Brisebois adore courir à Montréal
Course mardi, 3 juin 2008. 17:19 dimanche, 15 déc. 2024. 15:02
Par Jean-Luc Legendre - Pour Patrice Brisebois, la course automobile est une passion. Ce sport demeure dangereux même s'il est pratiqué par des professionnels.
Une semaine après la mort du défenseur des Canucks de Vancouver Luc Bourdon dans un accident de moto, la question de la sécurité refait inévitablement surface.
"Que ce soit en moto ou en course automobile, ce sont des choses qui peuvent malheureusement arriver," a mentionné Brisebois. "Lorsque cela survient, c'est évident qu'on y pense. C'est un risque que je suis prêt à accepter."
Ce risque, le Canadien et l'Avalanche ont été prêts à l'accepter dans la mesure où Brisebois signait une décharge envers son équipe s'il se blessait lors d'une course. Cette année, puisque le défenseur deviendra joueur autonome le premier juillet, il n'a pas eu à demander de permission spéciale au Canadien.
"Il faut comprendre les équipes investissent beaucoup d'argent et ils ne veulent pas que les joueurs se blessent pendant l'été," poursuit Brisebois. "C'est important pour les joueurs d'avoir des activités où ils peuvent se détendre."
Le défenseur de 36 ans est fier de piloter une Ferrari de course. D'ailleurs à Montréal, il fait un peu partie de la Scuderia. Depuis quelques années, il invite les pilotes et les autres membres de l'équipe à jouer au hockey-balle au Centre Bell.
"Kimi est un excellent joueur avec de très bonnes mains et une très bonne vision. Massa court vite mais je ne pense pas qu'il patine," rigole le vétéran défenseur.
En quatre saisons en Challenge Ferrari, Brisebois n'a pas eu la chance de grimper sur le podium sur le circuit Gilles-Villeneuve. Cette année, la sagesse lui dit de ne pas se fixer d'objectifs précis.
"L'important pour moi, c'est de m'amuser," dit-il en terminant.
Le challenge Ferrari sera présenté dimanche matin. Grâce à l'apport de ses commanditaires, Brisebois a pu remettre une somme de 25 000$ à l'Hôpital Ste-Justine.
Une semaine après la mort du défenseur des Canucks de Vancouver Luc Bourdon dans un accident de moto, la question de la sécurité refait inévitablement surface.
"Que ce soit en moto ou en course automobile, ce sont des choses qui peuvent malheureusement arriver," a mentionné Brisebois. "Lorsque cela survient, c'est évident qu'on y pense. C'est un risque que je suis prêt à accepter."
Ce risque, le Canadien et l'Avalanche ont été prêts à l'accepter dans la mesure où Brisebois signait une décharge envers son équipe s'il se blessait lors d'une course. Cette année, puisque le défenseur deviendra joueur autonome le premier juillet, il n'a pas eu à demander de permission spéciale au Canadien.
"Il faut comprendre les équipes investissent beaucoup d'argent et ils ne veulent pas que les joueurs se blessent pendant l'été," poursuit Brisebois. "C'est important pour les joueurs d'avoir des activités où ils peuvent se détendre."
Le défenseur de 36 ans est fier de piloter une Ferrari de course. D'ailleurs à Montréal, il fait un peu partie de la Scuderia. Depuis quelques années, il invite les pilotes et les autres membres de l'équipe à jouer au hockey-balle au Centre Bell.
"Kimi est un excellent joueur avec de très bonnes mains et une très bonne vision. Massa court vite mais je ne pense pas qu'il patine," rigole le vétéran défenseur.
En quatre saisons en Challenge Ferrari, Brisebois n'a pas eu la chance de grimper sur le podium sur le circuit Gilles-Villeneuve. Cette année, la sagesse lui dit de ne pas se fixer d'objectifs précis.
"L'important pour moi, c'est de m'amuser," dit-il en terminant.
Le challenge Ferrari sera présenté dimanche matin. Grâce à l'apport de ses commanditaires, Brisebois a pu remettre une somme de 25 000$ à l'Hôpital Ste-Justine.