Sur le bord du ring au Lac Leamy
Boxe lundi, 30 oct. 2006. 15:35 dimanche, 15 déc. 2024. 12:14
(La Zone de Boxe) - Joachim Alcine vs Jose Joaquim Gomez - Dans une sortie que plusieurs ont jugé bien ordinaire, Joachim Alcine a ajouté une 28e victoire à son palmarès grâce à une victoire par disqualification aux dépends de l'Argentin d'origine dominicaine Jose Joaquim Gomez avec moins de deux minutes à faire dans le combat de dix rounds.
Gomez s'est avéré un client difficile, avec un style peu orthodoxe et basé sur l'attaque.
Dès le début du combat, Gomez se rue sur Alcine, l'accule aux câbles et fait fondre une pluie de coups puissants, mais que le Québécois bloque facilement. Alcine demeure passif au premier round, mais établit son jab dès le deuxième assaut et ses charges sont beaucoup plus précises que celles de Gomez, qui demeure agressif mais manque la plupart de ses élans.
Ti-Joa décide de livrer un combat peu spectaculaire mais patient, ne voulant pas donner trop d'ouvertures au moulin à vent lui faisant face. Ses contre-attaques sont efficaces, et son crochet de gauche fait des dégâts : il ébranle solidement Gomez à la fin du 6e round. L'Argentin ne s'en remettra pas : sa défensive, axée normalement sur le volume de coups, se base de plus en plus sur l'accrochage, dont il se sert libéralement. Gomez passe un mauvais quart d'heure au huitième assaut, alors qu'une droite l'ébranle solidement, et il peine à survivre le reste du round.
Au dixième et dernier round, Gomez sort de son coin le couteau entre les dents et attaque avec ce qu'il lui reste. Résultat : l'arbitre Marlon Wright lui enlève un point pour coup bas. Alcine réussit à nouveau à ébranler son adversaire chancelant, qui s'accroche de façon exagérée, jusqu'à ce que les deux hommes passent presque à travers les câbles. Wright en a assez et disqualifie Gomez à 1 :13 du dixième et dernier round.
Demi-finale
En attendant Castillo
Herman Ngoudjo vs Donald Camarena
À son quinzième combat professionnel, Herman Ngoudjo conserva sa fiche parfaite et son titre de la NABF grâce à une victoire par décision unanime aux dépends de l'Américain Camarena.
Camarena, comme à peu près tous les négligés de la journée, a connu un bon premier round. Ses attaques sont larges à l'entame, mais il prend rapidement la mesure de son adversaire, et porte plus d'attaques que Ngoudjo, qui étudie encore le style gaucher de Camarena. Le boxeur local trouve toutefois son rythme au deuxième round : il coupe le ring à son adversaire et commence à placer sa main droite plus régulièrement.
Ngoudjo atteint Camarena solidement à la fin du troisième round, et il poursuit sur sa lancée au round suivant. Tout comme lors de sa défaite face à Paulie Maglinaggi, Camarena ne semble pas avoir de "Plan B": il n'a pas de solution pour la main droite de Ngoudjo, et a du mal à s'éloigner des câbles. Ndougjo empoche facilement les rounds médians.
Cependant, la Panthère Noire se fatigue dans les rounds de championnat, et Camarena en profite pour rouvrir la machine. Le boxeur du Colorado attaque, et Ngoudjo se retrouve dans les câbles pour l'une des rares fois du combat au dixième round. Le onzième est à l'avantage du Québécois, mais le dernier round est chaudement disputé entre Camarena désespéré et Ngoudjo qui tente de contre-attaquer du mieux qu'il peut alors que sa fatigue est évidente.
Après le combat, Camarena semble concéder la victoire : il se rend dans le coin de Ngoudjo et soulève son adversaire en guise de respect. Mais quand les pointages des juges, 117-111, 115-113 et 117-111 se font entendre, Camarena affiche sa consternation. Quoi qu'il en soit, Ngoudjo mérite sa quinzième victoire en autant de combats, et la fiche de Camarena chute à 18-3.
Préliminaires
Lupo en arrache
Victor Lupo vs Amilcar Edgardo Funes Melian
Le torontois d'origine roumaine a signé l'une des victoires les plus chèrement acquises de sa carrière en disposant du dangereux argentin par décision unanime au bout de huit rounds. Melian, détenteur d'une belle fiche de 13-1 (11 KO) avant le combat, a démontré une bonne force de frappe qui a secoué Lupo à quelques reprises durant le combat, mais c'est la force physique du Roumain qui a fait pencher la balance en sa faveur.
Le visiteur a débuté le combat en force au premier round, et a atteint Lupo à plusieurs reprises avec des crochets de gauche et uppercuts. La garde haute de Melian lui permet de parer la grande majorité des coups de son adversaire en début de combat. Le deuxième round est plus chaudement disputé, et les deux hommes dégourdissent la foule du Casino du Lac Leamy avec quelques beaux échanges, particulièrement dans les dernières secondes, lorsque les deux hommes s'atteignent solidement tour à tour.
Lupo prend cependant l'initiative dans le combat à partir du troisième round, lorsque le volume des coups de l'Argentin diminue, mais le Torontois doit cependant essuyer quelques dures contre-attaques. La force physique de Lupo lui permet de déplacer son adversaire à sa guise dans l'arène, et la pression qu'il applique lui permet de percer la garde de Melian plus souvent. Celui-ci débute les rounds en force, mais a du mal à soutenir ses attaques en raison des nombreuses combinaisons de Lupo.
Melian tente un dernier effort au sixième round. Il augmente son agressivité et échange avec Lupo, mais il commence à ressentir de la fatigue et est contraint à recourir à l'accrochage pour la première fois du combat. Il réussit toutefois à placer quelques bons coups à travers la garde du Roumain. Le combat s'achève avec quelques autres bons échanges au cours des septième et huitième rounds.
Les scores des juges, 79-73 (deux fois) et 78-74, illustrent peu le cours du combat. L'opinion sur la galerie de presse était divisée, certains, dont François Picanza de la Zone, avaient même accordé le combat à Melian avec un score de 75-73. L'auteur de ces lignes a pour sa part un score final de 75-73 en faveur de Lupo, dont la fiche est maintenant de 16-0-1.
Poulard en deux rounds de moins
Nicholson Poulard vs Martin Desjardins
Championnat québécois des super moyens
Dans un combat écourté à quatre rounds à la dernière minute, Nicholson Poulard a réussi la première défense son titre québécois des super moyens en l'emportant par décision unanime face à Martin Desjardins.
Desjardins, le héros local, était gonflé à bloc en début de combat, et il a pris l'initiative dans le round initial. Il a réussi à porter quelques attaques sur le champion, qui cherchait le gros coup face à un adversaire expérimenté et réputé solide. Poulard a toutefois rapidement ajusté sa stratégie, et a multiplié ses attaques, forçant le challenger à se concentrer sur sa défensive.
Les échanges dans ce combat sont souvent brouillons, les grands élans débalançant les deux adversaires à plusieurs reprises. Poulard a réussi à atteindre solidement son adversaire au milieu du troisième assaut et à dominer aisément le reste du combat, en profitant des failles défensives de son adversaire.
La victoire de Poulard (5-2) par trois scores identiques de 39-37 a cependant laissé le principal intéressé sur sa faim. L'écourtement surprise du combat a jeté un peu d'ombre sur le résultat final, et Poulard a pris le micro après le combat afin d'offrir un combat revanche à Desjardins (5-10-3) dans le cadre du gala Starbox du 30 novembre prochain.
Qui veut une trilogie ?
Grzegorz Kielsa vs Stéphane Tessier
Dans une revanche que personne n'avait demandée, Kielsa a facilement disposé de Stéphane Tessier en six rounds par trois scores identiques de 60-54. Le Torontois, qui livrait son premier combat en quatre mois, a ainsi battu Tessier pour la seconde fois en quatre combats professionnels.
Tessier, qui a affronté bien plus dangereux, offre une très petite cible au Polonais de Toronto. Celui-ci concentre ses assauts au corps dans les premiers rounds. Kielsa augmente le tempo au deuxième round, faisant plus souvent mouche avec son crochet de gauche.
Malgré la domination de Kielsa, c'est tout de même Tessier qui place le meilleur coup du combat, un solide uppercut qui a épaté la galerie mais n'a fait que peu de dommages à son adversaire, qui a poursuivi sa domination. La garde de Tessier baisse au fil du combat, et sa position statique en face de Kielsa fait de lui une cible facile.
Le Québécois donne tout ce qui lui reste au sixième round. Nettement plus actif, Tessier réussit à porter quelques bonnes attaques en début de round, mais un crochet de droite de Kielsa tue son momentum, et le Torontois vogue vers une victoire par blanchissage.
Lankonde goûte à la kryptonite
Adonis Stevenson vs Ferenc Lankonde
Lankonde, un habitué des arènes québécoises, n'avait jamais effectué une sortie aussi courte. Il a suffi d'un round à Adonis Stevenson pour pulvériser le journeyman ontarien, l'envoyant deux fois au tapis avant que le coin de Lankonde ne mette fin au massacre à l'issue du premier round.
Stevenson, à son deuxième combat chez les professionnels, aura au moins pu dépasser le seuil des trente secondes. Après avoir baissé la garde de son adversaire en début de combat à l'aide d'une série de coups au corps, un solide direct du gauche fit valser Lankonde, qui essuya un barrage en règle dans les câbles avant de mettre un genou par terre vers la mi-round. Une autre solide main arrière le renvoya au plancher peu après.
Lankonde réussit à tenir bon jusqu'à la fin du premier round, malgré un coup au corps qui le propulsa à l'autre bout du ring, et l'attaque subséquente de Stevenson (2-0) aurait pu éteindre ses lumières s'il n'avait été sauvé par la cloche. Le coin de Lankonde (4-11-2) décida sagement de mettre fin au combat dès le son de la cloche.
Textes par Alex Pelletier
Gomez s'est avéré un client difficile, avec un style peu orthodoxe et basé sur l'attaque.
Dès le début du combat, Gomez se rue sur Alcine, l'accule aux câbles et fait fondre une pluie de coups puissants, mais que le Québécois bloque facilement. Alcine demeure passif au premier round, mais établit son jab dès le deuxième assaut et ses charges sont beaucoup plus précises que celles de Gomez, qui demeure agressif mais manque la plupart de ses élans.
Ti-Joa décide de livrer un combat peu spectaculaire mais patient, ne voulant pas donner trop d'ouvertures au moulin à vent lui faisant face. Ses contre-attaques sont efficaces, et son crochet de gauche fait des dégâts : il ébranle solidement Gomez à la fin du 6e round. L'Argentin ne s'en remettra pas : sa défensive, axée normalement sur le volume de coups, se base de plus en plus sur l'accrochage, dont il se sert libéralement. Gomez passe un mauvais quart d'heure au huitième assaut, alors qu'une droite l'ébranle solidement, et il peine à survivre le reste du round.
Au dixième et dernier round, Gomez sort de son coin le couteau entre les dents et attaque avec ce qu'il lui reste. Résultat : l'arbitre Marlon Wright lui enlève un point pour coup bas. Alcine réussit à nouveau à ébranler son adversaire chancelant, qui s'accroche de façon exagérée, jusqu'à ce que les deux hommes passent presque à travers les câbles. Wright en a assez et disqualifie Gomez à 1 :13 du dixième et dernier round.
Demi-finale
En attendant Castillo
Herman Ngoudjo vs Donald Camarena
À son quinzième combat professionnel, Herman Ngoudjo conserva sa fiche parfaite et son titre de la NABF grâce à une victoire par décision unanime aux dépends de l'Américain Camarena.
Camarena, comme à peu près tous les négligés de la journée, a connu un bon premier round. Ses attaques sont larges à l'entame, mais il prend rapidement la mesure de son adversaire, et porte plus d'attaques que Ngoudjo, qui étudie encore le style gaucher de Camarena. Le boxeur local trouve toutefois son rythme au deuxième round : il coupe le ring à son adversaire et commence à placer sa main droite plus régulièrement.
Ngoudjo atteint Camarena solidement à la fin du troisième round, et il poursuit sur sa lancée au round suivant. Tout comme lors de sa défaite face à Paulie Maglinaggi, Camarena ne semble pas avoir de "Plan B": il n'a pas de solution pour la main droite de Ngoudjo, et a du mal à s'éloigner des câbles. Ndougjo empoche facilement les rounds médians.
Cependant, la Panthère Noire se fatigue dans les rounds de championnat, et Camarena en profite pour rouvrir la machine. Le boxeur du Colorado attaque, et Ngoudjo se retrouve dans les câbles pour l'une des rares fois du combat au dixième round. Le onzième est à l'avantage du Québécois, mais le dernier round est chaudement disputé entre Camarena désespéré et Ngoudjo qui tente de contre-attaquer du mieux qu'il peut alors que sa fatigue est évidente.
Après le combat, Camarena semble concéder la victoire : il se rend dans le coin de Ngoudjo et soulève son adversaire en guise de respect. Mais quand les pointages des juges, 117-111, 115-113 et 117-111 se font entendre, Camarena affiche sa consternation. Quoi qu'il en soit, Ngoudjo mérite sa quinzième victoire en autant de combats, et la fiche de Camarena chute à 18-3.
Préliminaires
Lupo en arrache
Victor Lupo vs Amilcar Edgardo Funes Melian
Le torontois d'origine roumaine a signé l'une des victoires les plus chèrement acquises de sa carrière en disposant du dangereux argentin par décision unanime au bout de huit rounds. Melian, détenteur d'une belle fiche de 13-1 (11 KO) avant le combat, a démontré une bonne force de frappe qui a secoué Lupo à quelques reprises durant le combat, mais c'est la force physique du Roumain qui a fait pencher la balance en sa faveur.
Le visiteur a débuté le combat en force au premier round, et a atteint Lupo à plusieurs reprises avec des crochets de gauche et uppercuts. La garde haute de Melian lui permet de parer la grande majorité des coups de son adversaire en début de combat. Le deuxième round est plus chaudement disputé, et les deux hommes dégourdissent la foule du Casino du Lac Leamy avec quelques beaux échanges, particulièrement dans les dernières secondes, lorsque les deux hommes s'atteignent solidement tour à tour.
Lupo prend cependant l'initiative dans le combat à partir du troisième round, lorsque le volume des coups de l'Argentin diminue, mais le Torontois doit cependant essuyer quelques dures contre-attaques. La force physique de Lupo lui permet de déplacer son adversaire à sa guise dans l'arène, et la pression qu'il applique lui permet de percer la garde de Melian plus souvent. Celui-ci débute les rounds en force, mais a du mal à soutenir ses attaques en raison des nombreuses combinaisons de Lupo.
Melian tente un dernier effort au sixième round. Il augmente son agressivité et échange avec Lupo, mais il commence à ressentir de la fatigue et est contraint à recourir à l'accrochage pour la première fois du combat. Il réussit toutefois à placer quelques bons coups à travers la garde du Roumain. Le combat s'achève avec quelques autres bons échanges au cours des septième et huitième rounds.
Les scores des juges, 79-73 (deux fois) et 78-74, illustrent peu le cours du combat. L'opinion sur la galerie de presse était divisée, certains, dont François Picanza de la Zone, avaient même accordé le combat à Melian avec un score de 75-73. L'auteur de ces lignes a pour sa part un score final de 75-73 en faveur de Lupo, dont la fiche est maintenant de 16-0-1.
Poulard en deux rounds de moins
Nicholson Poulard vs Martin Desjardins
Championnat québécois des super moyens
Dans un combat écourté à quatre rounds à la dernière minute, Nicholson Poulard a réussi la première défense son titre québécois des super moyens en l'emportant par décision unanime face à Martin Desjardins.
Desjardins, le héros local, était gonflé à bloc en début de combat, et il a pris l'initiative dans le round initial. Il a réussi à porter quelques attaques sur le champion, qui cherchait le gros coup face à un adversaire expérimenté et réputé solide. Poulard a toutefois rapidement ajusté sa stratégie, et a multiplié ses attaques, forçant le challenger à se concentrer sur sa défensive.
Les échanges dans ce combat sont souvent brouillons, les grands élans débalançant les deux adversaires à plusieurs reprises. Poulard a réussi à atteindre solidement son adversaire au milieu du troisième assaut et à dominer aisément le reste du combat, en profitant des failles défensives de son adversaire.
La victoire de Poulard (5-2) par trois scores identiques de 39-37 a cependant laissé le principal intéressé sur sa faim. L'écourtement surprise du combat a jeté un peu d'ombre sur le résultat final, et Poulard a pris le micro après le combat afin d'offrir un combat revanche à Desjardins (5-10-3) dans le cadre du gala Starbox du 30 novembre prochain.
Qui veut une trilogie ?
Grzegorz Kielsa vs Stéphane Tessier
Dans une revanche que personne n'avait demandée, Kielsa a facilement disposé de Stéphane Tessier en six rounds par trois scores identiques de 60-54. Le Torontois, qui livrait son premier combat en quatre mois, a ainsi battu Tessier pour la seconde fois en quatre combats professionnels.
Tessier, qui a affronté bien plus dangereux, offre une très petite cible au Polonais de Toronto. Celui-ci concentre ses assauts au corps dans les premiers rounds. Kielsa augmente le tempo au deuxième round, faisant plus souvent mouche avec son crochet de gauche.
Malgré la domination de Kielsa, c'est tout de même Tessier qui place le meilleur coup du combat, un solide uppercut qui a épaté la galerie mais n'a fait que peu de dommages à son adversaire, qui a poursuivi sa domination. La garde de Tessier baisse au fil du combat, et sa position statique en face de Kielsa fait de lui une cible facile.
Le Québécois donne tout ce qui lui reste au sixième round. Nettement plus actif, Tessier réussit à porter quelques bonnes attaques en début de round, mais un crochet de droite de Kielsa tue son momentum, et le Torontois vogue vers une victoire par blanchissage.
Lankonde goûte à la kryptonite
Adonis Stevenson vs Ferenc Lankonde
Lankonde, un habitué des arènes québécoises, n'avait jamais effectué une sortie aussi courte. Il a suffi d'un round à Adonis Stevenson pour pulvériser le journeyman ontarien, l'envoyant deux fois au tapis avant que le coin de Lankonde ne mette fin au massacre à l'issue du premier round.
Stevenson, à son deuxième combat chez les professionnels, aura au moins pu dépasser le seuil des trente secondes. Après avoir baissé la garde de son adversaire en début de combat à l'aide d'une série de coups au corps, un solide direct du gauche fit valser Lankonde, qui essuya un barrage en règle dans les câbles avant de mettre un genou par terre vers la mi-round. Une autre solide main arrière le renvoya au plancher peu après.
Lankonde réussit à tenir bon jusqu'à la fin du premier round, malgré un coup au corps qui le propulsa à l'autre bout du ring, et l'attaque subséquente de Stevenson (2-0) aurait pu éteindre ses lumières s'il n'avait été sauvé par la cloche. Le coin de Lankonde (4-11-2) décida sagement de mettre fin au combat dès le son de la cloche.
Textes par Alex Pelletier