François Dumontier se veut rassurant
Course samedi, 17 nov. 2012. 17:31 vendredi, 13 déc. 2024. 23:42
Le promoteur du Grand Prix du Canada rencontre Bernie Ecclestone en fin de semaine pour discuter de l'avenir de l'épreuve montréalaise. Selon François Dumontier, il n'y a pas lieu de s'inquiéter.
L'actuel contrat qui lie Montréal à la F1 viendra à échéance après la course de 2014. Les négociations amorcées en début d'année avec M. Ecclestone pour prolonger l'entente de 10 ans ont été interrompues en raison des changements politiques à Québec et à Montréal. M. Dumontier explique que le processus ne repart pas à zéro et que les exigences du patron de la F1 Ecclestone n'ont pas été augmentées.
« L'entente de principe, ou le concept entourant l'extension de 10 ans avait été mis sur la table et tout le monde s'entendait sur ce concept-là. En ce qui me concerne, il n'y a pas eu de changement. C'est les mêmes choses qui avaient été demandées au printemps passé », signale M. Dumontier.
Parmi ces exigences, il y a celles d'un centre médical et de nouveaux garages avec tour de contrôle. Celui d'Austin, en hauteur, pourrait servir d'exemple aux nouveaux garages du circuit Gilles Villeneuve.
« On est restreint, il faut penser peut-être à aller en hauteur. On ne peut pas vraiment aller en largeur, car il y a le bassin d'un côté et le circuit de l'autre. On devra voir avec les gens de la ville. Ce que je peux dire, c'est qu'ici ils ont mis 400 millions de dollars. C'est très beau, mais ça n'enlève pas le charme et la beauté du parc Jean-Drapeau », ajoute M. Dumontier.
Si les installations de Montréal ont été critiquées pour leurs garages et leurs paddocks, elles n'ont pourtant rien à envier à celles d'Austin où l'on se sent aussi à l'étroit, même si le circuit a coûté 400 millions de dollars.
« Avec 400 millions de dollars, je pense qu'on peut se permettre de faire de belles choses, mais j'avoue que le paddock ici n'est pas plus large qu'à Montréal. À l'oeil, je dirais même que nous on est un peu plus large. »
Le Grand Prix des États-Unis ne nuit pas à celui du Canada, estime par ailleurs M. Dumontier. Même que son organisation a aidé la jeune équipe texane. Si une deuxième course devait être ajoutée aux États-Unis en 2014 au New Jersey, M. Dumontier croit même qu'il pourrait y avoir des avantages avec l'attrait de touristes étrangers.
*D'après un reportage de Jean-Luc Legendre
L'actuel contrat qui lie Montréal à la F1 viendra à échéance après la course de 2014. Les négociations amorcées en début d'année avec M. Ecclestone pour prolonger l'entente de 10 ans ont été interrompues en raison des changements politiques à Québec et à Montréal. M. Dumontier explique que le processus ne repart pas à zéro et que les exigences du patron de la F1 Ecclestone n'ont pas été augmentées.
« L'entente de principe, ou le concept entourant l'extension de 10 ans avait été mis sur la table et tout le monde s'entendait sur ce concept-là. En ce qui me concerne, il n'y a pas eu de changement. C'est les mêmes choses qui avaient été demandées au printemps passé », signale M. Dumontier.
Parmi ces exigences, il y a celles d'un centre médical et de nouveaux garages avec tour de contrôle. Celui d'Austin, en hauteur, pourrait servir d'exemple aux nouveaux garages du circuit Gilles Villeneuve.
« On est restreint, il faut penser peut-être à aller en hauteur. On ne peut pas vraiment aller en largeur, car il y a le bassin d'un côté et le circuit de l'autre. On devra voir avec les gens de la ville. Ce que je peux dire, c'est qu'ici ils ont mis 400 millions de dollars. C'est très beau, mais ça n'enlève pas le charme et la beauté du parc Jean-Drapeau », ajoute M. Dumontier.
Si les installations de Montréal ont été critiquées pour leurs garages et leurs paddocks, elles n'ont pourtant rien à envier à celles d'Austin où l'on se sent aussi à l'étroit, même si le circuit a coûté 400 millions de dollars.
« Avec 400 millions de dollars, je pense qu'on peut se permettre de faire de belles choses, mais j'avoue que le paddock ici n'est pas plus large qu'à Montréal. À l'oeil, je dirais même que nous on est un peu plus large. »
Le Grand Prix des États-Unis ne nuit pas à celui du Canada, estime par ailleurs M. Dumontier. Même que son organisation a aidé la jeune équipe texane. Si une deuxième course devait être ajoutée aux États-Unis en 2014 au New Jersey, M. Dumontier croit même qu'il pourrait y avoir des avantages avec l'attrait de touristes étrangers.
*D'après un reportage de Jean-Luc Legendre