F1 : Bahreïn prêt à accueillir son GP
Course jeudi, 2 juin 2011. 10:28 jeudi, 12 déc. 2024. 15:41
NICOSIE - Le président exécutif du circuit Sakhir a affirmé jeudi à l'AFP que tout était prêt pour l'organisation du Grand Prix de formule 1 de Bahreïn qui a été reporté en raison de troubles politiques.
"Le circuit de Sakhir est prêt à accueillir le prix s'il est reprogrammé pour cette saison", a déclaré à l'AFP cheikh Salman Ben Issa Al-Khalifa.
Cette déclaration intervient à la veille d'une décision de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), qui doit annoncer le 3 juin la tenue, ou non, cette saison du Grand Prix de Bahreïn de Formule 1.
"Nous sommes prêts et le circuit est prêt pour accueillir ce grand évènement et tout ce dont on a besoin, c'est un délai de trois mois, pour pouvoir finir nos préparatifs".
Bernie Ecclestone, qui dirige la FOM (Formula 1 management, le détenteur des droits de la discipline), penche pour organiser l'épreuve bahreïnie "à la place de l'Inde", soit le 30 octobre, avec la manche indienne repoussée en fin de saison, après le GP du Brésil.
L'état d'urgence a été levé mercredi à Bahreïn, après que les autorités ont mis fin par la force à la mi-mars à des manifestations, qui avaient paralysé la capitale pendant un mois. Des centaines de protestataires, des chiites en grande majorité qui contestent la famille royale sunnites, ont été arrêtés.
Certains employés chiites du circuit Sakhir ont été licenciés.
Une pétition appelant au boycott du Grand Prix a été lancée par l'organisation de cybermilitants Avaaz afin de convaincre les équipes de Formule 1 de ne pas y participer en raison des violations des droits de l'Homme commises à Bahreïn.
Selon le site internet du groupe, près de 60 000 personnes avaient signé cette pétition jeudi vers 14h30 GMT.
Selon un communiqué d'Avaaz, reçu à Nicosie, le Britannique Damon Hill, champion du monde de Formule 1 en 1996, s'est rallié à la campagne de boycott.
Le GP de Bahreïn devait initialement se courir le 13 mars mais la FIA avait décidé, fin février, de l'annuler en raison des manifestations populaires organisées contre le pouvoir en place.
"Le circuit de Sakhir est prêt à accueillir le prix s'il est reprogrammé pour cette saison", a déclaré à l'AFP cheikh Salman Ben Issa Al-Khalifa.
Cette déclaration intervient à la veille d'une décision de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), qui doit annoncer le 3 juin la tenue, ou non, cette saison du Grand Prix de Bahreïn de Formule 1.
"Nous sommes prêts et le circuit est prêt pour accueillir ce grand évènement et tout ce dont on a besoin, c'est un délai de trois mois, pour pouvoir finir nos préparatifs".
Bernie Ecclestone, qui dirige la FOM (Formula 1 management, le détenteur des droits de la discipline), penche pour organiser l'épreuve bahreïnie "à la place de l'Inde", soit le 30 octobre, avec la manche indienne repoussée en fin de saison, après le GP du Brésil.
L'état d'urgence a été levé mercredi à Bahreïn, après que les autorités ont mis fin par la force à la mi-mars à des manifestations, qui avaient paralysé la capitale pendant un mois. Des centaines de protestataires, des chiites en grande majorité qui contestent la famille royale sunnites, ont été arrêtés.
Certains employés chiites du circuit Sakhir ont été licenciés.
Une pétition appelant au boycott du Grand Prix a été lancée par l'organisation de cybermilitants Avaaz afin de convaincre les équipes de Formule 1 de ne pas y participer en raison des violations des droits de l'Homme commises à Bahreïn.
Selon le site internet du groupe, près de 60 000 personnes avaient signé cette pétition jeudi vers 14h30 GMT.
Selon un communiqué d'Avaaz, reçu à Nicosie, le Britannique Damon Hill, champion du monde de Formule 1 en 1996, s'est rallié à la campagne de boycott.
Le GP de Bahreïn devait initialement se courir le 13 mars mais la FIA avait décidé, fin février, de l'annuler en raison des manifestations populaires organisées contre le pouvoir en place.