Duval résiste à Loeb
Course vendredi, 20 août 2004. 08:24 samedi, 14 déc. 2024. 03:05
TREVES (Allemagne) (AFP) - Le Français Sébastien Loeb (Citroën Xsara) occupait la tête du rallye d'Allemagne, dixième des seize épreuves du Championnat du monde, après trois des huit spéciales de la première journée, vendredi midi au parc d'assistance de Bostalsee, à une soixante de kilomètres de Trèves.
Loeb ne comptait toutefois qu'une mince avance (2 sec 4) sur le Belge François Duval (Ford Focus), le seul pilote à résister au Français, vainqueur ces deux dernières années en Allemagne, et aux Citroën, l'Espagnol Carlos Sainz, occupant la troisième place. Derrière le trou était déjà fait sur la concurrence, sur les principaux rivaux de Loeb dans la course au titre.
Dès les premiers mètres de la première spéciale, un coup de théâtre avait frappé l'épreuve allemande avec l'abandon de l'un des principaux favoris, vainqueur du récent rallye de Finlande, le Finlandais Marcus Gronholm (Peugeot 307). Le premier virage avait été fatal au pilote Peugeot, victime d'une sortie de route, d'une roue arrachée.
Quant au Norvégien Petter Solberg (Subaru Impreza) et à l'Estonien Markko Martin (Ford Focus), les deux hommes avaient déjà concédé beaucoup de terrain. Une erreur dans le choix des pneus reléguait ainsi Martin à plus d'une minute (9e derrière Gilles Panizzi/Mitsubishi, Cédric Robert/Peugeot 307, Alex Bengué/Peugeot 206 et Armin Schwarz/Skoda), Solberg (4e) pointant à 40 sec.
Pour sa part, l'Espagnol Daniel Sola (Mitsubishi Lancer), victime d'une sortie de route dans l'ES2, avait été transporté à l'hôpital. Le pilote semblait souffrir des côtes.
Loeb ne comptait toutefois qu'une mince avance (2 sec 4) sur le Belge François Duval (Ford Focus), le seul pilote à résister au Français, vainqueur ces deux dernières années en Allemagne, et aux Citroën, l'Espagnol Carlos Sainz, occupant la troisième place. Derrière le trou était déjà fait sur la concurrence, sur les principaux rivaux de Loeb dans la course au titre.
Dès les premiers mètres de la première spéciale, un coup de théâtre avait frappé l'épreuve allemande avec l'abandon de l'un des principaux favoris, vainqueur du récent rallye de Finlande, le Finlandais Marcus Gronholm (Peugeot 307). Le premier virage avait été fatal au pilote Peugeot, victime d'une sortie de route, d'une roue arrachée.
Quant au Norvégien Petter Solberg (Subaru Impreza) et à l'Estonien Markko Martin (Ford Focus), les deux hommes avaient déjà concédé beaucoup de terrain. Une erreur dans le choix des pneus reléguait ainsi Martin à plus d'une minute (9e derrière Gilles Panizzi/Mitsubishi, Cédric Robert/Peugeot 307, Alex Bengué/Peugeot 206 et Armin Schwarz/Skoda), Solberg (4e) pointant à 40 sec.
Pour sa part, l'Espagnol Daniel Sola (Mitsubishi Lancer), victime d'une sortie de route dans l'ES2, avait été transporté à l'hôpital. Le pilote semblait souffrir des côtes.