Au cœur de plusieurs controverses, Jon Jones peut désormais dire qu’il a vaincu Alexander Gustafsson de façon propre. Le polarisant combattant s’est soumis à plusieurs tests antidopage, ne révélant aucune trace de produits interdits.

Rappelons que l’UFC 232 a dû être relocalisé de Las Vegas à Inglewood en Californie alors qu’un récent résultat positif de Jones a poussé la Commission athlétique du Nevada a refusé de sanctionner le combat à quelques jours d’avis.

Lors du deuxième affrontement entre les deux combattants – le premier ayant été remporté par décision unanime en faveur de Jones en septembre 2013  – l’Américain a eu le dessus sur le Suédois au 3e ronde. Après avoir projeté son adversaire au sol,il l’a martelé de plusieurs coups forçant l’officiel à mettre un terme au combat.

Celui qui est surnommé « Bones » est conscient que son passé trouble le placera dans la mire des agences luttant contre le dopage sportif.

À cet effet, Jeff Novitzky, vice-président de la santé et des performances des athlètes de l’UFC, a confirmé que le combattant de 31 ans risque d’être celui qui sera soumis au plus grand nombre de tests en 2019.

Jones devra s’expliquer à la Commission athlétique du Nevada, le 29 janvier. Il pourra ainsi se battre de nouveau dans cet état. Son prochain combat est d’ailleurs prévu à Las Vegas, le 2 mars prochain, face à Anthony Smith.