"Je ne crois pas que Jacques soit trop payé"
Course jeudi, 27 mars 2003. 17:58 mercredi, 11 déc. 2024. 17:03
MONTREAL (PC) - Jacques Villeneuve n'obtiendra plus de riches contrats de base, a reconnu son agent et ami Craig Pollock jeudi.
Après cinq ans de résultats désastreux au volant de sa BAR-Honda, le champion du monde 1997 va vraisemblablement devoir s'en remettre aux bonis à la performance pour engraisser ses revenus, a fait savoir Pollock en entrevue téléphonique à partir de Toronto, oùi il se trouvait par affaires.
Le pilote québécois en est à la dernière année d'un contrat estimé à 15 millions $ US annuellement, signé en 1999, deux ans après avoir gagné le championnat du monde chez Williams à sa deuxième année seulement en formule un.
"Je ne crois pas qu'il soit trop payé, a déclaré Pollock. Il a pris un risque immense en acceptant d'aider à développer une nouvelle équipe.
"La voiture est maintenant excellente et s'il y a un problème de fiabilité, ce n'est pas la faute du pilote.
"Le prochain risque est d'accepter une forte diminution de salaire mais d'être payé selon les résultats."
A ses deux premiers Grands Prix cette saison, Villeneuve s'est classé neuvième en Australie et n'a même pas pu prendre le départ en Malaisie au volant d'une voiture récalcitrante.
Sa réputation en a peut-être pris un coup mais les dirigeants d'équipes en formule un "savent à quel point il est bon" et ne craindront pas de l'engager, estime Pollock, selon qui il n'y a qu'une "chance minime" que Villeneuve reste chez BAR. Villeneuve n'y fait pas bon ménage avec le nouveau patron David Richards, qui a succédé à Pollock. Ce dernier conserve néanmoins des parts dans l'équipe.
"Pour moi, Jacques a quelque chose à compléter en formule un et il a encore plusieurs années pour y parvenir", a encore dit Pollock, ajoutant qu'il déconseillerait à Villeneuve de retourner dans la série Champ Car tant que celle-ci n'aura pas refait son image et obtenu de meilleurs commandites et contrats de télévision.
Après cinq ans de résultats désastreux au volant de sa BAR-Honda, le champion du monde 1997 va vraisemblablement devoir s'en remettre aux bonis à la performance pour engraisser ses revenus, a fait savoir Pollock en entrevue téléphonique à partir de Toronto, oùi il se trouvait par affaires.
Le pilote québécois en est à la dernière année d'un contrat estimé à 15 millions $ US annuellement, signé en 1999, deux ans après avoir gagné le championnat du monde chez Williams à sa deuxième année seulement en formule un.
"Je ne crois pas qu'il soit trop payé, a déclaré Pollock. Il a pris un risque immense en acceptant d'aider à développer une nouvelle équipe.
"La voiture est maintenant excellente et s'il y a un problème de fiabilité, ce n'est pas la faute du pilote.
"Le prochain risque est d'accepter une forte diminution de salaire mais d'être payé selon les résultats."
A ses deux premiers Grands Prix cette saison, Villeneuve s'est classé neuvième en Australie et n'a même pas pu prendre le départ en Malaisie au volant d'une voiture récalcitrante.
Sa réputation en a peut-être pris un coup mais les dirigeants d'équipes en formule un "savent à quel point il est bon" et ne craindront pas de l'engager, estime Pollock, selon qui il n'y a qu'une "chance minime" que Villeneuve reste chez BAR. Villeneuve n'y fait pas bon ménage avec le nouveau patron David Richards, qui a succédé à Pollock. Ce dernier conserve néanmoins des parts dans l'équipe.
"Pour moi, Jacques a quelque chose à compléter en formule un et il a encore plusieurs années pour y parvenir", a encore dit Pollock, ajoutant qu'il déconseillerait à Villeneuve de retourner dans la série Champ Car tant que celle-ci n'aura pas refait son image et obtenu de meilleurs commandites et contrats de télévision.