Hamilton : insultes racistes en Chine
Course dimanche, 10 févr. 2008. 10:29 dimanche, 15 déc. 2024. 14:38
LONDRES - Lewis Hamilton, premier pilote noir de l'histoire de la Formule 1, a été victime d'insultes racistes par des supporteurs espagnols lors du Grand Prix de Chine, a affirmé le président de la Fédération internationale automobile (FIA), Max Mosley, dans le Sunday Times.
Des insultes racistes récemment proférés par des supporteurs de l'Espagnol Fernando Alonso lors d'essais de l'écurie McLaren-Mercedes sur le circuit de Montmelo, près de Barcelone (nord-est de l'Espagne), ont suscité une vive indignation en Grande-Bretagne.
Le père du pilote, "Anthony Hamilton m'a dit que quelques personnes avaient été particulièrement insultantes en Chine, pas des supporteurs chinois, mais des gens qui venaient d'Espagne", selon Mosley.
"Nous ferons tout pour éradiquer ça, absolument tout. Si, comme cela semble être le cas, c'est le fait d'une petite minorité, on devrait pouvoir l'arrêter immédiatement, a ajouté Mosley. Si ce n'est pas le cas, alors il y aura des sanctions et le Grand Prix (ndlr: où des actes racistes seraient perpétrés) serait supprimé" du calendrier de la saison, a prévenu le patron de la FIA.
Mosley a toutefois ajouté que son organisation n'envisageait pas de prendre une telle mesure contre l'un des deux Grand Prix organisés en Espagne (Valence et Barcelone): "Ne pas laisser la chance aux autorités espagnoles de montrer qu'elles peuvent gérer ça et qu'il n'y aura pas de répétition de ces faits, aurait été excessif."
Des insultes racistes récemment proférés par des supporteurs de l'Espagnol Fernando Alonso lors d'essais de l'écurie McLaren-Mercedes sur le circuit de Montmelo, près de Barcelone (nord-est de l'Espagne), ont suscité une vive indignation en Grande-Bretagne.
Le père du pilote, "Anthony Hamilton m'a dit que quelques personnes avaient été particulièrement insultantes en Chine, pas des supporteurs chinois, mais des gens qui venaient d'Espagne", selon Mosley.
"Nous ferons tout pour éradiquer ça, absolument tout. Si, comme cela semble être le cas, c'est le fait d'une petite minorité, on devrait pouvoir l'arrêter immédiatement, a ajouté Mosley. Si ce n'est pas le cas, alors il y aura des sanctions et le Grand Prix (ndlr: où des actes racistes seraient perpétrés) serait supprimé" du calendrier de la saison, a prévenu le patron de la FIA.
Mosley a toutefois ajouté que son organisation n'envisageait pas de prendre une telle mesure contre l'un des deux Grand Prix organisés en Espagne (Valence et Barcelone): "Ne pas laisser la chance aux autorités espagnoles de montrer qu'elles peuvent gérer ça et qu'il n'y aura pas de répétition de ces faits, aurait été excessif."