Mike Tyson sur grand écran
Boxe samedi, 17 mai 2008. 12:16 jeudi, 12 déc. 2024. 00:03
CANNES - L'ex-boxeur américain Mike Tyson s'est dit samedi "bouleversé" par l'accueil reçu la veille à Cannes lors de la projection du documentaire que lui a consacré son compatriote James Toback, tout en avouant s'être senti "vulnérable" en voyant sa vie mouvementée ainsi exposée.
"J'ai été vraiment bouleversé lors de la projection quand j'ai vu toutes ces caméras. Je me suis senti vulnérable", a déclaré l'ex-champion du monde en conférence de presse, en confessant qu'il lui était "très difficile de se regarder à l'écran".
"J'ai toujours analysé ma vie depuis que je suis en âge de le faire. J'ai toujours pensé que ce serait une excellente idée de faire un film sur ma vie", a ajouté Tyson, qui a dit avoir "eu confiance" en Toback, qu'il connaît depuis 23 ans.
"Je ne me suis jamais considéré comme un modèle. Il faut croire en soi-même, se battre, profiter de la vie et ne jamais désespérer même quand les gens disent que vous n'arriverez à rien", a-t-il poursuivi.
"J'ai vécu une vie extrême, je me suis drogué, j'ai fréquenté des gens dangereux, des gens ont voulu me tuer. C'est un miracle que je sois encore là", a estimé Tyson, qui aura 42 ans le 30 juin et s'est montré assez peu loquace lors de la conférence.
Il a souligné qu'il "connaissait bien Maradona, un excellent ami". L'ancien joueur de soccer, qui a connu un destin comparable, fait également l'objet d'un documentaire, signé Emir Kusturica et qui sera présenté à Cannes mardi.
Toback a jugé que Tyson jouissait d'un "statut d'icône", au même titre que "Marlon Brando, Marlene Dietrich, Michael Jordan, Norman Mailer ou Orson Welles" dans leur domaine.
"Tyson" a été présenté dans la section Un Certain Regard. Par ailleurs, Cannes programme un autre film de Toback, "Fingers" (1978), qui avait servi de base au Français Jacques Audiard pour "De battre mon coeur s'est arrêté" en 2005.
"J'ai été vraiment bouleversé lors de la projection quand j'ai vu toutes ces caméras. Je me suis senti vulnérable", a déclaré l'ex-champion du monde en conférence de presse, en confessant qu'il lui était "très difficile de se regarder à l'écran".
"J'ai toujours analysé ma vie depuis que je suis en âge de le faire. J'ai toujours pensé que ce serait une excellente idée de faire un film sur ma vie", a ajouté Tyson, qui a dit avoir "eu confiance" en Toback, qu'il connaît depuis 23 ans.
"Je ne me suis jamais considéré comme un modèle. Il faut croire en soi-même, se battre, profiter de la vie et ne jamais désespérer même quand les gens disent que vous n'arriverez à rien", a-t-il poursuivi.
"J'ai vécu une vie extrême, je me suis drogué, j'ai fréquenté des gens dangereux, des gens ont voulu me tuer. C'est un miracle que je sois encore là", a estimé Tyson, qui aura 42 ans le 30 juin et s'est montré assez peu loquace lors de la conférence.
Il a souligné qu'il "connaissait bien Maradona, un excellent ami". L'ancien joueur de soccer, qui a connu un destin comparable, fait également l'objet d'un documentaire, signé Emir Kusturica et qui sera présenté à Cannes mardi.
Toback a jugé que Tyson jouissait d'un "statut d'icône", au même titre que "Marlon Brando, Marlene Dietrich, Michael Jordan, Norman Mailer ou Orson Welles" dans leur domaine.
"Tyson" a été présenté dans la section Un Certain Regard. Par ailleurs, Cannes programme un autre film de Toback, "Fingers" (1978), qui avait servi de base au Français Jacques Audiard pour "De battre mon coeur s'est arrêté" en 2005.