Le GP de Bahreïn pourrait être repoussé
Course dimanche, 20 févr. 2011. 09:34 jeudi, 12 déc. 2024. 15:10
LONDRES - Le patron de la Formule 1 Bernie Ecclestone a affirmé dimanche que le Grand Prix de Bahreïn pourrait être couru à une date ultérieure si les manifestations antigouvernementales dans ce pays devaient contraindre les organisateurs à la repousser.
Interrogé dans une émission sportive de la BBC, M. Ecclestone a indiqué que la décision de courir ou non ce Grand Prix, qui doit ouvrir la saison 2011, serait prise "probablement mardi".
"Je n'ai pas parlé au prince héritier, cheikh Salman Ben Hamad Al-Khalifa, ce matin (dimanche), aussi je ne sais pas ce qui se passe là-bas. Mais si quelqu'un peut dénouer la situation, c'est lui", a ajouté le patron de la F1;
"Il décidera si nous serons en sécurité là-bas ou non", a-t-il dit. "Attendons mardi pour savoir si le Grand Prix va avoir lieu avant de décider quoi faire. Peut-être nous pourrions repousser Bahreïn ou le courir plus tard dans l'année".
Bernie Ecclestone a exclu que le Grand Prix d'ouverture puisse se dérouler dans un autre pays le 13 mars, expliquant que les délais étaient trop courts pour qu'un autre organisateur puisse s'insérer dans le calendrier. "Espérons que les choses se passeront comme prévu".
Les courses de la série GP2 (antichambre de la F1), qui devaient se dérouler la semaine dernière sur le circuit de Sakhir à Bahreïn, ont été annulées en raison des protestations antigouvernementales.
La répression des manifestations a fait six morts et des dizaines de blessés ce petit royaume du Golfe à majorité chiite et gouverné par une dynastie sunnite. Le prince héritier a proposé dimanche d'ouvrir le dialogue avec l'opposition.
Interrogé dans une émission sportive de la BBC, M. Ecclestone a indiqué que la décision de courir ou non ce Grand Prix, qui doit ouvrir la saison 2011, serait prise "probablement mardi".
"Je n'ai pas parlé au prince héritier, cheikh Salman Ben Hamad Al-Khalifa, ce matin (dimanche), aussi je ne sais pas ce qui se passe là-bas. Mais si quelqu'un peut dénouer la situation, c'est lui", a ajouté le patron de la F1;
"Il décidera si nous serons en sécurité là-bas ou non", a-t-il dit. "Attendons mardi pour savoir si le Grand Prix va avoir lieu avant de décider quoi faire. Peut-être nous pourrions repousser Bahreïn ou le courir plus tard dans l'année".
Bernie Ecclestone a exclu que le Grand Prix d'ouverture puisse se dérouler dans un autre pays le 13 mars, expliquant que les délais étaient trop courts pour qu'un autre organisateur puisse s'insérer dans le calendrier. "Espérons que les choses se passeront comme prévu".
Les courses de la série GP2 (antichambre de la F1), qui devaient se dérouler la semaine dernière sur le circuit de Sakhir à Bahreïn, ont été annulées en raison des protestations antigouvernementales.
La répression des manifestations a fait six morts et des dizaines de blessés ce petit royaume du Golfe à majorité chiite et gouverné par une dynastie sunnite. Le prince héritier a proposé dimanche d'ouvrir le dialogue avec l'opposition.