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Course lundi, 30 août 2004. 12:56 vendredi, 13 déc. 2024. 21:54
MONTREAL (PC) - Kangaroo Capital, une firme technologique de Mirabel, a annoncé lundi la conclusion d'un accord avec Speed Channel, un réseau de télévision américain spécialisé dans la course automobile, et sept promoteurs du circuit NASCAR pour la mise à l'essai de son produit vedette, Kangaroo.TV, un mini-téléviseur interactif qui peut être loué sur un site d'événement.
Kangaroo avait déjà une entente avec la série Champ Car, son premier client d'envergure, qui vient de quitter Montréal.
L'entente qu'on vient de signer s'applique à sept évènements de la "NASCAR Craftsman Truck Series" d'ici la fin de la saison 2004, mais Alain Charette, le vice-président au développement corporatif de Kangaroo Capital, ne cache pas qu'il vise une association avec la série principale de NASCAR, l'organisme qui présente les courses de "stock car", qui constituent le sport automobile préféré des Américains. Des approches ont même été faites auprès des dirigeants de la Formule 1.
"On est mieux connu aux Etats-Unis qu'au Québec, explique M. Charette. Les gens ne réalisent pas à quel point il y a là un très, très gros potentiel."
La Kangaroo.TV, une invention québécoise, qui vient avec des écouteurs, diffuse la retransmission de la course, incluant les reprises, ainsi que des informations et des données statistiques en temps réel. Il comprend même une option "pilote favori", qui permet de suivre le pilote de son choix et d'entendre ses conversations avec d'autres membres de son équipe. Les utilisateurs ont notamment accès aux caméras fixées dans les voitures. L'appareil est conçu pour donner des images claires en plein soleil, le téléviseur peut être divisé en quatre écrans.
Kangaroo vise d'autres sports comme le golf, le tennis et des disciplines olympiques. On veut aussi s'impliquer dans le domaine des événements culturels, voire éventuellement dans celui des congrès d'envergure, en fait "à tout ce qu'on appelle l'événementiel". Les possibilités sont presque sans limite, selon M. Charette, et l'on compte développer d'autres familles de produits destinés à améliorer le plaisir des spectateurs ou participants à un événement, "un marché immense".
"En réalité, dit M. Charette, il y a bien des choses qu'on ne voit pas lorsqu'on assiste à un événement."
Kangaroo Capital a été créée après la chute de la bulle technologique, "et c'est pourquoi on a voulu faire le plus longtemps possible avec nos propres sous", indique M. Charette.
La compagnie qui compte présentement une quinzaine d'employés est cotée à la Bourse de croissance du TSX depuis avril et a évolué depuis entre 0,23 $ et 0,50 $.
Kangaroo avait déjà une entente avec la série Champ Car, son premier client d'envergure, qui vient de quitter Montréal.
L'entente qu'on vient de signer s'applique à sept évènements de la "NASCAR Craftsman Truck Series" d'ici la fin de la saison 2004, mais Alain Charette, le vice-président au développement corporatif de Kangaroo Capital, ne cache pas qu'il vise une association avec la série principale de NASCAR, l'organisme qui présente les courses de "stock car", qui constituent le sport automobile préféré des Américains. Des approches ont même été faites auprès des dirigeants de la Formule 1.
"On est mieux connu aux Etats-Unis qu'au Québec, explique M. Charette. Les gens ne réalisent pas à quel point il y a là un très, très gros potentiel."
La Kangaroo.TV, une invention québécoise, qui vient avec des écouteurs, diffuse la retransmission de la course, incluant les reprises, ainsi que des informations et des données statistiques en temps réel. Il comprend même une option "pilote favori", qui permet de suivre le pilote de son choix et d'entendre ses conversations avec d'autres membres de son équipe. Les utilisateurs ont notamment accès aux caméras fixées dans les voitures. L'appareil est conçu pour donner des images claires en plein soleil, le téléviseur peut être divisé en quatre écrans.
Kangaroo vise d'autres sports comme le golf, le tennis et des disciplines olympiques. On veut aussi s'impliquer dans le domaine des événements culturels, voire éventuellement dans celui des congrès d'envergure, en fait "à tout ce qu'on appelle l'événementiel". Les possibilités sont presque sans limite, selon M. Charette, et l'on compte développer d'autres familles de produits destinés à améliorer le plaisir des spectateurs ou participants à un événement, "un marché immense".
"En réalité, dit M. Charette, il y a bien des choses qu'on ne voit pas lorsqu'on assiste à un événement."
Kangaroo Capital a été créée après la chute de la bulle technologique, "et c'est pourquoi on a voulu faire le plus longtemps possible avec nos propres sous", indique M. Charette.
La compagnie qui compte présentement une quinzaine d'employés est cotée à la Bourse de croissance du TSX depuis avril et a évolué depuis entre 0,23 $ et 0,50 $.