an son cadet, affirme avoir mis en place un plan pour passer sous le jab et user son adversaire grâce à une vitesse d'exécution qui a donné le vertige à ses 38 précédents adversaires.
Et surtout, il saura éviter cette fois les coups illégaux de son rival, "le coup de tête" et "le coup bas de la 10e reprise". "Il a trompé tout le monde mais ça ne marchera pas cette fois, je lui réserve une surprise", répétait Mosley durant les semaines menant aux retrouvailles.
L'un comme l'autre compte sur la victoire pour s'ouvrir les portes de combats plus lucratifs, comme peut-être un face à face avec le mexicano-américain Oscar de La Hoya.
Indianapolis, une ville qui n'a pas un passé dans le milieu de la boxe mondiale, accueille à cette occasion son deuxième combat majeur dans l'enceinte de 18.000 places des Indiana Pacers, l'équipe locale du championnat nord-américain de basket-ball (NBA). L'Américain Roy Jones y avait défendu son titre des mi-lourds en mai 2000.
