Johnson se dit confiant de battre Bute
Boxe mercredi, 17 août 2011. 12:35 samedi, 14 déc. 2024. 06:50
Glen Johnson n'a peut-être pas soutiré le montant qu'il désirait, mais il a obtenu le combat qu'il souhaitait. Fort de sa riche expérience, le vétéran boxeur se dit confiant de vaincre Lucian Bute et se considère que le meilleur super-moyen de la planète.
«Je suis définitivement très confiant de l'emporter», a confié Johnson (51-15-2, 35 K.-O.) dans une entrevue exclusive au RDS.ca. «Je n'ai jamais abordé un combat sans être confiant de gagner même si j'ai subi des revers.»
À 42 ans, Johnson n'a pas besoin de chercher très loin pour identifier les outils qui pourraient lui permettre d'infliger une première défaite à Bute (29-0, 24 K.-O.).
«Je dois me concentrer sur ce que je fais bien dans un ring comme utiliser mon expérience en capitalisant sur ce qui se produit pendant l'affrontement», souligne-t-il.
Au cours des dernières années, Johnson et Bute se sont entraînés ensemble à trois reprises en effectuant environ 90 rounds de préparation un contre l'autre.
«Nous avons chacun connu de bonnes et mauvaises journées pendant ces entraînements», a-t-il admis à ce sujet.
Grâce à ce duel et les suivants, Bute veut prouver qu'il se situe au sommet de la division des poids super-moyens. Son prochain adversaire appartient à cette élite ayant perdu son dernier duel contre Carl Froch à la suite d'une victoire contre Allan Green.
Mais où Johnson se classe-t-il parmi les grands noms des 168 livres?
«À mon avis, je suis le meilleur de la catégorie. C'est ainsi que je vois les choses. Tout le monde a une opinion, mais c'est ce que je pense», prétend Johnson qui aimerait obtenir une revanche contre Froch advenant une victoire face à Bute.
Le clan de Bute ne partage pas son avis, mais le respecte tout de même au plus haut point.
«Je pense qu'il fait partie des cinq meilleurs. Je crois qu'il est un peu plus fort que Kelly Pavlik, mais il a une moins grosse machine de promotion derrière lui. Je le place derrière Andre Ward, Froch, Lucian et Mikkel Kessler», a déclaré l'entraîneur Stéphan Larouche.
Des comparaisons avec Bernard Hopkins?
Les amateurs de boxe du Québec ont vu Bernard Hopkins - malgré ses 46 ans - s'imposer face à Jean Pascal lors de leur dernier duel. Sans trop se comparer au vieux routier américain, Johnson ne se sent pas ralenti à 42 ans.
«Je crois que je suis encore au sommet de mon art et j'ai le sentiment que je peux encore tout faire dans un ring», a soutenu Johnson.
«Je suis définitivement très confiant de l'emporter», a confié Johnson (51-15-2, 35 K.-O.) dans une entrevue exclusive au RDS.ca. «Je n'ai jamais abordé un combat sans être confiant de gagner même si j'ai subi des revers.»
À 42 ans, Johnson n'a pas besoin de chercher très loin pour identifier les outils qui pourraient lui permettre d'infliger une première défaite à Bute (29-0, 24 K.-O.).
«Je dois me concentrer sur ce que je fais bien dans un ring comme utiliser mon expérience en capitalisant sur ce qui se produit pendant l'affrontement», souligne-t-il.
Au cours des dernières années, Johnson et Bute se sont entraînés ensemble à trois reprises en effectuant environ 90 rounds de préparation un contre l'autre.
«Nous avons chacun connu de bonnes et mauvaises journées pendant ces entraînements», a-t-il admis à ce sujet.
Grâce à ce duel et les suivants, Bute veut prouver qu'il se situe au sommet de la division des poids super-moyens. Son prochain adversaire appartient à cette élite ayant perdu son dernier duel contre Carl Froch à la suite d'une victoire contre Allan Green.
Mais où Johnson se classe-t-il parmi les grands noms des 168 livres?
«À mon avis, je suis le meilleur de la catégorie. C'est ainsi que je vois les choses. Tout le monde a une opinion, mais c'est ce que je pense», prétend Johnson qui aimerait obtenir une revanche contre Froch advenant une victoire face à Bute.
Le clan de Bute ne partage pas son avis, mais le respecte tout de même au plus haut point.
«Je pense qu'il fait partie des cinq meilleurs. Je crois qu'il est un peu plus fort que Kelly Pavlik, mais il a une moins grosse machine de promotion derrière lui. Je le place derrière Andre Ward, Froch, Lucian et Mikkel Kessler», a déclaré l'entraîneur Stéphan Larouche.
Des comparaisons avec Bernard Hopkins?
Les amateurs de boxe du Québec ont vu Bernard Hopkins - malgré ses 46 ans - s'imposer face à Jean Pascal lors de leur dernier duel. Sans trop se comparer au vieux routier américain, Johnson ne se sent pas ralenti à 42 ans.
«Je crois que je suis encore au sommet de mon art et j'ai le sentiment que je peux encore tout faire dans un ring», a soutenu Johnson.