GP de France: plus de billets vendus
Course mardi, 19 avr. 2005. 13:40 samedi, 14 déc. 2024. 11:46
PARIS (AP) - À dix semaines de la tenue du Grand Prix de France de Formule 1 le 3 juillet prochain sur le circuit de Magny-Cours, le président de la Fédération française du sport automobile (FFSA), Jacques Régis, s'est montré "optimiste" mardi quant au succès populaire de cette manche française du championnat du monde où il espère accueillir 75 000 spectateurs.
"Le nombre de billets vendus cette année est déjà supérieur à ce que nous avions vendu à pareille époque lors de l'édition précédente", a assuré Régis lors d'une rencontre avec la presse, citant le fait que 26 000 billets ont déjà été placés pour le rendez-vous du premier week-end de juillet contre 19 000 à la même période l'an passé.
Pour remplir les tribunes du circuit de la Nièvre, la FFSA a également baissé ses tarifs qui s'étalent entre 70 et 330 euros (112 à 528 $ Can), faisant du Grand Prix de France "l'épreuve du championnat du monde pratiquant les prix les plus raisonnables", selon lui.
L'enjeu de la participation est vital pour les organisateurs. Ces derniers ne peuvent guère compter que sur la billetterie pour faire face à l'augmentation constante du coût du plateau qui représente environ 60 pour cent du budget d'organisation estimé à 18 millions d'euros (29 millions $ Can).
Ils étaient 70 000 à avoir assisté à l'édition 2004 du Grand Prix de France. Il en faudrait 75 000 pour arriver à l'équilibre.
"Le nombre de billets vendus cette année est déjà supérieur à ce que nous avions vendu à pareille époque lors de l'édition précédente", a assuré Régis lors d'une rencontre avec la presse, citant le fait que 26 000 billets ont déjà été placés pour le rendez-vous du premier week-end de juillet contre 19 000 à la même période l'an passé.
Pour remplir les tribunes du circuit de la Nièvre, la FFSA a également baissé ses tarifs qui s'étalent entre 70 et 330 euros (112 à 528 $ Can), faisant du Grand Prix de France "l'épreuve du championnat du monde pratiquant les prix les plus raisonnables", selon lui.
L'enjeu de la participation est vital pour les organisateurs. Ces derniers ne peuvent guère compter que sur la billetterie pour faire face à l'augmentation constante du coût du plateau qui représente environ 60 pour cent du budget d'organisation estimé à 18 millions d'euros (29 millions $ Can).
Ils étaient 70 000 à avoir assisté à l'édition 2004 du Grand Prix de France. Il en faudrait 75 000 pour arriver à l'équilibre.